La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Madame Henri Dufour, (Marie-Rose Côté) de Mistassini, est décédée le 10 octobre, à l'âge de 91 ans.
La famille Côté, spécialement Philippe Côté, Joseph Côté, et elle-même, Marie-Rose furent parmi les premiers collaborateurs de nos fondateurs dans la région du Lac St-Jean. Et ils sont restés fidèles et profondément attachés au mouvement jusqu'à la mort. Ils étaient sincères et dévoués. Madame Dufour a été une ardente Pèlerine du porte en porte. Une femme de cœur. Nous l'aimions et elle nous aimait. Elle aimait surtout la cause, et elle ne ménageait pas les sacrifices pour la faire avancer. Elle était d'un dévouement inlassable.
Elle avait appris à se dévouer en élevant une grande famille de 13 enfants, dont onze sont encore vivants. Et elle a terminé ses jours sur le Calvaire, alitée depuis 6 ans par une paralysie presque totale. Elle était lucide et elle appréciait hautement la visite des Bérets Blancs de passage dans la région.
Que Marie, la Mère des mères, la Reine du Ciel, reçoive cette bonne maman dans son beau Royaume, où elle pourra goûter sans fin les joies promises aux assoiffés de justice.
Nous nous unissons aux prières des membres de sa belle famille, en leur offrant l'expression de nos profondes sympathies.
Lucienne Grenier, de Montréal, âgée de 92 ans, décédée à Longueuil, le 26 novembre 2002, veille de la fête de la Médaille Miraculeuse. Lorsqu'elle était en santé, elle faisait partie de l'équipe des Pèlerines de porte en porte à Montréal. Elle a beaucoup distribué de médailles miraculeuses et fait dire un grand nombre de dizaines de chapelet dans les foyers. D'un naturel aimable, elle était bien reçue. Ces dernières années, souffrant d'un arthrite déformant, elle était très courbée et marchait péniblement. Elle avait le courage de venir ainsi à nos assemblées du mois à Rougemont, assistée de sa bonne amie, Diane Mayer. Une semaine avant de quitter cette terre, elle a téléphoné à notre bureau, demandant que des Pèlerines aillent prier avec elle. Mmes Diane Mayer et Marie-Jacqueline Potvin sont allées réciter le Rosaire entier avec elle. Généreuse comme toujours, elle leur a donné un don de 100 $ pour l'Œuvre. La multitude des Ave Maria qu'elle a fait réciter orneront sa couronne de gloire.
Thérèse Tardif