Lord Tweedsmuir, gouverneur-général du Canada, durant la deuxième moitié de la grande crise d'avant-guerre, écrit, dans son ouvrage "A Prince of the Captivity" :
"Il existe un grand et puissant monde que les gouvernements ne contrôlent pas. C'est le monde de la finance, les hommes qui conduisent le flux et le reflux de l'argent. Ils possèdent le pouvoir de décider si ce fleuve sera un courant bienfaisant pour activer la vie, ou un glacier mortel qui gèle tout ce qu'il touche, ou un torrent de lave brûlante pour submerger et détruire. Les hommes qui contrôlent ce fleuve (de l'argent) ont le dernier mot."