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Révolutionnaires ou éveilleurs ?

le mercredi, 01 août 1945. Dans La vie créditiste

La deuxième causerie de l'Union Créditiste des Électeurs, sur la liberté des catholiques vis-à vis du Créait Social, se terminait par les remarques suivantes :

Mais, s'exclament des adversaires, votre lit­térature ? Est-ce qu'une haute autorité religieu­se n'a pas déjà déclaré, en 1941, que de la lit­térature créditiste s'exhalait un souffle révolu­tionnaire ?

Nous laissons à chaque auteur le soin d'expli­quer ses propres avancés. Mais nous sommes parfaitement en droit de demander :

Où sont les révolutionnaires formés par la lit­térature créditiste, soit avant soit depuis 1941 ? Combien de vitrines cassées, combien de coups de revolver ou de matraque, combien de sabo­tages ont été suscités par les écrits créditistes, depuis dix années qu'il s'en publie dans la pro­vince de Québec ?

Affirmer est une chose, prouver en est une autre.

Si l'on veut parler d'hommes debout, refusant la torpeur et l'engourdissement, sortant de l'em­bourgeoisement et poussant leurs concitoyens à l'étude et à la vigilance, luttant contre l'esprit de parti et invitant les citoyens à s'occuper de leurs affaires publiques — si c'est cela qu'on veut dire par révolutionnaires, oh ! alors, nous admet­tons joyeusement la responsabilité.

Je pourrais citer des noms de prêtres, et même d'évêques, dont j'ai reçu personnellement des en­couragements, avant 1941 et depuis, qui m'ont exprimé le vœu de voir réussir et se diffuser le journal VERS DEMAIN. Je ne le ferai point, pour ne rien envenimer ; et je n'ai d'ailleurs point le droit de divulguer une correspondance de ca­ractère confidentiel.

Le Crédit Social a toujours été conduit à ciel ouvert. Croit-on que, si le mouvement créditiste avait dérogé aux directives des autorités ecclé­siastiques, ou s'il avait offensé le dogme et la morale, les autorités ne seraient pas intervenues plus d'une fois depuis 1941, puisque c'est depuis ce temps-là que le mouvement s'est répandu dans la province de Québec ?

Pourquoi donc les politiciens s'acharnent-ils à nous ressasser des remarques faites en 1941, sans prendre la peine de mentionner les circonstances ou les faux rapports qui ont pu y donner lieu ? N'ont-ils rien de plus récent dans leurs archives ?

Vouloir faire un procès religieux au Crédit So­cial en 1945, serait vouloir condamner la vigi­lance des pasteurs catholiques, chargés de veiller sur leur troupeau bien avant aujourd'hui :

D'ailleurs, c'est bien assez cocasse, n'est-ce pas, que ce soient les politiciens qui veulent faire ce procès religieux !

Il est ridicule pour un publiciste de parti, gen­re Guy Bousquet, après avoir déblatéré contre le Crédit Social, de se camper sur ses ergots et de s'écrier : "Je suis en bonne compagnie, je suis avec le Cardinal Villeneuve."

Le Cardinal n'est pas avec les politiciens, pas plus avec le parti libéral qu'avec les autres. Il est avec les âmes et avec le parti de Jésus-Christ, comme il l'a lui-même proclamé, justement en 1941.

Qu'on cesse donc une bonne fois d'exploiter la religion contre le Crédit Social dans la province de Québec. Cela ne se fait que dans cette pro­vince.

Personne n'est obligé de croire au Crédit So­cial ni de joindre le mouvement créditiste. N'im­porte qui est libre de le combattre tant qu'il voudra. Mais que les politiciens restent donc sur le terrain politique et sur le terrain écono­mique. Et là, il nous fera plaisir de faire face aux plus gros canons, qu'ils soient catholiques, protestants, juifs, francs-maçons ou mahomé­tans.


À MONTRÉAL CHAQUE SEMAINE

St-Jacques et Ste-Marie — Le jeudi, chez Elzéar Charlebois, à 2232 rue Harmonie.

