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Rapports et activités des Pèlerins de saint Michel 03-94

Gérard Mercier le mardi, 01 mars 1994. Dans Apostolat

Chaque pays doit créer son argent

Finies les dettes publiques

Le système d'argent-dette a assez de morts à son crédit pour en crever

par Gérard Mercier

Notre assemblée du 23 janvier à Rougemont, le quatrième dimanche du mois, a encore été bien réussie malgré le froid de janvier. Nous avons eu la joie de voir plusieurs nouveaux de Montréal et des alentours. Léonard Murphy donne le meilleur de lui-même pour y lever une ar­mée de nouveaux travailleurs. Il fait du porte en porte tous les jours et plusieurs nouveaux le font veiller jusqu'à minuit, une heure. Bon succès Ville-Marie !

Pierre Marchildon a ouvert l'assemblée avec de très bonnes nouvelles de Toronto. À l'assemblée du mois de janvier, à Toronto, 35 nouveaux, 20 abonnements, 68 $ de littérature vendue, collecte de 161 $. À l'entrée de la salle, la petite Clara Gingras, 12 ans, faisait signer notre pétition contre les taxes et pour que le gouverne­ment imprime, crée son argent au lieu de remprunter des banques. Laurette Gingras, 13 ans, donnait 8 à 10 circulaires "Michael" à chacun, pendant que nos Créditistes étaient bien affairés pour parler à tous ces nouveaux et à les abonner. Roger Gingras continue à recevoir plusieurs téléphones et commandes de circulaires. Un groupe de Toronto, avec l'aide de leur avocat, s'or­ganise pour ne plus payer l'impôt fédéral inconstitutionnel.

Les petits commerces de Toronto sont étouffés par les taxes qui ont été augmen­tées de 300 à 400% (de 3 000 $ à 16 000 $). Les banques disent qu'elles vont les se­courir. Elles leur offrent des prêts de 50 000 $ à 7% d'intérêt, pourcentage qui augmentera à 17% après deux ans. Quel secours ! Cela veut dire que les banques vont tout prendre.

Yves Potvin, de Kitchener, en Ontario, continue ses activités créditistes. Il va de l'avant au porte en porte, il a pris lui-même dans une journée 26 abonnements. Il est à l'action tous les jours. Nous vous ad­mirons et nous vous remercions pour l'ex­emple que vous nous donnez, cela encourage tous nos vieux apôtres. Et cela nous aide à en trouver d'autres dans la fleur de l'âge.

À notre assemblée du mois, plusieurs autres, après monsieur Sickler, sont venus donner des rapports de leurs activités. Cette séance des rapports des activités est toujours bien appréciée de l'assistance, c'est toujours bien émotionnant de voir passer à tour de rôle tous ces apôtres de don total.

L'Ouest canadien en feu !

Jean-Pierre Richard va prendre du temps à se rendre à Vancouver, il est réclamé de partout. Il est présentement en­core en Saskatchewan, où il tient plusieurs assemblées et fait aussi du porte en porte. Il a pris en trois semaines 470 abonne­ments à "Michael" et vendu plusieurs bro­chures, et recueilli des dons pour les circulaires. Il fait une tournée bien fruc­tueuse pour l'avancement de la réalisation du Crédit Social. Félicitations et bon suc­cès !

Il va falloir envoyer un autre Plein-Temps en Colombie canadienne parce que Jean-Pierre est encore en Saskatchewan et les gens ne veulent pas le laisser partir pour l'Alberta et la Colombie. Un homme d'affaires a dit à Jean-Pierre Richard :

"Vous, les Bérets Blancs, vous avez bien parti l'affaire contre les taxes, contre les impôts, contre le vol du système d'argent, et cela ne restera pas là, j'ai beaucoup de relations avec des dépu­tés, des hommes d'affaires, des journa­listes, des associations... Et ça va barder, vous allez avoir de l'aide."

