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La France dit NON à l'homoparentalité!

le mercredi, 01 mars 2006. Dans Mariage gai

La France dit NON à l'homoparentalité. Elle considère que l'enfant a le droit fondamental d’être accueilli et de s’épanouir dans une famille composée d’un père et d’une mère. Voici les arguments plus intelligents que ceux de nos députés et ministres canadiens:

 «Le déni de la différence sexuelle, du sens de la procréation et de la filiation laisse entendre que le désir d’avoir un enfant serait suffisant pour devenir “parent”. Ainsi, la promotion de l’adoption par des partenaires de même sexe, de la procréation médicalement assistée, du “tourisme procréatif” et de la gestation pour autrui se répand. Cette promotion est en totale contradiction avec le Code civil, le droit de la famille, avec les textes internationaux signés par la France et avec les principes universels d’indisponibilité et de non-patrimonialité du corps humain et de ses éléments.

«L’État et le législateur n’ont pas à ériger en normes ce qui relève de la vie privée et des choix individuels. À propos de “l’égalité des droits”: le discours en faveur de la possibilité de “produire l’enfant hors sexe” repose sur le fait que les partenaires de même sexe, placés parmi les partenaires “stériles” seraient en droit de réclamer des réparations: le droit à l’enfant est alors présenté comme un dû. Or, ces personnes ont choisi une vie sans possibilité d’enfants; qu’ensuite, ils souhaitent avoir à la fois le lien et les enfants. Que ce lien exclut est, sans doute, une contradiction douloureuse mais la Société ne peut l’accepter sans remettre en cause les repères sur lesquels elle est fondée et sur lesquels elle construit son avenir.

«À propos des “discriminations”: sous prétexte de lutter contre une discrimination, il ne serait pas acceptable d’en créer une autre entre les enfants. Il serait, en effet, établi par la loi que certains enfants pourraient grandir sur le socle de la relation à deux parents – homme/femme – père/ mère – et que d’autres seraient privés de cet atout, privés de ce lien fondamental reposant sur la lisibilité de leur filiation et sur le modèle de l’altérité. En tout état de cause, le principe de précaution, inscrit dans notre Constitution, s’impose.

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