EnglishEspañolPolskie

En lisant les journaux

Bien soigné

jeudi, 15 mai 1941

L'Ontario délivré!

jeudi, 15 mai 1941

Inconséquence

jeudi, 15 mai 1941

Découverte de T.D.

jeudi, 15 mai 1941

Découverte de V. Doré

jeudi, 15 mai 1941

Des pommes, des pommes

samedi, 01 juin 1940

Du beurre, du beurre

samedi, 01 juin 1940

Oculos habent, et non...

samedi, 01 juin 1940

Ennuis financiers

samedi, 01 juin 1940

Apprentissage dispendieux

samedi, 01 juin 1940

Sénateur patriote

mercredi, 15 mai 1940

Esprit social

mercredi, 15 mai 1940

Tout, excepté...

mercredi, 01 mai 1940

Auréolé par la guerre

mercredi, 01 mai 1940

Pour l'élite embourgeoisée

mercredi, 01 mai 1940

L'obstacle

mercredi, 01 mai 1940

À Sherbrooke

mercredi, 01 mai 1940

* * *

Le lendemain, 16 avril, les libéraux de Sherbrooke s’agitaient à leur tour. C’était une réunion de la Jeunesse Libérale.

Faisant allusion à l’opposition aux suggestions créditistes manifestée par une partie de la salle unioniste la veille, le sénateur Howard déclare que le parti libéral est prêt à recevoir les suggestions de tout le monde, même de l’Action Libérale Nationale et du Crédit Social. Les libéraux, paraît-il, sont prêts à accepter certaines idées de ce dernier groupe, "si les créditistes sont capables de prouver que leur affaire est bonne."

Cependant, si nous comprenons bien le discours du sénateur, il faudrait d’abord que les créditistes s’enrôlent dans les rangs des libéraux. On cultive l’idéal dans les rangs des partis : demandez à Sarto !

Quoi qu’il en soit, M. Henri Dubuc, ici encore, n’a pas pris de temps à relever l’invitation. Dès le lendemain, il faisait publier cet avis dans La Tribune :

Par la voie des journaux, j’accepte sans commentaire, l’invitation de MM. Gingras, M.P., et de l’Hon. sénateur C.-B. Howard, exprimée par ce dernier lorsqu’il disait le 16 avril dernier que si les créditistes sont "...capables de prouver que leur affaire est bonne...". Je tiens à faire remarquer que nous soumettrons nos théories monétaires du Crédit Social dans la salle de l’Hôtel de Ville à la date qu’il leur conviendra.

Cette assemblée devra nécessairement être des plus amicales et pacifique, puisqu’il s’agit de solutionner le grand problème du chômage et celui des dettes impayables qui nous écrasent.

Signé : Henri DUBUC.

Le Crédit Social est bien en vie à Sherbrooke. Souhaitons un homme actif et alerte comme M. Henri Dubuc dans chaque localité de notre province.

Vraiment subversif?

lundi, 01 avril 1940 Par Louis Even

Dans le saint des saints

lundi, 01 avril 1940 Par Louis Even

Ralliement d'acéphales

lundi, 01 avril 1940 Par Louis Even

Choucroute anonyme

lundi, 01 avril 1940

Soldats désirés

lundi, 01 avril 1940

Communiste, celui-là?

lundi, 01 avril 1940

Panier

Dernière parution

Infolettre & Magazine

Sujets

Faire un don

Faire un don

Aller au haut
JSN Boot template designed by JoomlaShine.com