EnglishEspañolPolskie

La Sainte Messe - 1

le lundi, 01 mai 2023. Dans Catéchèses et enseignements

Expliquée à Catalina par Jésus et Marie

Catalina Rivas de Cochabamba, en Bolivie, vit actuellement à Mérida, dans l'État de Yucatán, au Mexique. On dit qu'elle reçoit des messages de Jésus, de Marie et des anges. Elle a l'approbation de son évêque, René Fernández Apaza, qui a donné son imprimatur à ses messages. Le texte suivant est la reproduction (première partie) de la brochure « La Sainte Messe », dans laquelle Notre-Seigneur et Notre-Dame expliquent à Catalina ce qui se passe réellement pendant la Messe dans le monde spirituel, et comment nous devrions être plus concentrés sur les grands mystères qui s'y déroulent.

Le Père Daniel Gagnon, o.m.i., de la Commission pour la Doctrine de la Foi de l'Archidiocèse de Mexico, a écrit en avril 2000 à propos de ce livre : « Dans cet écrit je ne trouve rien qui aille contre la Foi et la doctrine de l'Église. Ce n'est pas de ma compétence d'en confirmer le caractère surnaturel ; néanmoins, je le recommande pour son inspiration spirituelle. »

Première partie

Le témoignage de Catalina sur la Sainte Messe

Dans une merveilleuse catéchèse, le Seigneur et la Vierge Marie nous ont instruits tout d'abord sur la façon de prier le Rosaire en le faisant avec notre cœur, en méditant et en prenant plaisir à ces moments où nous rencontrons Dieu et notre Sainte Mère. Ils nous ont aussi instruits sur la façon de bien se confesser et dans ce document, un enseignement sur ce qui arrive pendant la Sainte Messe et comment la vivre avec nos cœurs.

Voici les raisons pour lesquelles je dois et veux donner ce témoignage au monde entier : En tout premier lieu, pour la plus grande Gloire de Dieu et pour le salut de tous ceux qui veulent ouvrir leur cœur à Dieu.

Ensuite ce témoignage est donné pour que de nombreuses âmes consacrées à Dieu puissent rallumer le feu de leur amour pour le Christ. Certaines de ces âmes sont les propriétaires des mains qui ont le pouvoir d'amener le Christ dans notre monde, Lui permettant de devenir notre nourriture.

Puis ce livret est donné pour permettre à d'autres âmes de briser « la routine » de la façon avec laquelle elles reçoivent le Christ et pour qu'elles puissent revivre l'émerveillement de leur rencontre de chaque jour avec l'Amour. Finalement, il est donné pour que mes frères et sœurs laïques du monde entier puissent vivre le plus grand des miracles avec leur cœur : la célébration de l'Eucharistie.

Nous étions à la Vigile de l'Annonciation et les membres de notre groupe étaient allés au Sacrement de la Réconciliation. Quelques dames de notre groupe de prière n'avaient pu se joindre à nous, alors elles remirent leur réconciliation au lendemain avant la messe.

Le lendemain, lorsque j'arrivai à l'Église, un peu en retard, l'Archevêque et les prêtres avaient déjà commencé à sortir de la sacristie. La Vierge Marie dit de sa voix douce et féminine qui adoucit notre âme :

« Aujourd'hui sera pour toi une journée pour apprendre et je veux que tu sois très attentive à ce dont tu seras témoin. Tu devras partager avec toute l'humanité cette expérience que tu feras aujourd'hui. »

J'étais profondément émue sans comprendre pourquoi, mais j'ai essayé d'être très attentive.

Rite pénitentiel

La première chose que j'ai remarquée, fut une chorale de voix merveilleuses qui chantaient comme si elles étaient au loin. Durant quelques instants la musique se rapprocha et puis elle s'éloigna tout comme le son du vent.

L'Archevêque commença la célébration de la Messe et quand il arriva au rite pénitentiel, la Sainte Vierge me dit : « Du fond de ton cœur demande au Seigneur de pardonner tes fautes qui L'ont offensé. De cette façon, tu seras en mesure de participer dignement au privilège d'assister à la Sainte Messe. »

En une fraction de seconde, j'ai pensé : « Bien sûr que je suis en état de grâce avec Dieu car je me suis confessée hier soir. »

Elle répondit : « Penses-tu que depuis hier soir tu n'as pas offensé le Seigneur ? Laisse-moi te rappeler certaines choses. Quand tu es partie pour venir ici, la fille qui t'aide s'est approchée de toi pour te demander quelque chose et puisque tu étais en retard et pressée, tu n'as pas été très délicate dans ta façon de lui répondre. Il y avait un manque de charité de ta part et tu prétends ne pas avoir offensé Dieu… ?

