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Le «Je vous salue Marie» d’un petit garçon protestant

le lundi, 01 avril 2013. Dans Vierge Marie

Marie n’est pas «une femme comme les autres»

L'Annonciation

Un petit garçon protestant de 6 ans entend souvent ses camarades catholiques prier le «Je vous salue Marie». Il aime tant cette prière qu’il la recopie, l’apprend par cœur et la récite tous les jours. Tout fier, il la montre à sa mère:  «Ne la récite plus jamais», lui lance-t-elle, exaspérée. «C’est une superstition des catholiques qui adorent des idoles et croient que Marie est une déesse!»

De ce jour-là, le petit garçon cesse de dire cette prière et se consacre davantage à la lecture de la Bible. Un jour, il tombe sur le passage de l’Annonciation et le montre à sa mère: «Regarde maman, les paroles de ma prière sont dedans! “Je te salue, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi!” Et puis les paroles d’Élisabeth à Marie: “Bénie es-tu entre les femmes!”. Et regarde la louange de Marie (dans le Magnificat)... Maman, pourquoi tu dis que c’est de la superstition?»

Sans rien dire à sa mère, il reprend avec joie son habitude de réciter son «Je vous salue Marie». A l’âge de 14 ans, il capte une discussion dans sa famille: ils disent tous que Marie est une femme comme les autres. Mais le petit réagit vivement:

«Non! Si elle est la mère de Jésus, elle est la mère de Dieu, et en plus la Parole dit: “Toutes les générations me diront bienheureuse!” Vous méprisez ce que Dieu proclame beau, votre esprit n’est pas celui de la Bible!»

Sa mère se mit à craindre le pire. Ce fils si cher risque de rejoindre un jour cette religion, celle des Papes! Elle avait vu juste car, après avoir étudié sérieusement et comparé les deux religions, son fils choisit d’embrasser la foi catholique et en devient un apôtre ardent.

Plus tard, il rencontre sa sœur mariée qui l’insulte: «Tu sais combien j’aime mes enfants, eh bien si l’un d’eux voulait se faire catholique, je préférerais plutôt lui enfoncer une épée dans le ventre que le voir rejoindre “la religion des papes”.»

Peu de temps après cette conversation des plus fraternelles, cette femme voit son fils tomber gravement malade. Les médecins ne lui donnent aucun espoir de guérison.

Notre catholique s’approche alors de sa sœur et lui dit avec douceur: «Ma chère sœur, tu voudrais que ton fils guérisse. Alors, s’il te plaît, fais ce que je vais te dire. Suis-moi et récite avec moi un “Je vous salue Marie”. Et promets à Dieu que si ton fils guérit, tu étudieras sérieusement la foi catholique et — qui sait — tu verras si tu veux l’adopter, quel que soit le sacrifice à payer pour toi!»

La sœur hésite, mais ce filet d’espoir pour la santé de son fils l’emporte et elle veut tout tenter pour le sauver. Elle accepte le deal et récite un «Je vous salue Marie» avec son frère. Le lendemain, son fils se trouve complètement guéri! Elle tient donc sa promesse et étudie la doctrine catholique. Après une longue préparation, elle est introduite dans l’Église et remercie son frère d’avoir été son apôtre!

Ce témoignage fut donné par le Révérend Père Tuckwell. Son homélie se termine ainsi: «Frères et sœurs, l’homme qui s’est converti au catholicisme et a entraîné sa sœur à faire de même, c’est le prêtre qui vous parle maintenant!

«Ce que je suis, je le dois à Notre Dame. Vous aussi, consacrez-vous à elle et ne laissez pas passer un seul jour sans réciter cette belle prière du “Je vous salue Marie” et dire votre chapelet. Et priez pour vos frères protestants!»

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