Du document des Rédemptoristes espagnols :
"Nos gouvernants respectent profondément l'autorité de l'Église. Aucun État moderne n'a correspondu aussi fidèlement et avec autant d'enthousiasme aux directives de l'Encyclique Divini illius Magistri. Jamais ils ne solutionnent sans l'avis de l'Église les problèmes plus épineux.
"En outre, de plein droit, l'archevêque de Tolède, Primat d'Espagne, et d'autres évêques, au choix du Chef, siègent au Conseil d'État. Avant d'entrer en fonction, le ministre des Affaires extérieures était président d'Action Catholique. Quant aux anciennes lois impies, toutes sont abolies.
"Dans les universités et les collèges de l'État l'enseignement de la religion est de rigueur. Les fêtes religieuses sont assimilées au dimanche. Si, par nécessité, certains travaux se poursuivent ces jours-là, les patrons doivent concéder aux employés une heure entière pour assister à leurs obligations religieuses, et de plus, compenser, au cours de la semaine, le jour de congé.
"Un organisme national s'occupe de réparer les ravages semés par la révolution communiste. Depuis 1940, 480 églises ont été rebâties et 3,083 autres restaurées. En outre, on a construit 14 nouveaux séminaires ; et douze sièges épiscopaux, rendus vacants par les crimes des Rouges, possèdent maintenant leurs titulaires."
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Voilà ce qui fait la rage des communistes et de la judéo-maçonnerie. Voilà ce que les vicaires de Satan sur terre ne pardonnent pas à l'Espagne de Franco.
Et n'est-ce pas une pitié de voir des chrétiens, même des catholiques, prendre part au concert infernal contre Franco ?