Pauvre Jean-Pierre, c'est encore plus excitant en Alberta, nos hommes clés reçoivent une avalanche de téléphones pour demander des circulaires et nous ici, au bureau, c'est la même chose.

Monsieur et madame Lucien et Carmel Parenteau me téléphonent de Rivière-à-la­-Paix, en Alberta, pour me dire : "Nous n'avons jamais vu un tel réveil, nous recevons des téléphones du Manitoba, de la Saskatchewan, de l'Alberta et beaucoup de la Colombie canadienne. Nous avons hâte de recevoir notre com­mande de circulaires pour en servir à plusieurs."

Madame Parenteau nous annonce que le journal "Victoria's Monday", de Victoria, annonce que si vous ne voulez pas payer de taxes, des impôts, commandez les livres suivants et il donne les noms des livres mentionnés sur la circulaire du journal "Michael", avec les prix. Il mentionne aussi le journal. "Michael". Et il donne le numéro de téléphone pour avoir les livres : 1-604-­893-5850. Ce même journal dit que 10 000 Canadiens n'ont pas payé leur impôt.

Notre responsable de circulaires à Ed­monton, en Alberta, reçoit lui aussi beau­coup de téléphones et de commandes de circulaires. Je vous ai dit dans la lettre du mois de janvier que madame Gaile Slosar­chuk, d'Edmonton, en Alberta, a téléphoné pour avoir 50 000 circulaires. Et notre res­ponsable Jim Rasmussen, d'Edmonton, qui nous en avait déjà commandé 50 000, nous en a demandé 40 000 autres. Voilà du monde décidé ! Pauvre Jean-Pierre, il en a de la besogne !

Au Manitoba, notre responsable Jean-Baptiste Grégoire, de Lorette, reçoit lui aussi beaucoup de téléphones et de com­mandes de circulaires. Il nous envoie toutes les adresses et il nous écrit : "C'est très en­courageant !" Il a été interviewé par Ra­dio-Canada.

Voici une fameuse lettre adressée à notre directrice, madame Gilberte Côté-Mercier, de la part du Ministre de l'écono­mie du gouvernement de l'Alberta :

"Chère madame Gilberte Côté-Mer­cier, je veux vous remercier pour votre récente lettre (concernant la résolution pour que le gouvernement du Canada im­prime, crée l'argent pour le pays au lieu de l'emprunter des banques.) J'apprécie beaucoup votre suggestion et je vous promets que j'informerai le gouverne­ment à l'occasion sur cette question. Je vous remercie de m'avoir informé à ce sujet. Mes meilleurs vœux — Ken Kowalski."

Yves Jacques est un bien admirable Plein-Temps-Local appuyé de sa brave épouse de 4 enfants. Il donne dans le mois plusieurs jours de grand apostolat un peu partout au Canada et aux États-Unis. À Thetford, avec Gratien Veilleux, dans un après-midi et une soirée, 40 abonnements et le lendemain, 84 abonnements. Bravo ! et grand merci aux deux apôtres pour le bon exemple, cela aide à en décider d'autres.

Voici un mot, daté du 23 janvier 1994, d'un Acadien exemplaire de St-Jean, au N.B., Alyre Richard, d'un tempérament plutôt réservé, mais avec sa belle âme et ses convictions créditistes qui lui font vaincre le tout :

"J'ai résolu de prendre de l'abonnement régulièrement. Il est plus qu'urgent de faire tout ce que nous pouvons en face des événements qui s'en viennent. Voici mon rapport pour les deux dernières semaines : 19 abon­nements en 4 sorties — Alyre Richard."

Ça promet, Alyre, félicitations et grand merci pour ton exemple. Tes sacrifices ad­mirables et bien méritoires devant Dieu devraient décider tous les vieux Créditistes et les jeunes à passer à l'action. Alyre n'est plus une jeunesse, il est grand'père de plu­sieurs enfants.