« Alors que tu étais en route pour venir ici, un autobus a empiété sur ta ligne et t'a presque frappée. Tu t'es exprimée d'une façon peu recommandable contre ce pauvre homme plutôt que de dire tes prières et te préparer pour la messe. Tu as manqué de charité et tu as perdu ta paix et ta patience. Et tu dis que tu n'as pas offensé le Seigneur ? Tu arrives à la dernière minute quand la procession du célébrant est déjà en route pour célébrer la messe… et tu vas participer sans t'être préparée… »

J'ai répondu : « Très bien, ma Mère, ne dis plus rien. Tu n'as pas à me rappeler autre chose car je mourrais de chagrin et de honte. »

« Pourquoi devez-vous tous arriver à la dernière minute ? Tu aurais dû arriver plus tôt pour être capable de prier et de demander au Seigneur d'envoyer son Esprit-Saint pour qu'Il t'accorde un esprit de paix et te purifie de l'esprit du monde, de tes préoccupations, tes problèmes et tes distractions afin de te permettre de vivre ce moment si sacré. Pourtant, tu arrives presqu'au moment où la célébration est sur le point de commencer et tu participes comme s'il s'agissait d'un événement ordinaire, sans aucune préparation spirituelle. Pourquoi ? C'est ici le plus grand des miracles. Tu vas vivre le moment où le Dieu Très-Haut donne son plus grand cadeau et tu ne sais pas comment l'apprécier. »

Cela suffisait. Je me sentais tellement perturbée que j'en avais suffisamment pour demander pardon à Dieu. Ce n'était pas seulement pour les offenses de ce jour, mais aussi pour toutes les fois où, comme tant d'autres personnes, j'avais attendu que le prêtre termine son homélie avant d'entrer dans l'église. C'était aussi pour les fois où je ne savais pas ou bien j'avais refusé de comprendre ce que cela voulait dire d'être là et pour les fois où, peut-être, mon âme était pleine de fautes plus importantes et où j'ai osé participer à la Sainte Messe.

Gloire à Dieu

C'était jour de fête et on allait réciter le Gloria. Notre-Dame dit : « Glorifie et bénis avec tout ton amour la Très Sainte Trinité en reconnaissant que tu es une de ses créatures. »

Combien différent fut le Gloria ! Soudain je me vis sur une place lointaine remplie de lumière, devant la majestueuse Présence du Trône de Dieu. Avec tant d'amour, je Le remerciai tandis que je répétais : « Pour ton immense Gloire, nous Te louons, nous Te bénissons, nous T'adorons, nous Te rendons grâce, nous Te remercions, Seigneur Dieu, Roi du Ciel, Dieu le Père tout-puissant. »

Et je me suis rappelée le tendre visage paternel du Père : « Seigneur Jésus-Christ, Fils unique du Père, Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, Tu enlèves les péchés du monde… » Et Jésus était devant moi, avec un visage plein de tendresse et de miséricorde… « car Toi seul est Saint, Toi seul est Seigneur, Toi seul est le Très-Haut : Jésus-Christ, avec le Saint-Esprit… » le Dieu du bel Amour. Lui, qui à ce moment, me fit trembler de tout mon être… et je demandai : « Seigneur, délivre-moi de tous les mauvais esprits. Mon cœur T'appartient. Mon Seigneur, envoie-moi Ta paix afin que je puisse obtenir les meilleures grâces de l'Eucharistie pour que ma vie puisse produire les meilleurs fruits. Esprit-Saint de Dieu, transforme-moi, agis en moi et guide-moi. Ô Dieu, donne-moi les grâces dont j'ai besoin pour mieux Te servir ! »

Liturgie de la Parole

Le moment de la Liturgie de la Parole est arrivé et la Vierge Marie me fit répéter : « Seigneur, aujourd'hui je veux écouter Ta Parole et produire d'abondants fruits. Que ton Esprit-Saint nettoie l'intérieur de mon cœur pour que Ta Parole puisse y grandir et se développer, purifiant mon cœur pour qu'il soit mieux disposé. »