St-Henri, Verdun, Ste-Anne — Le mardi, chez Donat Fortin, à 3782 Boulevard La Salle.

Laurier, Jeanne-Mance — Le mercredi, chez Maurice Piché, à 8022 rue Lajeunesse.

Hochelaga, Maisonneuve — Le jeudi, chez Jos. Ga-gnon, 565 rué Viau, Appt. 3.


Conseils municipaux éclairés

Les conseils des municipalités suivantes ont adopté une résolution, votée à l'unanimité, pour demander au gouvernement provincial l'institu­tion d'un système de Maisons du Trésor sembla­ble à celui qui fonctionne en Alberta, avec beau­coup d'avantages, depuis 1938 :

Thetford    East Broughton Station

La Sarre    Ste-Séraphine

St-Martin    Kénogami

Val d'Or    N.-D. de Lourdes

St-Nicéphore    Plessisville

Asbestos    Macamic

St-Frédéric    St-Odilon

Dans d'autres municipalités, la question est devant le Conseil. Certains conseils objectent que c'est une question du domaine provincial. Parfaitement. Aussi ne demande-t-on pas au municipal d'instituer les Maisons du Trésor, mais de demander au provincial leur institution.

Comme les particuliers, les conseils munici­paux en profiteront. Si l'on ne demandait ja­mais ce qui dépend d'une législation du gouver­nement, le gouvernement ne connaîtrait pas les désirs généraux de la population. Les intérêts financiers savent bien demander des privilèges qui dépendent du gouvernement ; ils ne disent pas : ce n'est pas de notre domaine, c'est du domaine du gouvernement. Ils demandent, in­sistent et obtiennent.

Mais il faut aussi que les particuliers, les ci­toyens demandent à leurs conseils municipaux de passer une telle résolution, ou bien le conseil ne la passera pas, parce qu'il ne saura pas qu'elle correspond à un vœu général des citoyens ren­seignés de la municipalité.


Dans Dorchester après l'élection

Madame Émile Guay, de St-Léon de Standon, écrit :

"Vous trouverez ci-inclus deux abonnements. Ce sont les premiers que je recueille, car je n'ai pris connaissance du programme du Crédit Social qu'il y a deux mois à peu près.

"Dès que j'ai compris, j'ai senti naître l'ar­deur pour propager le mouvement. C'est sans hésiter que, le 11 juin dernier, j'ai laissé la garde de mes six jeunes enfants pour représenter le candidat créditiste au bureau de votation.

"Je demeure dans une paroisse d'à peu près 1,200 voteurs ; et sur ce nombre, 35 seulement ont voté pour M. Grégoire. C'est vous dire que le Crédit Social n'est pas encore beaucoup con­nu ici. La plupart ne se sont pas donné la peine d'aller aux conférences ou aux assemblées. Ce ne fut qu'après les élections qu'on s'est aperçu que plusieurs se réveillaient et demandaient à entendre parler du Crédit Social.

"N'étant que novice dans la cause, je réponds de mon mieux et je discute de ce dont je suis sûre. Pour le reste, je le laisse en suspens, jus­qu'à ce que je reçoive le Message ou le journal.

"J'ai commencé à m'occuper des requêtes à faire signer, dès que je les ai reçues."

Nous souhaitons à cette vraie femme de Nou­velle-France bien des imitatrices, et bien des imi­tateurs aussi. C'est de la promptitude à entrer en action. Quand on a appris de A à G, pas besoin d'attendre à connaître jusqu'à Z pour montrer au moins A et B aux autres.


Un autre secrétaire de Pucerons

Dans notre dernier numéro, nous avons parlé du Comité des Pucerons. Nous disions que le secrétaire des Pucerons pour le district de Qué­bec, Jules-Paul Tardivel, profitait des listes qu'il avait eues lorsqu'il était dans notre mouvement, pour envoyer des circulaires jusqu'au Lac St-Jean.

Dans le district de Montréal, le secrétaire est Dollard Richard, et lui aussi envoie des circu­laires partout où il connaît des noms de créditistes ardents, jusqu'en Abitibi et au Témiscamingue. Évidemment, ce n'est pas lui qui a fait ces cré­ditistes, puisqu'il est un Puceron, et les Pucerons sont des parasites.