Nous envoyons par la poste notre fameux 8-pages pour couvrir totalement la ville de St-Jean et les environs, au Nou­veau-Brunswick. C'est le désir de notre brave Alyre Richard. Il est là toutes les se­maines pour faire la croisade et il paie le tout. Il est décidé depuis toujours. Et voici que Mr. et Mrs. Cartwright, de St-Stephen, au Nouveau-Brunswick, complètement au sud-ouest de la province, près du Maine, nous écrivent pour avoir 200 circulaires de toutes les sortes. Et ils veulent connaître le nom et le numéro de téléphone du Crédi­tiste le plus près d'eux. Ils veulent faire leur part d'action. Nous avons donc donné à Alyre Richard leurs adresse et téléphone. Il va aller les voir.

C'est l'inaction des Créditistes qui em­pêche la réalisation de notre beau Crédit Social. Prions saint Michel, saint Louis Even, de nous donner le feu de l'apostolat pour répandre notre fameux journal Vers Demain, il fera aux autres ce qu'il a fait de nous. N'allez pas croire aux patentes pour arriver au Crédit Social. N'allez pas croire non plus que c'est seulement dans l'Ouest que ça bouge, ça bouge également dans l'Est. C'est un grand réveil d'un océan à l'autre. De nouveaux apôtres s'ajoutent au combat, des vieux Créditistes augmentent leurs activités.

Voici une bonne lettre, du 15 décembre 1993, encourageante pour les Plein-Temps et les anciens Plein-Temps qui ont fait et peuvent encore faire beaucoup pour la cause, de la part de Jean-Nil Chabot, an­cien Plein-Temps qui envoie son réabonne­ment pour 4 ans et qui demeure en Ontario :

"Chers amis créditistes, depuis quelque temps j'aime de plus en plus Vers Demain. Il semble que le mouve­ment explose. Depuis mon départ comme Plein-Temps en 1967, c'est la première fois qu'il me semble que je voudrais être encore Plein-Temps. Mais alors, pourquoi ne prends-tu pas de l'abonnement ? allez-vous me dire. Bonne question... Je vous souhaite de joyeuses et saintes Fêtes. Vôtre dans les Cœurs de Jésus et de Marie — Jean-Nil Chabot."

Monsieur et madame Paul-Émile Julien, de Chelmsford, en Ontario, sont re­tournés à Gatineau, lundi le 31 janvier 1994, jusqu'à ce qu'ils atteignent 3 000 au­tres abonnements, ce qui leur fera 5 000 abonnements pour leur objectif de l'année. Ils ont déjà au-delà de 2 000 abonnements de pris. Madame Simone Gingras, d'Ottawa, en Ontario, qui est rendue à 1 130 abonnements, a fini son déménage­ment. Vous la verrez sous peu sauter à 2 000 abonnements et en route pour les 3 000 abonnements. Quels aides ces trois-là ! Les trois ont beaucoup de petits en­fants, ce sont des gens qui ont travaillé bien fort toute leur vie. Comment compren­dre qu'ils puissent encore dépenser tant d'énergies pour le triomphe de la justice. Ils ont un grand cœur, leur âme est belle. Ils comprennent la valeur de Vers Demain et ils savent que tout bon Créditiste doit donner le meilleur de lui-même. Il ne reste pas grand temps.

Créditistes de par le monde, vous avez de grands personnages qui prient pour vous et qui cherchent le moyen d'arriver au plus vite au Crédit Social pour plus de jus­tice et pour soulager les pauvres déshérités qui meurent de faim. Comment remercier tous ces chers collaborateurs, nous deman­dons aux Puissances célestes de le faire pour nous.

Le curé de la paroisse St-Louis de France, de Powassan, en Ontario, nous a envoyé un fax pour avoir des circulaires. Il écrit :

"J'ai lu avec grand intérêt votre huit pages concernant l'impôt, je veux en distribuer parce que je suis con­vaincu que c'est la solution à notre situation financière ridicule. Je peux facilement en distribuer... — Rev. F. Proulx."

