Rapports et activités des Pèlerins de saint Michel

Le Crédit Social, c'est le Christianisme appliqué en économique Le gouvernement fédéral doit créer l'argent du pays Au lieu de l'emprunter à intérêts des banques privées Finis, dettes, déficits, taxes, faillites, chômage Finis rapports insupportables à chaque gouvernement Chaque citoyen recevrait, sans enquête, un dividende de $800 par mois

Venez à Rougemont

Soyez toujours présents à notre assemblée

du mois à Rougemont

Notre assemblée du 27 octobre, à Rougemont, 4e dimanche du mois, a encore été bien réussie. Bonne assistance ! Merci d'être venus.

A remarquer que les trois familles Couture, les six familles Rodrigue-Fecteau-Brodeur sont toujours présentes. Les Québecois ont fourni 32 personnes dans l'autobus Beauce-Québec, cette fois-ci.

Tous sont d'accord pour dire que cette assemblée du 4e dimanche du mois est bien importante, très importante. Mettez donc dans votre programme d'être encore présents, très nombreux, le 22 décembre, à Rougemont. A la dernière assemblée de Toronto, il y avait 40

nouveaux.

Soyons vigilants, chers Créditistes, tout à l'heure vous serez débordés par les demandes d'explications des nouveaux qui voudront tout savoir sur notre lumineuse idée du Crédit Social.

Monsieur Even, madame Côté-Mercier, le journal Vers Demain nous ont formés, instruits. Vous êtes tous capables d'expliquer à vos concitoyens ce que c'est que notre beau Crédit Social.

Assemblées dans votre région

Nous avons reçu un téléphone de Springfield, Mass., Etats-Unis, de madame David Boulrice, nous demandant d'annoncer, dans nos deux journaux, Vers Demain et "Michael", une assemblée à chaque premier dimanche du mois, chez elle. Bravo, madame ! Ils étaient 20 à leur première assemblée du mois. Assemblée très bien réussie. M. Henri-Louis Blais et des nouveaux étaient présents. Une pleine automobile de Pèlerins de Springfield sont allés faire la croisade avec M. Blais le samedi suivant. L'assemblée régulière met de la vie créditiste dans un territoire. Bravo !

Savez-vous, chers créditistes, que vous êtes tous capables d'en faire autant. Dès le mois prochain, nous pourrions avoir une couple de cents petites assemblées du mois. Vous la tiendrez dans une cuisine, pour commencer.

Prenez l'exemple d'une lettre reçue de Kamina-Shaba, Zaïre, Afrique :

"Nous nous réunissons deux fois par semaine pour lire en commun votre journal Vers Demain. Avant la lecture, nous récitons un chapelet ensemble. Ces petites réunions sont bien instructives et constructives, à tout point de vue."

Vous tous, chers Créditistes, vous êtes tous capables de tenir votre petite réunion de cuisine, au moins chaque mois. Bâtissez et fortifiez votre belle Œuvre du Crédit Social. A la réunion, vous pouvez lire ensemble un article de Vers Demain, la lettre du mois qui donne les nouvelles du Mouvement, "L'lle des Naufragés" ou la brochure "Qu'est-ce que le vrai Crédit Social". Vous êtes formés, ce n'est pas pour rien, c'est pour en faire bénéficier vos concitoyens.

Présentement, le monde se dispose à en savoir davantage sur notre Œuvre. Les gens cherchent une solution à leurs problèmes et ils découvrent que ce sont les "Bérets Blancs" qui l'ont. Ils parlent de plus en plus des "Bérets Blancs" et ils se disent : "Ils ont la solution." Décidez de tenir votre petite réunion et changez de maison de temps en temps. Bon succès !