Notre-Dame dit : « Je veux que tu portes attention aux Lectures et à toute l'homélie du prêtre. Souviens-toi que la Bible dit que la Parole de Dieu ne revient pas sans avoir porté fruit. Si tu portes attention, quelque chose de tout ce que tu as entendu restera en toi. Tout au long du jour, tu devrais essayer de te rappeler ces mots qui t'auraient particulièrement frappée. Parfois, ce peut être deux versets. D'autres fois la lecture de tout l'Évangile ou peut-être seulement un mot. Savoure-les tout au long de la journée et ils feront ainsi partie de toi, car c'est ainsi que l'on arrive à changer sa vie, en permettant à la Parole de Dieu de te transformer.

« Maintenant, dis au Seigneur que tu es ici pour écouter, que tu veux qu'Il parle à ton cœur aujourd'hui. »

Je remerciai Dieu encore une fois de me donner l'opportunité d'entendre sa Parole. Et je Lui ai demandé pardon d'avoir eu un cœur si dur pendant tant d'années et d'avoir enseigné à mes enfants qu'ils devaient aller à l'église parce que l'Église le commandait et non pas par amour et pour le besoin d'être remplis de Dieu. J'avais assisté à tant de célébrations eucharistiques, surtout par obligation et à cause de cela, je me croyais sauvée. Mais je ne la vivais pas et encore moins, je portais attention aux Lectures ou à l'homélie du prêtre !

Quelle douleur je ressentis pour tant d'années perdues inutilement, à cause de mon ignorance ! Combien superficielle est notre participation à la Messe quand nous y allons seulement lorsque quelqu'un se marie ou pour des funérailles ou pour être vus de la foule ! Que d'ignorance au sujet de notre Église et ses sacrements ! Quelle perte en essayant de nous instruire et de nous informer sur des choses du monde, qui dans un moment peuvent disparaître, nous laissant avec rien et, à la fin de notre vie, ne serviront aucunement à prolonger d'un seul instant notre existence.

Par contre, nous ne savons rien de ce qui pourrait nous donner un peu de ciel sur la terre et après, la vie éternelle. Et nous nous appelons des hommes et des femmes cultivés !

Offertoire

Un moment plus tard, ce fut le début de l'Offertoire et la Sainte Vierge me dit :

« Prie ainsi (et je répétai après elle) : Seigneur, je T'offre tout ce que je suis, tout ce que j'ai et tout ce que je peux. Je remets tout entre Tes mains. Construis-le, Seigneur, avec le rien que je suis. Par les mérites de ton Fils, transforme-moi, Dieu Tout-Puissant. J'intercède auprès de Toi pour ma famille, pour mes bienfaiteurs, pour chaque membre de ton Apostolat, pour tous ceux qui se battent contre nous, pour tous ceux qui se recommandent à mes prières. Apprends-moi à avoir un cœur accueillant pour eux, pour que leur marche soit moins pénible.

« C'est ainsi que les saints priaient et c'est ainsi que je voudrais que chacun de vous le fasse. »

Ainsi, c'est de cette façon que Jésus nous demande de prier, comme si nous présentions, pour ainsi dire, notre cœur ouvert devant eux, afin qu'ils ne ressentent pas sa sévérité mais que nous soulagions plutôt la souffrance de leurs pas.

Des années plus tard, je lus un livre de prières d'un saint que j'aimais beaucoup, Jose Maria Escrivá de Balaguer et dans ce livre j'y trouvai une prière semblable à celle que la Vierge Marie m'avait apprise. Peut-être que ce saint à qui je me recommande, a plu à la Vierge Marie avec ces prières.

Soudain, quelques personnages que je n'avais pas vus, commencèrent à se lever. C'était comme si, à côté de chaque personne qui était présente dans la Cathédrale, une autre personne émergeait et bientôt la Cathédrale était remplie de très belles et jeunes personnes. Elles étaient vêtues de robes blanches et elles commencèrent à se déplacer vers l'allée centrale et puis vers l'autel. Notre Mère dit :

« Observe. Ce sont les Anges gardiens de chaque personne présente dans l'assemblée. C'est le moment où vos Anges gardiens transportent vos offrandes et vos supplications devant l'Autel du Seigneur. »

À ce moment, je fus complètement abasourdie, car les êtres avaient un visage tellement radieux et d'une beauté telle, qu'il est impossible à quelqu'un de l'imaginer. Ils avaient une très belle apparence avec un visage presque féminin. Toutefois, la vue de leur corps, de leurs mains et leur grandeur était masculine. Leurs pieds nus ne touchaient pas le plancher mais ils se déplaçaient comme s'ils glissaient. Cette procession fut très belle.