Chers abonnés, abonnez les autres

Créditistes, notre journal Vers Demain est très bien fait, tout le monde nous l'écrit, les gens n'en reviennent pas, ils en sont enthousiastes. Je crois le jour arrivé comme au début du mouvement où de sim­ples abonnés se mettaient à prendre de l'abonnement autour d'eux, c'est ainsi que s'est formée toute une armée d'abonneurs, d'apôtres à travers le pays. L'heure est ar­rivée pour une levée générale de patriotes, de Créditistes ardents, pour répandre notre fameux journal Vers Demain, le plus beau au monde.

Présentement, je donne à tous les hommes d'affaires qui trouvent que nous menons un vrai bon combat, un livret de blancs d'abonnement en leur disant :

"Vous allez nous aider, ça regarde tout le monde, ne refusez pas cela, monsieur. Vous pouvez faire énormément en sol­licitant tous vos fournisseurs, vos em­ployés, vos connaissances."

Et les hommes d'affaires acceptent très bien. Tous au combat, ce combat regarde tout le monde. N'attendons pas que le gouverne­ment mondial soit bien installé. Avec son argent mondial et sa religion mondiale, nous ne pourrons plus dire un seul mot. Je donne des livrets d'abonnement à toute personne sérieuse que je rencontre, ça re­garde, encore une fois, tout le monde. C'est en demandant des aides que nous en trou­verons. Faites ainsi, chers Créditistes, tous à chercher d'autres combattants.

Mes bons amis, nous ne sommes qu'un petit groupe qui bouge vraiment. Et nous montons nos journaux Vers Demain et "Mi­chael" à 60 000, 65 000 abonnés. Si nous montions nos abonnés à 100 000, 125 000, nous serions quatre fois plus forts que maintenant. Avec la force que nous avons, nous avons réussi à envoyer 20 millions de circulaires, si nous avions eu 100 000 à 125 000 abonnés, nous aurions envoyé de 60 à 80 millions de circulaires dans les foy­ers. Ça veut dire que le pays serait bien proche sur un pied de guerre pour se faire servir par nos représentants, les députés qui, présentement, servent les financiers voleurs parce que le peuple n'est pas or­ganisé, c'est bien clair.

Créditistes et abonnés à Vers Demain, décidez donc à lever le petit doigt et à prendre des abonnements autour de vous. Faites cela pour le salut de vos compatri­otes, pour rendre gloire à Dieu. Jamais le peuple n'a eu une organisation comme Vers Demain pour être son porte-voix en tout lieu en n'importe quel endroit. Décidez, décidez cela, chers abonnés, vous ne trou­vez pas que nous avons été trop longtemps spectateurs, admirateurs.

L'heure est grave et nous nous déci­dons en 1994, n'est-ce-pas, de faire L'EFFORT SUPRÊME. Ceci s'adresse à TOI qui me lis et non à l'autre, l'autre ça n'ex­iste pas, TOI, TOI, ne refuse pas ta part, la victoire est là. Avec TOI lorsque nous se­rons rendus à 100 000, 125 000 abonnés à Vers Demain, il ne se passera pas beau­coup de mois que l'abonnement montera à 200 000. Et ce sera la victoire. Les sacri­fices de chacun, consentis bénévolement, at­tireront les bénédictions du Ciel et les anges écraseront le terrible Lucifer. Crédi­tistes, abonnez à Vers Demain, le Ciel at­tend après chacun de nous, de vous, TOI.

Créditistes, il faut se convaincre de l'importance de monter Vers Demain à 100 000, 125 000 abonnés. Le major Clif­ford Hugh Douglas, le père de la lumineuse doctrine du Crédit Social et notre cher fon­dateur Louis Even, si apôtre, disaient :

"Si vous n'avez pas la force de faire bouger vos députés actuels, comment pouvez-vous croire, prétendre d'être ca­pables de faire bouger les financiers qui sont plus forts que tous les gou­vernements."

Créditistes, vous êtes très bien orientés, montons Vers Demain à 100 000, 125 000 abonnés. Croyons en cela et at­telons-nous-y, et faisons-le comprendre autour de nous. Celui qui s'abonne aide le mouvement.