Le Crédit Social pénètre partout

Avec l'aide de Dieu, le petit groupe d'apôtres que nous sommes a réussi à lancer l'idée du Crédit Social dans tous les pays du monde. Des personnages, dans les journaux, la radio, les lignes ouvertes, disent aujourd'hui comme vous, chers Créditistes. Les politiciens, législateurs, syndicalistes, tous conformistes, qui défendent encore le système barbare qui nous régit, se font présentement rabrouer, ridiculiser. Par exemple : Lucien Bouchard demande aux industriels de l'aider à créer des emplois. Le journal < ;< ;La Presse » s'empresse de publier cela en première page et en grosses lettres. Sur la ligne ouverte, au poste C.K.A.C., Me Jean Lapierre, ancien député libéral de notre comté, qui a démissionné comme député, répond à Lucien Bouchard :

"Monsieur Bouchard, vous n'avez pas de solution, vous devriez savoir que les industriels n'existent pas pour créer des emplois, mais pour créer des produits. Vous parlez de partager le temps des ouvriers à l'usine, cela ne réglera rien ; quand bien même que vous sépareriez une tarte en 5 ou 10 morceaux, ça ne fera pas deux tartes. Ce qu'il faut, M. Bouchard, c'est d'ajouter de l'argent neuf en circulation, c'est cela qui réglerait le chômage."

Parents catholiques

D'autres qui se font terrasser, ce sont les Etats Généraux sur l'éducation qui demandent de sortir la religion des écoles. Cela a paru aussi en très grosses lettres en première page du journal « La Presse ». Gilles Proulx, du poste C.K.A.C. leur a lancé ce qui suit sur ligne ou-

verte :

"Avant de sortir la religion des écoles, commencez donc par y sortir le démon, le crime, la drogue, les couteaux, les révolvers."

Les Etats Généraux se sont fait dire que leur déclaration était fausse et que leur réclamation d'enlever la religion des écoles n'était le désir que de quelques têtes montées qui ont mis en boîte les Etats Généraux. La Ligue des Parents catholiques, les évêques et plusieurs groupes sérieux se sont levés pour protester et ils ont fait signer une pétition dans les églises et ailleurs. 72% de la population a signé pour garder l'enseignement de la religion dans les écoles. Et les Etats Généraux ont été obligés de battre en retraite.

Combat contre les banques

Vous avez déjà appris que les ministres Paul Martin, Roy McLaren et John Manley avaient réuni les six directeurs des plus grosses banques du Canada pour leur dire leur façon de penser, vu leur résistance à prêter aux entreprises. Le minisre Roy McLaren, au nom du caucus libéral, les a traités d'enfants de chienne. Cela a paru dans le Toronto Star, le plus gros journal de Toronto.

« < ;La Presse> ;> ;> ; annonce maintenant que de grosses compagnies demandent des prêts sans intérêts, sinon, elles fermeront leurs portes.

Tous nos hommes publics qui demandaient des emplois pour les chômeurs, font rire d'eux. C'est impossible avec le progrès dans le système d'argent voleur actuel, de créer des emplois. Nos hommes publics n'ont pas vu les robots. Quelle lâcheté, pour ne pas dire plus, de la part de nos législateurs !

Des spécialistes soutiennent que dans quelques années, seulement 2% de la population aura du travail rémunéré, à cause de l'automation et des robots.

Paru en très grosses lettres dans le journal « La Presse », de Montréal, et le journal « La Tribune », de Sherbrooke : "Les Bérets Blancs sont en croissance dans le monde entier".

Le docteur Gorski, de Pologne, fonde un journal créditiste en polonais. Dans plusieurs autres pays, des amis de notre Œuvre veulent traduire dans leurs dialectes nos deux journaux Vers Demain et « Michael »> ;.

Le journal américain « Triumph of the Past »> ;, de Colombus, Ohio, publie un long article sur le Crédit Social du Major C.H. Douglas ; il louange Louis Even et son livre « Sous le Signe de l'Abondance » et il commande 100 exemplaires de ce livre pour les vendre.

Le journal < ;< ;La Presse », de dimanche, 27 octobre 1996, titre un article en grosses lettres, en première page, comme suit : "Une démocratie pourrie par l'argent". Le journaliste, Richard Hétu, New-York, écrit que les élections présidentielles de 1996, aux Etats-Unis, pourraient avoir au moins un résultat positif : pousser enfin les Américains à l'action contre l'influence obscène de l'argent dans leur soi-disant démocratie.

