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Projet de loi qui empêchera les catholiques de dénoncer l'homosexualité

le jeudi, 01 mai 2003. Dans Catéchèses et enseignements

La Bible et les journaux religieux pourraient être contestés en Cour

Deux personnes du même sexe ne peuvent assurer la survie d'une nation.

De là la stupidité de reconnaître par la loi, l'union des homosexuels. Les gouvernements normaux favorisent les couples hommes et femmes qui peuvent donner des enfants à la patrie et continuer les générations. Rien de discriminatoire concernant le mariage dans la Charte canadienne tout le monde a droit de se marier selon l'ordre établi par Dieu.

La Charte canadienne des droits et libertés commence comme ceci :

« Attendu que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du droit. »

Or, Dieu défend la pratique du vice contre-nature. Et au nom de leur liberté, des personnes qui pratiquent le vice contre-nature voudraient faire changer la loi du mariage, en proclamant que cette loi est discriminatoire pour eux.

Il n'y a rien de discriminatoire dans la loi actuelle du mariage au Canada. Tous les hommes et toutes les femmes au pays ont le droit de contracter un vrai mariage, entre homme et femme, selon la loi du pays, selon l'ordre établi par Dieu. Les unions contre-nature entre personnes du même sexe ne sont pas des mariages, ce sont des péchés et des scandales publics en contravention avec la loi de Dieu et la loi du pays. Les législateurs qui entendent leurs revendications et qui les approuvent ne sont pas à leur place sur un siège au Parlement du Canada.

L'enseignement de l'Église catholique défend aux fidèles de voter pour des candidats qui sont en faveur des lois qui vont à l'encontre des commandements de Dieu. L'homosexualité est un vice dénoncé plusieurs fois dans la Bible.

De même, les magistrats qui jugent selon leurs opinions personnelles, qui demandent de changer la loi au lieu de la suivre, ne sont pas à leur place et doivent être démis de leurs fonctions au plus tôt.

Au nom de ma liberté personnelle, que diriez-vous de moi si je contestais le code de la route, si je voulais le faire changer parce que moi, j'ai décidé de conduire du côté gauche de la route, au lieu du côté droit. Ma liberté est limitée à la loi du pays. La loi injuste n'oblige pas en conscience, mais la loi juste oblige en conscience.

Il y a 8.4 millions de ménages au Canada. 5.9 millions, 70%, sont des couples mariés. 1.3 millions, 16%, parents seuls. 1.2 millions, 14%, non mariés 34,000, 0.5%, homosexuels.

Et c'est cette infime minorité de 0.5% (5 dixièmes de un pour cent) de gens qui mènent le vacarme à fendre l'air pour faire changer le code criminel, et pour modifier la loi du mariage bien établie, depuis des siècles, au Canada, selon la logique, la loi naturelle et la loi de Dieu.

À la Chambre des communes, on a présenté en première et en deuxième lectures le projet de Loi C-250 pour modifier l'article du code criminel, concernant la littérature haineuse. Le projet est maintenant soumis au comité permanent de la Justice, pour étude.

Ce projet de loi a été déposé à la Chambre des Communes pour faire changer le paragraphe 318 (4) du code criminel par ce qui suit :

(4) Au présent article, « groupe identifiable » désigne toute section du public qui se différencie des autres par la couleur, la race, la religion, l'origine ethnique ou l'orientation sexuelle. (On veut donc ajouter « orientation sexuelle » à la loi)

Récemment, un jugement de la Cour de la Saskatchewan (Owens c. Saskatchewan humain rights commission décembre 2002) déclarait certains passages de la Bible comme littérature haineuse.

Au mois de juin 2002, le parti péquiste, alors au pouvoir, au Québec, approuvait, avec l'appui, s'il vous plaît, de tous les députés de l'opposition, la loi sur l'union civile des homosexuels, avec l'autorisation d'adopter des enfants.

Le 20 décembre 2002, la Cour Suprême de la Colombie canadienne a tranché contre un Conseil scolaire de cette province qui avait interdit l'usage de livres pédagogiques, présentant un couple d'homosexuels qui élèvent des enfants. La Cour Suprême de la Colombie a statué que les écoles doivent permettre aux enfants de discuter de leur propre modèle familial et de celui des autres enfants.

Le summum de la perversion

Il ne faut pas reconnaître, comme si c'était un vrai mariage, ces unions contre-nature, surtout ne pas leur permettre d'adopter les enfants des autres, si nous ne voulons pas voir des enfants rougir de leurs doubles pères ou de leurs doubles mères. Faire légaliser le vice, c'est le summum de la perversion.

La ville de Sodome a été détruite par le feu parce que ses habitants pratiquaient l'homosexualité. Veut-on attirer un tel fléau sur notre pays, en défiant la loi de Dieu comme à Sodome ?

Ces larges accrocs à la loi de Dieu et à la loi naturelle, nous démontrent comment l'ennemi est avancé dans son plan de déchristianisation de notre pays et de l'univers.

Un vice à corriger

Comme nous pouvons le voir dans le cas de la Cour de la Saskatchewan, on en vient même à déclarer certaines parties de la Bible, comme littérature haineuse, parce que la Bible dénonce l'homosexualité et les autres défauts contre lesquels tout être humain doit lutter pour se libérer de l'esclavage de ses passions, afin de contribuer à édifier une société civilisée et équilibrée.