Un journal puissant

Est-ce bien important un journal puissant ? ? Nous avons de la misère à nous en convaincre, c'est grave. Nous aimons mieux ne pas y croire et rester à ne rien faire. Il faut changer cette mentalité. Satan y voit, en nous faisant dire entre nous toutes sortes de raisons pour ne rien faire. Par exemple : Tu perds ton temps, le monde ne lit pas le journal, etc. Des Satans ! Satan ! Voici ce que disent les grands Pa­pes :

Le 10 novembre 1920, Benoit XV recevait en audience Mgr Petite, grand vicaire de Genève. Celui-ci exposant l'état religieux du diocèse, signalait l'urgence de bâtir plusieurs églises pour suffire aux besoins des fidèles. Benoit XV, l'interrompant :

"Non, ne bâtissez pas ; auparavant, il faut as­surer, développer votre journal. C'est l'œuvre la plus importante."

Le Pape Pie X disait un jour à l'abbé Ciceri :

"Le quotidien catholique, c'est l'œuvre qui accote toutes les au­tres."

"En vain vous bâtiriez des églises, disait Pie IV vous fonderiez des écoles, toutes vos bonnes œuvres, tous vos efforts seront détruits si vous ne savez manier en même temps l'arme défensive et offensive de la presse catholique."

D. Levack, Père rédemptoriste, dans son livre "Haut-Parleurs" écrivait au sujet d'un journal hautement catholique :

"Le journal catholique traitera de toutes les questions d'intérêts humains, mais toujours à la lumière catholique. Il traitera même des questions politiques, mais sans esprit de parti et il abordera tous les problèmes politiques au point de vue catholique d'abord. Dans le programme de journalisme catholique rentrent encore les ques­tions d'économie sociale qui ont reçu des encycliques « Rerum Novarum » et « Quadragesimo Anno » des solutions si lumineuses..."

Déjà, Créditistes, vos pressions ébran­lent bien des milieux et secouent les gou­vernements. Beaucoup de personnages incognito secouent les députés. Nous allons, n'est-ce-pas, quadrupler nos pressions cette année. À bas le gouvernement mondial ! Vive saint Michel et vive les Pèlerins de saint Michel !

Il faut décider Ottawa à faire son ar­gent, c'est aussi notre objectif pour cette année. Le docteur Pierre Gilbert, d'Alma, au Lac St-Jean, traîne le gouvernement en cour contre l'impôt sur le revenu.

Un Africain de Toronto, bien créditiste, grand ami du président de la Zambie, en Afrique, ramasse tous les livres, brochures, pamphlets, circulaires créditistes pour les envoyer au président.

À l'assemblée du 23 janvier, à Rougemont, madame Côté-Mercier nous a fait toute une conférence avec feu et déter­mination, contre la Bête de l'Apocalypse en nous incitant à prendre de l'abonnement à Vers Demain, afin d'avoir la force pour réaliser notre beau Crédit Social.

Créditistes, soyez plus décidés que jamais. Portons fièrement notre beau béret blanc, hissons notre splendide drapeau, aux couleurs du rosaire, sur nos maisons et nos automobiles, affichons nos pancartes par­tout et partons en guerre pour vrai. Vos Plein-Temps donnent le meilleur d'eux-mêmes. Ils sont tous au combat, faites comme eux.

Abonnons à Vers Demain et décidons d'atteindre nos objectifs d'abonnements. Le monde tourne vers Vers Demain, les gens sont beaucoup plus aimables envers nous lorsque nous allons les visiter, ils entreront dans le combat avec nous.

Sortez de vos maisons la maudite télévision, instrument de Satan, notre Maman Céleste nous demande de la détruire. Ce sacrifice vous rendra plus apôtre, cet instrument diabolique tue les vocations.

Bon succès ! Votre compagnon d'armes,

Gérard Mercier, directeur

Gérard Mercier

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