C'est dire la même chose que nous : "C'est l'argent qui mène partout". Il faut détrôner ce dieu-argent, bien chers créditistes. C'est vous qui êtes à la fine pointe du combat. Ta part d'action a une répercussion à l'échelle mondiale, ton inaction aussi. Vous connaissez l'histoire des "Christophers" aux Etats-Unis. Leur devise était que chacun peut changer le monde.

Notre ami, le sénateur Jack Metcalf, de l'Etat de Washington, maintenant "congressman", qui est venu à notre congrès, en 1990, appuyé par plusieurs autres, va déposer un projet de loi à la Maison Blanche, réclamant de l'argent sans intérêts pour les villes, les Etats et les écoles.

Continuons le combat

Vous avez gagné tout le monde à être contre les taxes. Vous constatez aujourd'hui que tous, grands et petits, parlent de plus en plus comme vous. Il faut relever la tête encore davantage pour mener le dernier combat. Vous avez mené un combat héroïque depuis déjà 61 ans. Le Malin a tout fait pour vous décourager, vous avez tenu bon. Plusieurs d'entre nous sont maintenant âgés ; vous avez peut-être pensé à capituler. Je crois que vous serez d'accord avec nous tous pour relever la tête et donner le dernier coup qui écrasera définitivement le contrôle

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infernal du système d'argent qui détruit la famille, notre Eglise, contredit l'Evangile et tout ce qui est d'esprit évangélique. Le Malin nous met toutes sortes d'arguments dans la tête pour nous tenir inactifs. Réfléchissons au dernier message de Notre-Dame, à Medjugorje, du 25 octobre 1996 :

"Chers enfants, aujourd'hui, je vous invite à vous ouvrir à Dieu, le Créateur, afin qu'll vous change. Petits enfants, vous m'êtes chers, je vous aime tous et je vous invite à être plus proches de moi et à aimer mon Cœur Immaculé avec plus de ferveur. Je désire vous renouveler et vous conduire avec mon Cœur au Cœur de Jésus qui, aujourd'hui encore, souffre pour vous et vous invite à la conversion et au renouvellement. Par vous, je désire renouveler le monde. Comprenez, petits enfants, que vous êtes aujourd'hui le sel de la terre et la lumière du monde. Petits enfants, je vous appelle, je vous aime et, d'une manière spéciale, je vous supplie, convertissez-vous ! Merci d'avoir répondu à mon appel."

C'est facile à croire que notre bon Jésus souffre encore, parce que nous, nous souffrons aussi de voir la dégradation de nos peuples.

Pour nous, chers créditistes, ce message peut nous inviter à répandre plus ardemment notre journal Vers Demain. Vous êtes les apôtres des derniers temps, vous êtes le sel de la terre et la lumière du monde sur le terrain économique et social. Quel bien Vers Demain nous a fait ! Et il nous dirige encore si bien dans la bonne voie.

En 1917, Fatima

Notre Crédit Social nous a été donné en 1917, la même année des apparitions de Notre-Dame à Fatima. Demandons à Jésus de nous donner un cœur d'apôtre plein d'ardeur pour répandre la vérité créditiste qui nous a été donnée pour la porter aux autres. Appuyons tous nos vaillants apôtres qui se dévouent tant, en faisant nous-mêmes notre part d'apostolat pour répandre notre fameux journal Vers Demain. N'oublie pas que c'est TA vocation. Remercie tous les jours le Ciel de t'avoir fait connaître le Crédit Social, Dieu te félicitera d'avoir fait ta part pour le répandre autour de toi.

M. et Mme Bertrand Gaouette mènent le combat en avant avec 493 abonnements. Bertrand dit : "Je fais du Crédit Social pour avoir une belle place au Ciel, notre demeure éternelle, et pour aider notre bon Jésus à sauver le monde."

