La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?En mai 1917, à Fatima, c'était vraiment étrange d'entendre le message de Notre-Dame concernant la conversion future de la Russie. C'était après la révolution pacifique en Russie en février 1917. Il n'y avait aucun signe de future domination des communistes, organisée par les francs-maçons de l'Ouest, comme l'a décrit en détail l'érudit professeur canadien, Robert O'Driesel, dans son livre : "The New World Order - Throne of Antichrist" (Le Nouvel Ordre Mondial, trône de l'Antichrist) (Toronto, 1993).
Au début de 1917, toutes les Églises jouissaient de la liberté sans restriction. Et notre Sainte Mère parlait de la conversion de la Russie ?
En peu de temps, ce qui était complètement inattendu devint une réalité : le régime athée de terreur.
Le monstre devint un puissant super-pouvoir qui menaçait de changer le monde entier en un enfer semblable à celui de la Russie.
Le contrôle sur leur propre création (le monstre communiste) échappa des mains des francs-maçons. Alors il était nécessaire de créer une contrepartie à ce pouvoir satanique. Le choix fut l'Allemagne et spécialement la promesse de batailler contre le mouvement communiste nazi.
Alors comme cela avait été déjà publié avant la deuxième guerre mondiale, les banquiers de l'Ouest ont donné de l'argent à Hitler et ont aidé à sa victoire dans l'élection de 1933 en Allemagne. Ce qui est arrivé après, nous le savons. La seconde guerre mondiale avec 50 millions de morts et ensuite la guerre froide, avec la possibilité de se transformer en une troisième guerre mondiale n'importe quand.
Il n'y avait à peu près pas d'espoir que quelque chose pourrait changer dans l'immense royaume de l'enfer sur terre.
Mais après que le Pape ait consacré la Russie au Cœur immaculé de Marie, selon le désir exprès de Notre-Dame, la situation en Russie a commencé à changer. D'un côté, la crise économique, et de l'autre, les tendances démocratiques amorcées par Gorbatchev. Et, soudainement, le coup d'état avorté en 1991 et la liberté absolue pour plusieurs nations emprisonnées par les dirigeants soviétiques depuis plusieurs années, et durant la même période, la liberté politique et religieuse complète pour le peuple russe.
On peut dire que c'était seulement le hasard. Mais nous, croyants, nous savons qu'il n'y a pas de hasard dans l'histoire. Nous croyons en la Providence de Dieu. Cette Providence a décidé que c'était possible d'envoyer des prêtres catholiques en Sibérie aussi. Il y a trois ans, il n'y avait qu'un seul prêtre ici à Prokopiewsk, le révérend J. Spodar, qui était sévèrement contrôlé et menacé de mort. Il y a deux ans, ils étaient déjà quatre, et parmi eux, un évêque, Mgr Joseph Werth, à Novosibirsk. Ils sont environ cinquante maintenant.
Plusieurs pensent que le travail de ces prêtres est facile, parce que le peuple a faim de Dieu ici. Mais cela est vrai dans une certaine mesure seulement. Ceux qui étaient croyants et qui ont enduré toutes les terribles persécutions — plusieurs étaient dans les camps de travaux forcés à cause de leurs pratiques religieuses — ont joint le travail de l'Église instantanément. La grande majorité des autres se sont montrés très résistants à la vérité. Ce n'est pas seulement à cause de l'endoctrinement athée, mais aussi à cause du matérialisme pratique, le même qui est propagé par les francs-maçons dans les pays occidentaux. En outre, à cause du vaste territoire que nous avons à servir, beaucoup de gens n'ont pratiquement pas entendu parler de la Foi. Aussi le manque de nos propres églises fait que le travail des prêtres catholiques s'accomplit avec beaucoup de difficultés.
Alors deux problèmes principaux doivent être résouts : l'un d'eux est le nombre de prêtres ; le deuxième est la construction au moins de petites églises ou chapelles dans les endroits où un nombre de catholiques commencent à créer de petites communautés religieuses. Pour les deux, le même remède est nécessaire : des prières à Dieu par Marie immaculée par tous et aussi par les lecteurs de Michael et de Vers Demain. Votre frère en Jésus et l'Immaculée,
Frère John Leon