Dollard Richard a déjà été, lui aussi, dans no­tre mouvement, puis s'en est éloigné, puis y est revenu, puis est allé au Bloc Populaire Canadien. Il assista au premier congrès du Bloc, à l'Hôtel Windsor, et se fit même nommer membre d'un comité permanent du Bloc.

Il est revenu rôder à notre porte depuis, mais nous l'avons prié de rester avec le Bloc. Le voi­ci avec les Pucerons. Les créditistes avertis sau­ront quoi faire avec ses circulaires.


Dans l'Islet

Le comté provincial de l'Islet compte de nom­breux créditistes depuis plusieurs années. Une tournée d'organisation en 1938, à Cyrille, St­-Adalbert, St-Pamphile, Ste-Perpétue, Tourville, St-Jean Port-Joli, avait porté des fruits. Cepen­dant, le comté ne manifestait pas beaucoup d'activités créditistes ces derniers temps. Mais la campagne électorale lui a fait du bien.

Le 12 juillet dernier, Gérard Mercier, de pas­sage à St-Jean Port-Joli, y convoquait une as­semblée des responsables du comté. Elle fut enthousiaste. Les principaux responsables des deux comtés voisins, Kamouraska et Montmagny, tin­rent à y assister, bien que cela signifiât pour eux des déplacements de 65 et de 45 milles, respec­tivement.

Trois équipes du comté de l'Islet ont promis de faire des sorties dans le comté tous les di­manches.


Les vendredis de Québec

Les créditistes actifs de Québec continuent leur réunion hebdomadaire du vendredi soir, à la salle du Palais Montcalm.

Revenant de la réunion du vendredi, 13 juil­let, Gérard Mercier nous dit que les Québecois n'ont point la superstition des vendredi-13. Ils étaient plus enthousiastes que jamais, et se sont promis de sortir en nombre le dimanche suivant.

Le dimanche suivant, une pluie battante a du­ré toute la journée.. N'importe, on faisait du porte en porte, et en campagne. Pour sa part, l'équipe d'Adélard Bélair rapportait 17 abonne­ments de St-Laurent, Île d'Orléans.

M. Bélair est le candidat battu dans le comté le 11 juin dernier. Mais il tient sa parole : Élu ou battu, vous me verrez encore après l'élec­tion. — Comme tous les vrais créditistes, d'ail­leurs.


Rencontre des députés fédéraux

L'Union Créditiste des Électeurs organise des rencontres avec les députés fédéraux, dans leurs comtés respectifs, d'ici l'ouverture de la session fédérale.

Le but de ces rencontres, les unes en assem­blée publique, les autres en délégations, c'est d'exprimer au député du comté les vues de ses commettants sur des points d'actualité. En démocratie, il ne doit point y avoir de cloison étanche entre les citoyens et leurs représentants. Au contraire, les députés existent précisément pour exprimer au gouvernement la volonté de ceux qu'ils représentent.

Dans Montréal, on fera une assemblée collec­tive pour les 13 comtés de l'île. De même, à Québec, pour les trois comtés fédéraux de la ville.

L'organisation de chaque comté prépare sa propre délégation et fixe la date qui lui convient.

Dans les comtés dont la liste est donnée ci-dessous, la délégation se doublera d'une assem­blée publique. On profitera de ce ralliement pour faire de l'action créditiste et exposer au public l'objectif et le fonctionnement de l'Union des Électeurs, avant de rencontrer le député.

Le journal Vers Demain donnera un rapport de ces assemblées, ainsi que de l'attitude prise par chaque député invité à rencontrer ses élec­teurs.

Des critiques pourront dire qu'il ne s'agit que d'une partie des électeurs. Si l'on veut, mais les portes ne sont point fermées ; tout se fait au vu et au su de tout le monde ; tous les électeurs qui s'occupent de la chose publique sous le signe du bien commun sont invités à y participer. Rien, d'ailleurs, n'empêche d'autres organisations de pratiquer, elles aussi, la démocratie et de don­ner des commissions à leurs représentants au Parlement.

