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Un monde meilleur est possible

Alain Pilote le jeudi, 01 octobre 2020. Dans Éditorial

Dans ses récentes audiences générales du mercredi, portant sur le thème « Guérir le monde » après la crise de la COVID-19, le pape François a parlé du virus de l’injustice sociale qu’il faut aussi combattre, de la destruction de l’environnement qui menace notre planète et par conséquent l’avenir de nos enfants, ainsi qu’une distribution injuste de la richesse qui fait que tous n’ont pas accès aux biens de la terre, pourtant créés par Dieu pour tous les hommes.

Ces critiques du système actuel sont justifiées, et tous même s’accordent à dire que le système économique actuel ne fonctionne pas bien. Ainsi, plusieurs prétendent qu’on devrait profiter de la crise actuelle du coronavirus pour rebâtir le monde et l’économie sur de nouvelles bases.

Mais attention, il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain, il faut conserver ce qui fonctionne bien, et non pas tout détruire, et risquer que la solution apportée soit pire que le mal. C’est malheureusement ce que propose par exemple le Forum Économique Mondial avec sa « grande remise à zéro », qui veut aller jusqu’à transformer l’être humain dans sa nature-même, et le fusionner avec la machine et l’intelligence artificielle.

Comme pour toute crise, les financiers internationaux se servent de cette crise du coronavirus comme occasion pour imposer leur contrôle. Ce qu’ils souhaitent, c’est d’étendre au monde entier le modèle de dictature technologique de la Chine communiste qui, ironiquement, s’appelle aussi « crédit social », mais qui n’a rien à voir avec le « crédit social » (ou démocratie économique) de Douglas et Louis Even, et en est même tout à fait l’opposé.

Le « vrai » crédit social, celui enseigné par Vers Demain depuis plus de 80 ans, répondrait justement aux demandes du Saint-Père, en assurant la sécurité économique de la personne, le pain quotidien distribué à tous, sous forme de dividende social (voir page 8). Il enseigne que l’argent tire sa valeur de la capacité de production du pays, et de ce fait appartient à la population du pays, et non aux banques privées.

On nous dit que le monde ne reviendra jamais comme il était auparavant, qu’il faut s’habituer à une « nouvelle normalité » (avec les nouvelles mesures sanitaires). On dit que le monde doit changer. Mais changer pour quoi, le meilleur ou le pire ? Les financiers ont déjà préparé leur solution : la « grande remise à zéro » et le « crédit social chinois », avec tout ce que cela implique : gouvernement mondial, vaccination de tous, dépopulation, traçage de tous par satellites et surveillance continuelle, monnaie numérique, etc.

Cependant, il y a un autre monde possible, et bien meilleur que celui proposé par les financiers internationaux et milliardaires psychopathes de tout acabit : c’est l’« autre » crédit social, celui de Douglas et Louis Even, qui respecte la personne humaine dans sa liberté et dignité, qui vise à rendre financièrement possible ce qui est physiquement réalisable, et faire en sorte que les biens joignent les êtres humains qui en ont besoin. Si le système financier était le reflet des réalités, tout développement dans le pays ne serait pas représenté par une dette, mais un enrichissement. Ce qui serait normal, c’est que chaque pays émette sa monnaie sans dette au lieu de l’emprunter à intérêt de banques privées.

La situation se résume donc à ceci : choisir entre le « crédit social chinois » des financiers internationaux, et le « crédit social » de Douglas, choisir entre l’esclavage et la liberté. Pour qu’un tel changement soit possible, et pour que les gens fassent un choix éclairé, il faut bien sûr l’éducation du peuple. Mais cela ne suffit pas puisque cette guerre contre le plan des financiers internationaux est une guerre contre des forces diaboliques. On a besoin de l’aide du Ciel, et dans ce combat, le chapelet, ou Rosaire de la Vierge Marie, est l’arme la plus puissante, qui « résout tous les problèmes, même internationaux » disait Sœur Lucie de Fatima.

Et la récitation du chapelet va faire en sorte que le Saint-Esprit va éclairer les intelligences des gens pour qu’ils voient clair dans la situation actuelle, et faire les bons choix. C’est sainte Thérèse de l’Enfant Jésus qui déclarait : « Par le Rosaire, on peut tout obtenir. C’est une longue chaîne qui relie le Ciel et la terre : une des extrémités est entre nos mains, et l’autre dans celles de la Sainte Vierge. » Ave Maria, debout pour le combat !

Alain Pilote

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