Certains transportaient ce qui ressemblait un peu à un bol doré avec quelque chose qui brillait beaucoup, d'une lumière dorée-blanche. La Vierge Marie dit :

« Ce sont les Anges gardiens des personnes qui offrent cette messe pour plusieurs intentions, ceux qui sont conscients de la signification de cette célébration. Ils ont quelque chose à offrir au Seigneur.

« Offrez-vous à ce moment-là… offrez vos peines, vos douleurs, vos espoirs, vos tristesses, vos joies, vos supplications. Souvenez-vous que la Messe a une valeur infinie. Alors soyez généreux en offrandes et en demandes. »

Derrière les premiers Anges, d'autres vinrent qui n'avaient rien dans leurs mains, ils s'avançaient les mains vides. La Vierge Marie dit :

« Ceux-ci sont les anges des personnes qui sont ici mais n'offrent jamais rien. Ils n'ont aucun intérêt à vivre chaque étape liturgique de la Messe et ils n'ont aucun présent à apporter devant l'Autel du Seigneur. »

À la fin de la procession vinrent d'autres anges qui paraissaient plutôt tristes et avaient leurs mains jointes en prière mais avec les yeux baissés.

« Ceux-ci sont les Anges gardiens des personnes qui sont ici mais qui ne veulent pas l'être, c'est-à-dire des personnes qui ont été forcées de venir ici, qui sont venues par obligation mais sans aucun désir de participer à la Sainte Messe. Les anges avancent avec tristesse parce qu'ils n'ont rien à apporter à l'autel, excepté leurs propres prières.

« Ne contristez pas votre Ange gardien. Demandez beaucoup ! Demandez pour la conversion des pécheurs, pour la paix dans le monde, pour vos familles, pour vos voisins, pour ceux qui se recommandent à vos prières. Demandez, demandez pour beaucoup de choses mais pas seulement pour vous-mêmes, mais aussi pour tous les autres.

« Rappelez-vous que l'offrande qui plaît le plus au Seigneur est celle où vous vous offrez comme holocauste pour que Jésus puisse, lors de sa descente, vous transformer par ses propres mérites. Qu'avez-vous à offrir au Père par vous-mêmes ? Néant et péché. Mais l'offrande de soi-même unie aux mérites de Jésus, voilà l'offrande qui plaît au Père. »

La vision de cette procession était d'une telle beauté qu'il me serait difficile de la comparer à quelque autre chose. Toutes ces créatures célestes se courbant devant l'autel, les unes déposant leurs offrandes sur le plancher, d'autres se prosternant à genoux avec leur front touchant presque le plancher. Et dès qu'ils arrivaient à l'Autel, ils disparaissaient de ma vue.

Sanctus

La fin de la Préface arriva et quand l'assemblée répondit « Saint ! Saint ! Saint ! », soudain, tout ce qui se trouvait derrière le célébrant disparut. Derrière le côté gauche du célébrant, des milliers d'anges apparurent en ligne diagonale, des anges petits, des anges grands, des anges avec des ailes immenses, des anges avec de petites ailes, des anges sans ailes. Tout comme les précédents, ils étaient tous vêtus d'une tunique qui ressemblait à l'aube des prêtres ou des servants de messe.

Tous s'agenouillèrent, leurs mains jointes pour la prière et leur tête inclinée en signe de révérence. On entendait une merveilleuse musique comme si plusieurs chorales de voix mixtes chantaient à l'unisson avec l'assemblée : Saint ! Saint ! Saint !

