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Vous ne pourrez ni acheter ni vendre des animaux s'ils ne sont pas identifiés par une puce électronique

Thérèse Tardif le vendredi, 01 mars 2002. Dans Micropuces

Le gouvernement mondial veut contrôler tous les fermiers de la planète

Depuis plusieurs années, Vers Demain met en garde ses lecteurs sur la possibilité que bientôt un gouvernement mondial exercera un contrôle absolu sur chaque individu de la planète, par le moyen de la micro-puce électronique. Ici au Québec, le système est déjà organisé pour connaître l'histoire et suivre tous les mouvements de chaque animal, de la naissance à l'abattoir. Et les fermiers qui ne veulent pas installer la puce électronique sur l'oreille de leurs bêtes ne pourront pas les vendre. Les petits bouchers ne pourront pas les acheter. Ce qui reste de petits fermiers et de petits bouchers disparaîtront au profit des propriétaires des fermes industrialisées et des super-marchés qui appartiennent aux financiers.

Le même système d'identification pourrait bien être bientôt imposé à tout être humain sur la terre, un système de surveillance des mouvements de chaque personne, du berceau à la tombe. Et adieu liberté, ce grand don de Dieu, accordé à l'être humain, que le Créateur Lui-même respecte.

La puce électronique injectable sous la peau d'une personne est déjà inventée et en vente. Nous nous demandons vraiment si nous ne sommes pas rendus au temps prédit par saint Jean dans l'Apocalypse, où personne ne pourra ni acheter ni vendre s'il n'est pas marqué du signe de la Bête. (Apoc. 13.16-18) Acheter et vendre, cela concerne le système d'argent. Nous ne sommes pas des prophètes, ni des théologiens, mais nous pouvons nous poser sérieusement la question : Est-ce que cette puce électronique implantée sous la peau pourrait être le « Signe de la Bête », sans lequel nul ne pourra ni acheter ni vendre ?

En ce qui concerne l'installation du système pour les animaux, lisez ci-dessous des extraits de lettres de l'Agri-Traçabilité Québec, reçues par Gaby Bédard, petit fermier de St-Théophile de Beauce, et par tous les fermiers, éleveurs de bovins :

Décideurs à la place des fermiers

« Lors du sommet des DÉCIDEURS du monde agricole, tenu à St-Hyacinthe, le 18 octobre dernier, le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec, annonçait le lancement officiel d'Agri-Traçabilité Québec (ATQ). »

Suivre le troupeau à la trace

« Grâce au nouveau système québécois d'identification et de traçabilité, chaque bovin sera identifié dans les jours suivant sa naissance par deux étiquettes d'oreille, l'une électronique et l'autre à panneau visuel avec code à barres, toutes deux portant le même numéro. Ce système d'identifiants facilitera la lecture des numéros des animaux et permettra d'enregistrer tous leurs déplacements de la naissance jusqu'à l'abattoir, assurant ainsi leur traçabilité.

« ATQ, dirigé par un conseil d'administration formé de représentants de MAPAQ, de l'UPA et de la Financière agricole du Québec, recueillera l'information relative à l'historique des animaux.

« Afin d'assurer la traçabilité des bovins, les autres intervenants du milieu (encans, abattoirs, etc.) auront également à enregistrer le passage des animaux en leurs lieux. »

Pour contrôler et s'emparer

La première étape de l'identification massive de tout le cheptel doit se faire en mars 2002, et pour qu'elle soit mieux acceptée par les fermiers, le gouvernement offre d'en payer les frais. Mais après, les frais seront payés par les producteurs.

Selon les renseignements que nous a donnés Gaby Bédard, les veaux qui ne seront pas identifiés par la puce électronique, ne pourront pas être vendus à l'encan. Et il n'y aura plus qu'un centre d'encan, il sera situé à St-Isidore de Beauce. Tous les autres lieux d'encan, y compris celui de St-Hyacinthe, disparaîtront.

Les acheteurs n'auront pas besoin d'être sur les lieux de l'encan. Ils seront assis devant leur ordinateur et, par l'internet et les satellites, ils pourront visionner les animaux et miser sur ceux de leur choix. La puce électronique installée sur l'oreille de la bête leur donnera l'historique de l'animal.

Pourquoi cette historique et traçabilité

Les raisons que donne l'ATQ pour épier vos animaux à la loupe, c'est surtout l'épidémie qui a rendu les vaches folles en Europe... épidémie causée par de la moulée à base de viande, inventée par les experts gouvernementaux en agriculture, dans le but de faire grossir les animaux plus rapidement et ainsi les rendre plus rentables... Les vaches ne sont pas carnivores, elles sont herbivores, tous les fermiers savent cela.