Assemblées de comtés

MONTREAL — Assemblée collective à la Salle de l'Assistance Publique, 460 Lagauchetière Est, Mercredi, 8 août, à 8 heures du soir.

QUEBEC — Palais. Montcalm, Mercredi 15 août, à 8 heures du soir, pour les trois comtés fédéraux de la ville.

QUEBEC-MONTMORENCY — Loretteville, Sal­le Montcalm, Dimanche, 12 août, à 8 heures du soir.

LEVIS —Lévis, Hôtel-de-Ville, Dimanche, 5 août, à 8 heures du soir.

BEAUCE — St-Georges, Hôtel-de-Ville, Dimanche, 5 août. A midi, ralliement des équipes du com­té pour l'action. A 2.30, assemblée publique.

DORCHESTER — Ste-Claire, Salle paroissiale, Di­manche, 5 août, à 8 heures du soir.

MONTMAGNY-L'ISLET — Montmagny, Salle de la J.O.C., Dimanche, 12 août. A midi, râl­liement des équipes du comté pour l'action. A 2.30, assemblée publique.

KAMOURASKA — St-Pascal, Salle paroissiale, Di­manche, 12 août, à 8 heures du soir.

TEMISCOUATA — Rivière-du-Loup, Salle des Forestiers, Dimanche, 19 août. A midi, rallie­ment des équipes du comté pour l'action. A 2.30, assemblée publique.

RIMOUSKI — Rimouski, Hôtel-de-Ville, Diman­che, 19 août, à 8.00 heures du soir.

MATANE-MATAPEDIA — Sayabec, Salle paroissiale, Dimanche, 19 août, à 8 heures du soir.

CHARLEVOIX-SAGUENAY — Ste-Anne de Beaupré, Salle du Collège, Dimanche, 12 août. A midi, réunion des équipes du comté pour l'action. A 2.30, assemblée publique.

PORTNEUF — Portneuf Village, Salle paroissiale, Dimanche, 19 août, à 8 heures du soir.

CHAMPLAIN — Ste-Geneviève, Salle paroissiale, Dimanche, 19 août, à 8 heures du soir.

ST-MAURICE-LAFLECHE — Shawinigan, Poste de Police no. 2, Dimanche, 5 août, à 8.00 heu­res du soir.

CHICOUTIMI — Chicoutimi, Salle paroissiale, Di­manche, 12 août, à 8 heures du soir.

LAC-ST-JEAN ROBERVAL — Métabetchouan, Salle publique, Dimanche, 12 août. A midi, ralliement des équipes du comté pour l'action. A 2.30, assemblée publique.

CHAPLEAU — Taschereau, Salle paroissiale, Di­manche, 5 août. A 2 heures, ralliement des équipes du comté ; à 4 heures, visites ; à 8 heures, assemblée publique.

PONTIAC — Rouyn, Hôtel Albert, Dimanche, 12 août. A 2 heures, ralliement des équipes du comté ; à 4 heures, visites ; à 8 heures, assem­blée publique.

MEGANTIC-FRONTENAC — Thetford, Collège St-Alphonse, Dimanche, 12 août. A midi, ral­liement des équipes du comté pour l'action. A 2.30, assemblée publique.

RICHMOND-WOLFE — Asbestos, Hôtel-de-Ville ; Dimanche, 19 août. A midi, ralliement des équipes du comté pour l'action. A 2.30, assem­blée publique.

COMPTON — East Angus, Hôtel-de-Ville, Di­manche, 5 août, à 8 heures du soir.

SHERBROOKE — Sherbrooke, Salle Ste Jeanne d'Arc, Dimanche, 19 août, à 8.00 heures du soir.

STANSTEAD — Coaticook, Salle St-Jean-Bap­tiste, Dimanche, 5 août, à 2.30.

SHEFFORD — Granby, Collège du'Sacré-Cœur, Dimanche, 19 août. A midi, ralliement des équipes du comté pour l'action. A 2.30, as­semblée publique.

