EnglishEspañolPolskie

Hommage à nos belles famines créditistes

Thérèse Tardif le mercredi, 01 juin 1994. Dans Famille

Bastion de l'Église et de la patrie

En cette année de la famille, nous rendons hommage à nos belles familles créditistes. Dans cette page, nous ne pouvons présenter en photo que trois d'entre elles., Mais elles sont nombreuses les familles de nos rangs qui ont de nombreux enfants. Les parents suivent l'enseignement de l'Église catholique en tout. Ils acceptent avec joie et recon­naissance les enfants que Dieu veut leur donner. Et ils pren­nent leurs responsabilités de parents chrétiens. Aussi nous voyons des enfants qui ont la foi, qui sont bien éduqués et qui sont heureux. Les mamans sont entièrement à leur vocation de mère et d'épouse. Elles n'ont pas le temps de travailler hors du foyer. Et le père, s'il doit sortir du foyer pour gagner le pain, n'en oublie pas pour autant son rôle de chef de famille et d'éducateur de ses enfants. Oui, nous pouvons le proclamer aujourd'hui, heureux sont les enfants qui ont de tels parents !

Nos pauvres enfants modernes sont sans parents ou ils en ont de trop ! C'est le fruit de l'athéisme enseigné sur une haute échelle à la télévision et dans nos écoles.

Malheureusement, en cette année de la famille, la So­ciété des Nations Unies, organisation internationale, pro­pose la contraception et l'avortement pour empêcher des enfants de naître et pour tuer la famille. Comme le dit le Saint-Père le Pape, désolé de ces propositions : « Nous crai­gnons que cette année pour la famille ne devienne une année contre la famille. »

Nous faisons nôtres ces belles paroles de Pierre Le­maire parues dans "Familles 1994 Église", dans son numéro spécial sur la famille, daté d'avril 1994 :

..."Un enfant qui naît doit être le fruit d'un pacte d'a­mour indissoluble entre son père et sa mère et non pas le fruit du hasard : il est une personne dotée, dès sa conception, d'une « âme faite à l'image et à la ressem­blance de Dieu », il est une personne aimée de Dieu et destinée par Lui à peupler son Royaume éternel !...

"Cet enfant va-t-il pouvoir se passer de l'amour de sa mère qui va l'élever ; de son père qui va surveiller son éducation, afin qu'il soit préservé du mal et que grâce au discernement, il connaisse le bien et le beau, l'Amour fi­nalité de toute son existence, au long des années qui lui seront données sur la terre, pour qu'il puisse en jouir é­ternellement « en Dieu ».

"Le problème des familles devrait bouleverser tous les chrétiens et particulièrement les catholiques qui doi­vent écouter les enseignements ; le Pape Jean-Paul II veut, dans un effort certain de son aboutissement, et non pas désespéré, sauver la famille, les sociétés qui sont en com­plet déséquilibre parce qu'elles ne reconnaissent plus l'or­dre moral."

Oui, ce qui a détruit la famille, c'est cet enseignement pervers de l'athéisme qui ne reconnaît ni Dieu ni ses Com­mandements. Sans la pratique des Commandements de Dieu, tout est détruit, les familles, les sociétés, l'homme lui-même, qu'on empêche de naître par l'avortement, etc.

La cause primordiale qui a détruit la famille, c'est le travail de la mère hors du foyer. Une femme au travail hors du foyer ne peut accueillir avec joie la venue d'un enfant, puisque des enfants cela exige du temps. Après sa journée de travail à l'extérieur, elle doit faire le ménage, le lavage, préparer les repas, etc. Du temps pour des enfants, non, elle n'en a pas. Puis le travail à l'extérieur favorise les di­vorces. Une autre plaie des temps modernes.

Une mère doit nourrir ses enfants dès leur conception jusqu'à l'âge adulte. Il y a quelque temps, une fillette de 12 ans me demandait ce que signifiait ces pancartes que nous installons partout : "Pour 12 000 $ à la mère au foyer". Je lui ai répondu que c'était pour permettre aux mères de res­ter au foyer pour élever leurs enfants, pour les aider, pour les aimer... "Oui madame, continua la fillette avec beaucoup de tristesse dans la voix, et pour nous donner à manger." Un grand malheur, les enfants n'ont rien à manger, parce que « maman » travaille hors du foyer.

En cette Année de la Famille, les Pèlerins de saint Mi­chel ont mille fois raison d'intensifier leur campagne pour obtenir une allocation de 12 000 $ par année à la mère au foyer, afin de permettre aux mères d'accomplir leur prèmier devoir, celui d'élever leurs enfants, de les éduquer et de les nourrir.

Dieu, notre Père, accordez aux enfants, un père et une mère qui les accompagneront tout au long de leur vie d'en­fant jusqu'à l'âge adulte, sur les chemins qui conduisent au bonheur temporel en attendant le bonheur éternel dL Ciel.

Thérèse Tardif

Thérèse Tardif

Poster un commentaire

Vous êtes indentifier en tant qu'invité.

Panier

Dernière parution

Infolettre & Magazine

Sujets

Faire un don

Faire un don

Aller au haut
JSN Boot template designed by JoomlaShine.com