Et ce sont ces genres d'experts qui veulent contrôler et mener les fermiers par le bout du nez. Les fermiers n'ont jamais rendu leurs vaches folles, ils ont toujours su quoi leur donner pour les nourrir et cette science se transmettait de père en fils depuis toujours. On n'avait pas besoin d'aller à l'université pour savoir nourrir des animaux.

On a chassé Dieu de nos universités. Et en chassant Dieu, on y a chassé la Sagesse. Voyez tout ce qui sort de destructif des universités actuelles, les savants s'ingénient à tenir en place un système d'argent malhonnête, cause de la mort de millions d'êtres humains ; à créer des armes les plus sophistiquées pour tuer ; à inventer des pilules abortives pour tuer ; des moyens pour tuer les bébés dans le sein de leur mère ; de la nourriture à vaches pour les rendre folles, des puces pour épier les humains, animaux et choses, et ajoutez-en...

On se demande si cette sale nourriture qui a fait tuer des centaines de milliers de vaches en Europe et au Japon, n'a pas été inventée consciemment pour rendre la viande rare afin de maintenir les prix plus hauts pour certains gros éleveurs ? ? ? Ou, tout simplement, afin d'avoir une raison à donner aux fermiers pour leur faire accepter plus facilement cette « Gestapo moderne » qu'est le système de « traçabilité ».

Pour éliminer les petits fermiers

Gaby Bédard nous dit : « Il y avait 144 fermiers à St-Théophile, il y a 34 ans. Aujourd'hui, ils n'en reste que deux. Il en est ainsi dans toutes les paroisses au Canada, aux États-Unis, en France et dans bien d'autres pays.

Dans les années '60, années de la déclaration ouverte de la révolution tranquille, les marxistes sortis de nos universités et infiltrés dans nos gouvernements, ont décidé de faire accroire au monde que les petites fermes n'étaient pas rentables. Pourtant depuis toujours, les peuples, de génération en génération, vivaient sur ces fermes et y élevaient de nombreux enfants, vraies richesses des nations.

Nos députés et nos agronomes, frais diplômés de nos universités marxistes, et bons serviteurs des financiers internationaux, se sont faits les émissaires auprès des cultivateurs. « Il faut moderniser l'agriculture. Il faut agrandir vos fermes, acheter des instruments aratoires géants et coûteux. Ne vous en faites pas, le Crédit Agricole et les banques seront là pour vous fournir l'argent, à condition de répondre aux normes de grandeur de ferme et de nombre d'animaux. » Surtout à condition de leur payer de petits intérêts.

Le grand nombre des petits fermiers disparurent. D'autres se sont agrandis, ils se sont endettés au point que leurs revenus n'étant pas suffisants pour payer termes et intérêts, ont dû déclarer faillite et ils sont disparus eux aussi, pour se ranger à la queue des chômeurs des villes. Ceux qui ont réussi à tenir le coup, sont obligés de travailler comme des esclaves, de la première lueur du matin à la dernière heure de la soirée et leurs revenus ne servent qu'à payer les intérêts aux banquiers.

C'est ainsi que les banquiers ont réussi à rafler la grande partie des profits des fermiers. La ferme reste au nom du fermier, mais ses revenus vont au banquier comme si ce dernier en était le propriétaire. Et personne ne voit rien d'étrange là-dedans.

Le cas de Gaby Bédard

Notre Gaby Bédard a réussi à tenir jusqu'à aujourd'hui. Mais maintenant, il se voit dans l'obligation de vendre ses bêtes. Il est traqué par les lois du gouvernement. Et combien d'autres sont dans son cas ?

En plus de l'obliger à identifier ses bêtes, la loi le force à bâtir une fosse à purin. Une dépense de $50,000 à $70,000. Le gouvernement offre des subventions, mais à condition d'avoir 65 bêtes, et Gaby Bédard n'en a que 29. Il lui faudrait s'endetter pour en acheter 36 autres et travailler deux fois plus pour entretenir le troupeau. S'il garde seulement son troupeau actuel, on l'obligera quand même à construire une fosse à purin sans le subventionner, et il devra encore emprunter et s'endetter. Et s'il s'endette, il devra payer des intérêts, il deviendra, comme les autres, l'ouvrier à plein temps du banquier, sur sa propre ferme.

Tous les petits fermiers devraient se grouper et mener une lutte définitive contre ces lois contraignantes qui leur enlèvent leur liberté et les dépossèdent de leurs biens.

Et avec nous, qu'ils réclament un système d'argent sain, efficace et honnête pour nous permettre d'échanger nos produits librement, sans les conditions et sans les contrôles des « mondialistes. »

Que dans nos maisons, nos écoles, nos universités et nos gouvernements, Dieu soit loué, aimé et servi, pour que la vérité, la justice et la paix règnent enfin sur notre pauvre planète si bouleversée par les assoiffés de pouvoir et d'argent.

Thérèse Tardif

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