Consécration

Lors de la Consécration, le moment du plus merveilleux des miracles arriva. Derrière le côté droit de l'Archevêque apparut une multitude de personnes placées aussi en diagonale. Elles étaient revêtues de la même tunique mais de couleurs pastel rose, vert, bleu pâle, lilas, jaune, bref, de couleurs différentes et très douces. Leurs visages aussi étaient brillants et pleins de joie. Elles semblaient toutes avoir le même âge. Vous pouviez remarquer (je ne peux dire pourquoi) qu'il y avait des personnes d'âges différents mais leurs visages étaient tous semblables, sans rides et heureux. Elles s'agenouillèrent toutes, aussi, lors du chant : « Saint ! Saint ! Saint ! le Seigneur… » Notre-Dame dit :

« Ce sont tous les Saints et Bienheureux du Ciel et parmi eux se trouvent les âmes de tes parents qui jouissent déjà de la Présence de Dieu. »

Puis j'ai vu Notre-Dame, exactement à la droite de l'Archevêque, un pas derrière le célébrant. Elle était comme suspendue un peu au-dessus du plancher, s'agenouillant sur ce qui semblait être un tissu très fin et transparent mais en même temps lumineux, qui ressemblait à de l'eau cristalline. La Sainte Vierge, les mains jointes, regardait le célébrant avec beaucoup de respect et d'attention. Elle me parla de cet endroit, mais en silence, directement de son cœur, sans me regarder :

« Cela te surprend de me voir me tenir un peu derrière Monseigneur (l'Archevêque), n'est-ce pas ? Il doit en être ainsi… Avec tout l'Amour que me donne mon Fils, Il ne m'a pas conféré la dignité qu'Il a donnée aux prêtres d'être capables d'opérer à chaque jour avec mes mains le Miracle comme le font les prêtres. À cause de cela, je ressens un profond respect pour les prêtres et pour le miracle que Dieu opère par leur entremise, ce qui me porte à m'agenouiller derrière eux. »

Mon Dieu, quelle dignité et quelle grâce le Seigneur accorde aux âmes des prêtres et ni nous, ni même plusieurs d'entre eux en sont conscients.

Devant l'Autel, apparurent comme des ombres de personnes en gris avec les mains élevées. La Sainte Vierge dit :

« Ce sont les âmes bénies du Purgatoire qui attendent vos prières pour les rafraîchir. N'arrêtez pas de prier pour elles. Elles prient pour vous mais elles ne peuvent pas prier pour elles-mêmes. C'est à vous de prier pour elles afin de les aider à sortir pour qu'elles puissent rejoindre Dieu et en jouir éternellement.

« Maintenant, tu le vois, que je suis toujours ici. Les gens vont en pèlerinage, recherchant des endroits où je suis apparue. Cela est bon à cause de toutes les grâces qu'ils y reçoivent. Mais en aucune apparition, en aucun autre endroit, je suis aussi présente que durant la Sainte Messe. Vous me trouverez toujours au pied de l'Autel où on célèbre l'Eucharistie. Également au pied du Tabernacle, j'y reste avec les anges car je suis toujours auprès de Lui. »

L'apparence si belle de la Mère au moment où furent dits les mots « Saint ! Saint ! Saint !… » ainsi que tous les autres avec leurs visages radieux, leurs mains jointes, attendant le miracle qui se répète continuellement, était  comme se retrouver au Ciel même. Et dire que des personnes peuvent être distraites par des conversations à ce moment ! Cela me peine de vous dire que plusieurs hommes et femmes, se tiennent debout, les bras croisés, comme s'ils rendaient hommage au Seigneur comme étant égal à eux. La Vierge Marie dit :

« Dis aux gens qu'un homme n'est jamais autant homme que lorsqu'il s'agenouille devant Dieu. »

Le célébrant prononça les paroles de la Consécration. C'était une personne de grandeur normale mais soudain, il se mit à grandir, devenant rempli de lumière, une lumière surnaturelle entre le blanc et l'or qui l'enveloppa et devint très dense autour de son visage. À cause de cela, je ne pouvais plus voir ses traits.

Lorsqu'il éleva l'Hostie, j'ai vu ses mains et le dos de ses mains. Il avait des marques desquelles émanait une grande lumière. C'était Jésus ! C'était Lui qui enveloppait le célébrant de son Corps comme s'Il enveloppait amoureusement les mains de l'Archevêque. À ce moment, l'Hostie commença à grandir et devint énorme et dessus, apparut le visage merveilleux de Jésus qui regardait son peuple.

                 À suivre...

La deuxième (et dernière) partie de ce texte sera publiée dans le prochain numéro de Vers Demain.

Poster un commentaire

Vous êtes indentifier en tant qu'invité.

Panier

Dernière parution

Infolettre & Magazine

Sujets

Faire un don

Faire un don

Aller au haut
JSN Boot template designed by JoomlaShine.com