La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Les Pèlerins de saint Michel, apôtres du journal Vers Demain, ont fait une journée de prière, dimanche le 22 janvier, pour implorer Dieu de faire en sorte que le résultat des élections au Canada, le 23 janvier, soit pour le mieux.
Nous croyons que Dieu a exaucé nos prières, mais nous le verrons dans les mois à venir.
Lundi, le 6 février, jour de l'intronisation du nouveau Premier Ministre Stephen Harper à la Chambre des Communes, la Messe à la Maison de l'Immaculée à Rougemont, a été spécialement célébrée pour que notre nouveau gouvernement ait le courage de légiférer avec justice, toujours en faveur de l'homme créé à l'image et la ressemblance de Dieu. Toutes les lois doivent être au service de la personne humaine.
Ce n'est pas possible que notre Canada, fondé par des saints, ait des gouvernements aussi dégradés, aussi corrompus, qui ont l'audace de nous imposer des lois contraire à notre Foi, à nos mœurs, contraire aux aspirations de la majorité du peuple canadien. Sous prétexte de protéger les minorités sans mœurs ni morale, on écrase la majorité des Canadiens honnêtes, qui croient en Dieu et qui savent se respecter et respecter les autres.
Les libéraux et les autres partis de gauche croient-ils vraiment servir le peuple canadien en lui imposant les lois les plus odieuses, jamais vues depuis la fondation du Canada?
Nous espérons que M. Harper et son équipe feront disparaître immédiatement ces lois odieuses qui tuent la vie et la famille, et détruisent le peuple canadien, comme ces lois criminelles du divorce, de l'avortement, du mariage de personnes du même sexe. Nous espérons aussi qu'ils diront un NON catégorique à la propagande insidieuse en faveur de la tuerie de nos vieillards par l'euthanasie, au nom de la compassion. Autant de crimes contre Dieu et contre la personne humaine.
Nous réclamons, au contraire, de toute la force de notre être, des lois favorisant la famille, avec la mère au foyer, qui seule peut donner des enfants à la patrie.
Mort aux garderies! Les enfants doivent être élevés et éduqués par leur «maman» et leur vrai «papa». L'amour des parents ne peut être remplacé par des mercenaires à salaire.
C'est bien, M. Harper, de donner directement aux parents les montants qui étaient accordés aux garderies. La meilleure garderie, c'est la famille. La meilleure gardienne, c'est la maman. Et c'est la maman qui doit recevoir les montants alloués aux garderies.
Allez plus loin, M. Harper, accordez une allocation généreuse à la mère au foyer. 20 000 $ à chaque maman, ce ne serait pas de trop. «Vous économiseriez, dit Gérard Migneault, Pèlerin de saint Michel, les mères qui retourneraient au foyer libéreraient leurs emplois pour la jeunesse en chômage. Moins de chômeurs, moins de bien-être social et de prestations d'assurance chômage à payer. Moins de jeunes à nourrir en prison, les mères étant à la maison pour les éduquer et les surveiller. Réduction du nombre de policiers, parce que moins de criminels dans les rues, etc.»
Et encore plus loin, M. Harper, vous êtes habitué en Alberta à recevoir un dividende sur vos richesses naturelles, plutôt que de payer des taxes. Annulez les taxes et accordez un dividende à tous les Canadiens, dividende basé sur les richesses naturelles du pays et sur le fruit du progrès. Fini le chômage, finie la misère au Canada. Du temps libre pour adorer Dieu et pour se meubler l'esprit et le cœur de la vérité.
Nous voulons des Canadiens prospères dans un Canada riche.
C'est le programme qui vous est donné par vos électeurs, M. Harper. Leur obéirez-vous, ou obéirez-vous aux magnats de la Haute Finance comme le font depuis des siècles nos politiciens serviles et corrompus?
Notre cofondatrice du journal Vers Demain, madame Gilberte Côté-Mercier écrivait dans son fameux article intitulé: «Incarner le Christ dans la politique» (Vers Demain juin-juillet 1998):
«Si on n'est pas patriote, on n'est pas digne de faire de la politique. Le Politique devrait être l'homme d'honneur qui ne trahit jamais la foi du peuple, et qui, pour s'élever à la hauteur de sa noble tâche, se tient en contact avec Dieu, principe de toute justice et de toute charité.»
Et vous, femmes canadiennes, devant la haute trahison de nos législateurs, prenez votre chapelet toutes ensemble, faites comme au Brésil, sortez dans les rues en implorant publiquement la très Sainte Vierge Marie, la Reine du Canada, de donner à notre patrie des législateurs dignes, consciencieux, vertueux et forts, qui aiment le peuple au point de donner leur vie pour lui, comme l'a fait le Christ pour eux et pour chacun de nous.