M. et Mme Paul-Emile Julien me disent qu'ils vont donner encore un bon coup au porte en porte, tout de suite.

Au téléphone, M. Léopold Soucy, de St-Léonard, N.B., m'a dit tel que projeté : "Je vais téléphoner à Paul-Emile Julien pour l'inviter à revenir au Nouveau-Brunswick, et nous allons faire un autre effort dans l'apostolat." M. Soucy nous envoie une bonne souscription.

Madame Simone Gingras a entraîné à la croisade nos deux jeunes Plein-Temps, Eric Poulin et Claude Bourque. Ils ont travaillé dans les environs d'Ottawa. Ils ont pris 190 abonnements et fait dire 210 dizaines de chapelet dans les familles. Mme Gingras est toujours bien extraordinaire. Elle se classe la deuxième avec 349 abonnements. M. et Mme Paul-Emile Julien, 344. M. Joseph Hooper, Accra, Ghana, Afrique, est le quatrième avec 227 abonnements.

Mme Henri-Louis Rodrigue et Mme Mark Lawyer ont donné le mois à la croisade dans le comté de Lotbinière. Elles ont quêté leurs repas et couchers. Mme Henri-Louis Rodrigue dit que c'est bien important de faire toutes les portes, les gens ont besoin de notre visite.

Abonnements pris en octobre

Et bien d'autres courageux ont aussi pris de l'abonnement.

À remarquer que Marcelle Caya a pris ses abonnements en 3 samedis : 56, 50, 50. Elle travaille au bureau tous les jours de la semaine. Elle fonce, soyez-en assurés, elle va droit au but.

Venez, les jeunes !

Je crois que nous aurons, cette année, 50 nouveaux Plein-Temps, jeunes hommes et jeunes filles. En général, on a trop couru après l'argent. Bien chers parents, pensez à l'importance d'avoir des Plein-Temps dans votre famille, pour sauver l'humanité en péril. Notre vocation créditiste est grande. Melvin Sickler, Plein-Temps réfléchi, exemplaire et dur lutteur, dit avec force : "La vocation de Plein-Temps est la plus importante présentement."

La tueuse des vocations, c'est la maudite télévision. À l'exemple des familles Dubois-Trottier, un homme d'affaires a détruit ses sept télévisions qu'il avait dans sa maison et son commerce. Bravo !

Vos missionnaires à plein temps et nos vaillants apôtres locaux tiennent bon. Dieu soit béni !

Mme Gilbert Potvin, grand'mère, les 70 ans sont sonnés, fonce toujours dans les grandes tournées avec mademoiselle Poirier. Elle a donné tout le mois d'octobre avec son automobile, dans les régions de la Mauricie et du Saguenay. Total 274 abonnements, 114 dans la Mauricie et 160 dans le Saguenay. Ont aussi participé à l'assaut : Mme Donat Boulanger et Ginette Boulanger de la Mauricie ; Mme Monique Simard et Mme Gilbert Truchon du Saguenay.

Fin de semaine en Beauce, Thetford et St-Odilon : Marcel Lefebvre, Éric Poulin et Claude Bourque, et nos vaillants apôtres locaux, total : 162 abonnements.

Joseph Hooper et Bertrand Gaouette ont pris 74 abonnements en 4 jours. M. Joseph Hooper s'est fait tout un programme pour planter le Crédit Social dans tous les pays de l'Afrique, 53 pays, 700 millions d'habitants. Il est courageux, c'est pour cela qu'il nous demande un autre conteneur. Nous lui avons dit que nous ne pouvions pas financer tous ces voyages à travers toute l'Afrique. Il nous a répondu qu'il ferait comme nous, qu'il quêterait ses couchers, repas, transports, etc.

Rolland Tessier avec son équipe du nord, à Kapuskasing et New Liskeard, Ontario, 304 abonnements, 20 dizaines de chapelet, 425 signatures, 2 assemblées. Mme Célestin Marchildon et Mme Maurice Dénommé ont pris 89 abonnements à New Liskeard. Rolland Tessier a fini sa tournée dans la Mauricie et Drummondville avec 449 abonnements. Il est bon le jeune homme.

