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Colère en règle contre les banques

Pierre Marchildon le dimanche, 01 octobre 1995. Dans Banques

Par les Libéraux d'Ottawa

Dans la première page du Toronto Star, le 25 juin 1995, on a mentionné ce qui suit : "Le Parlement a été inondé de plaintes à cause de la restriction du crédit par les banques privées aux entreprises et petits commerces au Canada." Nous n'avons pas tout vu.. Il y a des milliers de personnes qui ont écrit des lettres personnelles au Ministre des Finances, Paul Martin. Alors c'est cela qui a décidé le Ministre Paul Martin avec deux autres Ministres, Roy MacLaren et John Manley, de convoquer les présidents des six grosses banques du Canada pour leur dire le mécontentement du peuple, parce que ces grosses banques ne voulaient plus prêter aux petites entreprises. Nous marchions avec 75,000 à 80,000 banqueroutes par année au Canada. Les banquiers ont dit qu'ils pensaient que le Ministre Martin était avec eux, les banquiers, mais ils ont vu différemment. Le Ministre MacLaren a dit que : "Les banques sont haïes par le caucus libéral."

Quand ils se réunissent, les Libéraux parlent contre les Banques parce que tous les Canadiens parlent contre le système bancaire. "Il n'y a rien comme une attaque contre les banques pour que le caucus des Libéraux se mettent sur pied avec enthousiasme." Pour mettre du piquant dans leur groupe, ils parlent contre les banques et cela les stimule. En parlant des Banques, MacLaren a dit : que "Le sentiment du caucus libéral est : qui sont ces enfants de chienne de banquiers qui nous disent comment le pays devrait être administré quand eux-mêmes ramassent l'argent par millions. Les présidents font un million 900 mille de salaire et ils nous demandent à nous de nous serrer la ceinture."

Nous nous faisons mener par 6 personnes, six présidents de banque ! Les banques ont été ridiculisées davantage quand on a mis dans les journaux qu'elles avaient fait 4 milliards 300 millions de profit. Ces banquiers viennent nous dire de nous serrer la ceinture, couper les pensions, couper le Bien-être, couper le chômage. Les banquiers en ont mangé un coup. Le Ministre Martin a dit aux banquiers : "Je réagis à cause de la colère du peuple." Ce sont nos exemplaires gratuits et nos visites dans les familles qui instruisent le peuple. Cela a été une grande victoire pour Vers Demain. Continuons à informer le peuple, les Ministres et députés deviendront les serviteurs du peuple, contre les banquiers.

Pierre Marchildon

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