L'homosexualité est un vice, comme la pédophilie est un vice, comme l'ivrognerie est un vice. Personne ne tue ou n'agresse l'ivrogne parce qu'il a ce défaut, on essaiera plutôt de l'aider à se convertir. Peut-être que si on l'avait bien éduqué dès son jeune âge contre l'ivrognerie, il n'aurait pas à se défendre contre cet esclavage qui l'avilit et le dégrade et dégrade la société. S'il fallait permettre aux ivrognes de boire avec les enfants, on aurait de beaux résultats. Il est sûrement du devoir des parents, des écoles, de la société et des gouvernements de dénoncer ces déviations et de mettre en garde les enfants contre les vices contre-nature, qui en plus d'enfreindre la loi de Dieu, propagent bien souvent des maladies vénériennes, parfois mêmes incurables.

Un mot de nos évêques

Voici des extraits du document que nos évêques du Canada ont présenté au Ministre et au Comité permanent de la Justice :

« Nos préoccupations à l'égard du projet de loi C-250 ne portent pas sur son objectif d'interdiction de préconiser ou de fomenter la haine ou de promouvoir un génocide. Ce qui nous pose difficulté, c'est la possibilité pour quelqu'un qui estime que les convictions de l'Église catholique sur les moeurs sexuelles des personnes homosexuelles sont trop sévères ou trop dures, d'invoquer le Code criminel pour réduire au silence notre enseignement.

« Il est de notoriété publique et sans équivoque que l'Église catholique enseigne que le comportement sexuel entre des personnes de même sexe est moralement inacceptable et ne peut sous aucun prétexte être approuvé.

« Alors que les dispositions du Code criminel concernant la propagande haineuse datent de trente ans et précèdent la Charte, nous estimons inopportun qu'il soit amendé par un projet de loi privé tel que le projet de loi C-250.... ». C'est quasi incroyable, mais les faits sont là. Il est interdit par la Cour Suprême de la Colombie canadienne de protéger les enfants dans les écoles contre le vice de l'homosexualité.

Et pire encore, ces lois et décisions dérisoires des provinces et de la Cour font remettre en question, au Parlement d'Ottawa, la Loi sur le mariage entre homme et femme.

Voici des extraits du document présenté par le Ministre de la Justice, qui fait semblant de consulter la population à ce sujet :

Comité permanent de la Justice

Document de travail novembre 2002

Message du Ministre de la Justice et Procureur général du Canada, Martin Cauchon

(Extraits) « Au cœur de ce débat, des contestations récentes aux termes de la Charte canadienne des droits et libertés, visant l'obligation selon laquelle un mariage est l'union légitime d'un homme et d'une femme » sont actuellement devant les tribunaux de trois provinces : la Colombie Britannique, l'Ontario et le Québec. Ces contestations ont eu des résultats divergents en première instance. »

« Ces trois décisions sont maintenant en pourvoi d'appel. Le gouvernement espère bénéficier de l'orientation que donneront les cours d'appel à ces enjeux juridiques. »

« La population canadienne et ses représentants doivent maintenant décider si le mariage devrait demeurer une institution pour personnes de sexe opposé, peut-être parallèlement à la création d'un nouveau registre des unions civiles qui seraient réputées être l'équivalent d'un mariage aux fins des lois et programmes fédéraux, ou devrait être changé afin d'inclure les couples du même sexe, ou encore ne plus figurer du tout dans les lois. »

Donner des enfants à la patrie

Depuis que le monde est monde, nous savons que pour transmettre la vie, il faut deux personnes de sexes opposés, même chez animaux. Les animaux ne transgressent pas les lois de la nature. Deux hommes ne peuvent transmettre la vie. L'homme et la femme se complètent, tandis que deux hommes ou deux femmes ne se complètent pas et ne se compléteront jamais, ne pourront jamais donner la vie à d'autres êtres humains, ne pourront jamais constituer une famille et fournir des enfants à la patrie.

Nos péquistes du Québec ont passé une loi reconnaissant l'union civile des homosexuels, leur donnant même le droit d'adopter des enfants. L'Union civile des homosexuels reconnue au Québec, par le gouvernement Landry, nous dit un avocat, donne droit à deux personnes du même sexe de s'enregistrer comme deux conjoints, avec droit d'adopter des enfants. Avec cette loi, les conjoints du même sexe ont les mêmes obligations et les mêmes privilèges qu'un vrai mariage entre homme et femme.

Les homosexuels pratiquent le vice contre-nature, leur permettre d'adopter des enfants, c'est leur permettre de propager ce vice contre-nature. Veut-on préparer pour les générations futures ce genre de société déboussolée?

Saint Paul dit : « Il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine ; mais dans leur démangeaison d'entendre ce qui les flatte, ils se donneront des maîtres selon leurs désirs, et détourneront l'oreille de la vérité pour l'ouvrir à des fables. »

Prions Dieu d'éclairer et de convertir nos hommes d'État, afin qu'ils reviennent au bon sens, à la vérité et à la sagesse. Et crions de toutes nos forces contre ces projets de lois promues pour renverser l'échelle des valeurs et adapter notre législature aux critères de l'ONU qui nous prépare un dictature mondiale athée, sans mœurs et sans morale. Nous pouvons nous attendre à perdre toutes nos libertés et à être menés par une bras de fer.

Pour protester contre la modification du Code criminel concernant la littérature haineuse et la modification de la « Charte des droits et libertés » concernant la loi du mariage, veuillez écrire ou téléphoner à vos députés. Dites-leur qu'en conscience vous ne pourrez jamais voter pour eux s'ils votent en faveur de ces projets de loi.

Envoyez aussi vos protestations au : Ministre de la Justice Martin Cauchon bureau 100, 284, rue Wellington, Ottawa (Ontario) K1A OH8 ou par courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

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