Vous voulez aller à la croisade, mais vous hésitez à vous lancer. Nous comprenons que c'est difficile pour un apôtre local de se mettre tout seul à la croisade. Cependant vous pouvez y rémédier en vous téléphonant les uns les autres pour sortir ensemble, deux apôtres locaux, comme l'a fait deux fois Michel Couture qui a téléphoné à Guy Rodrigue. M. Philippe Langlois, du Lac Sergent, Portneuf, a téléphoné à Paul-Émile Goulet, de St-Gervais de Bellechasse. Ils ont fait la croisade ensemble et ils ont pris 14 abonnements. Bravo ! Ils ont été obligés d'arrêter de bonne heure, ils vont se reprendre. Mme Célestin Marchildon, Mme Lawyer, Mlle Evelyne Clément et d'autres pratiquent cela et c'est merveilleux.

Monsieur Lucien Parenteau s'affiche : béret, drapeaux, pancartes, etc. M. Parenteau nous dit : "Les gens nous saluent de plus en plus. Ayons tous les fronts. Affichons-nous. A bas le respect humain ! Vive le Crédit Social ! Je découvre des perles, un professeur, un docteur, ils ont trouvé la caricature du « cheval battu » bien épatante."

Notre Christian Burgaud, notre fameux Plein-Temps de France, et mademoiselle Madeleine Kurtz, infirmière de l'Alsace, sont allés en Allemagne chez Mme Rosemary Lily, pour y faire un assaut de circulaires. Ils ont distribué les 50 paquets de "L'lle des Naufragés" et du "666", en allemand, que Mme Lily avait chez elle. Ils ont semé le Crédit Social en Allemagne, la graine va pousser, soyez-en certains.

Surveillez vos conseils municipaux

Surveillez vos conseils municipaux. Exigez qu'ils passent la résolution. C'est une bonne manière pour eux de défendre leurs contribuables et d'aider à les libérer de la haute tyrannie financière. Déjà onze conseils municipaux ont passé la résolution. C'est un bon commencement. Il y en a certainement plusieurs autres qui l'ont fait, mais qui ne nous l'ont pas fait savoir. Donnez-moi des nouvelles de ce que vous faites concernant vos conseils municipaux pour me permettre de stimuler toute l'armée d'apôtres de saint Michel.

Un bel exemple. M. Roland Vigneau de Havre-aux-Maisons, lles de la Madeleine, nous écrit : "J'ai fait des contacts avec tous les conseillers de la municipalité de l'Etang du Nord. Je commence par leur dire que j'ai reçu une lettre des « Bérets Blancs » et qu'ils me demandent de faire des contacts avec eux. Je leur ai fait lire les derniers paragraphes de la lettre aux Pèlerins de saint Michel. J'ai rencontré le maire Napoléon Cormier, hier soir, et je lui ai fait lire la lettre à lui aussi. Un des Conseillers, Eric Leblanc, que je connais bien, m'a dit que vous avez raison de dire que les gouvernements mettent tout sur le dos des municipalités. J'assisterai à leur assemblée. Hier, je suis allé à Fatima. J'ai vu trois conseillers sur six, le maire aussi." Cher M. Vigneau, nous vous félicitons chaudement !

M. Riley, gros fermier du Manitoba, est allé visiter les maires et échevins d'une centaine de municipalités de sa région pour leur faire passer la résolution. Tous nos créditistes sont capables d'en faire autant. Si la majorité des municipalités passent la résolution, le gouvernement va être obligé de céder et de créer l'argent pour le pays au lieu de l'emprunter des banques.

Un ministre protestant, de Toronto, a fait deux sermons contre le système monétaire voleur et la carte à puce électronique.

Nous vous attendons donc très nombreux à l'assemblée du 22 décembre. Et nous vous souhaitons beaucoup de succès dans votre apostolat, beaucoup d'abonnements, car Vers Demain et "Michael" sont notre chaire d'enseignement.

Gérard Mercier