La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Le 21 novembre 2014, le Pape François envoyait un message vidéo aux participants de la quatrième édition du Festival de la doctrine sociale de l’Église, tenu à Vérone, en Italie. Dans ce message, le Saint-Père dénonçait le système économique actuel, qui nous rend tous esclaves du dieu argent. En voici un extrait:
«Aujourd’hui, également dans le domaine économique il est urgent de prendre l’initiative, car le système tend à tout homologuer et l’argent règne en maître. Le système conduit à cette mondialisation qui n’est pas bonne et qui homologue tout. Et qui est le maître de cette homologation? C’est l’argent. Prendre l’initiative dans ces milieux signifie avoir le courage de ne pas se laisser emprisonner par l’argent et par les résultats à court terme, en devenant ses esclaves.
«Une manière nouvelle de voir les choses est nécessaire! Je vous cite un exemple. Aujourd’hui on dit qu’il n’est pas possible de faire de nombreuses choses parce que l’argent manque. Mais pourtant, il y a toujours de l’argent pour faire certaines choses et il en manque pour en faire d’autres. Par exemple, on trouve de l’argent pour acheter des armes, pour faire des guerres, pour des opérations financières sans scrupules. On ne parle généralement pas de cela. On souligne beaucoup l’argent qui manque pour créer du travail, pour investir en connaissances, dans les compétences, pour projeter une nouvelle sécurité sociale, pour sauvegarder l’environnement.
«Le véritable problème n’est pas l’argent, mais les personnes. Nous ne pouvons pas demander à l’argent ce que seules les personnes peuvent faire ou créer. L’argent tout seul ne crée pas le développement, pour créer le développement il y a besoin de personnes qui ont le courage de prendre l’initiative.»