C'est dans l'intérêt de puissants groupes financiers que le Québec se sépare, et qu'une fois le Québec séparé du reste du Canada, les autres provinces n'aient d'autre choix que de se joindre aux États-Unis d'Amérique et former de nouveaux tats américains.
Selon Shelley Ann Clark, une employée du Ministère canadien des Affaires Extérieures ayant collaboré à l'élaboration de l'Accord de Libre-Échange entre le Canada et les États-Unis, signé en 1988, une version tronquée de cet accord fut présentée aux provinces pour obtenir leur approbation, le véritable accord (non divulgué aux provinces ni au public) stipulant que les États-Unis auront accès à tout le pétrole et l'eau douce du Canada, et cela même avant les Canadiens. D'immenses pipe-lines seront construits pour détourner l'eau douce du nord canadien vers les états-Unis. Le Canada anglais, ainsi privé de ses sources d'énergie, n'aurait d'autre choix que de se joindre aux États-Unis. En fait, la création d'un seul État en Amérique du Nord est une étape prévue par les Financiers pour atteindre leur objectif ultime d'un seul gouvernement mondial.
Il est facile de comprendre qu'un Québec souverain ne ferait tout simplement pas le poids en face de cet immense État nord-américain, et que le Québec serait bientôt lui aussi absorbé par les États-Unis, pour qui la survie de la langue française en Amérique du Nord serait le dernier des soucis. De plus, les programmes sociaux seraient beaucoup moins avantageux dans ces États-Unis agrandis que dans le Québec et le Canada actuels.
La séparation du Québec serait donc un désastre à la fois pour le Québec et pour le reste du Canada. Faisons tout ce qu'il faut pour l'éviter !