DRUMMOND-ARTHABASKA — Drummondvil­le, Ecole St-Frédéric, Dimanche, 19 août, à 8 heures du soir.

ST-HYACINTHE-BAGOT — St-Hyacinthe, Sal­le des Œuvres, 1895 rue Girouard, Di­manche, 12 août. A midi, ralliement des équi­pes du comté pour l'action. A 2.30, assemblée publique.

RICHELIEU-VERCHERES -Sorel, Salle des Ba­zars, rue Ramesay, Dimanche, 12 août, à 8 heu­res du soir.

LAVAL-DEUX-MONTAGNES -Ste-Scholasti­que, Salle municipale, Dimanche, 5 août. A mi­di, ralliement des équipes du comté pour l'action. A 2.30 assemblée publique.

ARGENTEUIL — Lachute Mills, Salle McCarthy, Dimanche, 5 août, à 8 heures du soir.

PAPINEAU — St-André-Avellin, Salle paroissiale, Dimanche, 19 août. A midi, ralliement des équipes de comté pour l'action. A 2.30, assem­blée publique.

HULL — Hull, Salle St-Joseph, Dimanche, 12 août, à 8 heures du soir.


Congrès ou pas de Congrès ?

Les restrictions imposées sur les congrès sont prolongées pour un terme indéfini. La Com­mission des Prix annonce qu'elle ne fera aucune exception et n'accordera aucune permission spé­ciale. Pas de Congrès nécessitant de voyages en chemin de fer, ou en autobus par plus de 50 per­sonnes.

Quatre au lieu d'un

Pourtant, il faut que les créditistes se rencon­trent et rencontrent la direction, qu'ils fassent une révision de l'année et dressent leur program­me pour une année nouvelle.

Nous avons cru trouver une bonne solution en faisant quatre ralliements régionaux au lieu d'un seul ralliement provincial. Cela permettra à plus de monde d'y assister, la plupart en automobiles privés, et la Commission Gordon n'aura rien à dire.

Chaque ralliement durera une pleine journée et comprendra toute l'essence de nos congrès ha­bituels : exposés par les directeurs ; programmes ; deux heures d'action sur place ; parade d'autos et de drapeaux, assemblée publique. Un diman­che bien plein dans chaque cas.

Les ralliements auront lieu aux places sui­vantes :

Québec, dimanche, 2 septembre ;

Sorel, dimanche, 9 septembre ;

Rouyn, dimanche, 16 septembre ;

Thetford, dimanche, 23 septembre.

On donnera le programme détaillé de chacune de ces journées dans un prochain numéro de Vers Demain. Nos créditistes choisiront le ral­liement qui leur convient.

Médailles-drapeaux

Au moins d'ici les ralliements de septembre, nous envoyons une médaille-drapeau pour deux abonnements reçus en même temps ; 2 médailles pour 4 abonnements, etc. Aussi en échange des coupons roses : une médaille pour deux coupons. Mot d'ordre : La médaille créditiste sur toutes les poitrines !


Le coin des actifs

On abonne tout le monde

Le coupon d'abonnement ci-contre, avec son dos pour marquer les activités de la quinzaine, ne doit pas rester inutilisé. Les bons créditistes le prennent, le remplissent en abonnant deux personnes, et nous l'envoient. En même temps, au revers, ils inscrivent leurs activités de la quinzaine.

Le Crédit Social ne peut marcher que par l'action des créditistes. Nous disposons le "coin du créditiste actif" de façon qu'il puisse le découper et s'en servir sans tailler dans les articles du journal. Nous faisons la même chose pour la formule à signatures, pages 5 et 6.

VERS,DEMAIN n'est pas seulement un orga­ne d'instruction, mais aussi un organe d'action. Il ne suffit pas d'étudier et d'admirer le Crédit Social, il faut poser des actes pour l'avoir. Seuls les créditistes peuvent faire avancer le Crédit Social. Plus il y aura de personnes à bouger, plus vite la cause avancera. Tout le monde à l'œuvre. Chacun sa part, sa grosse part.

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