La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Le "Congressional Quaterly" (Le rapport trimestriel de la Chambre des Députés aux États-Unis), du 17 janvier 1998, rapporte qu'il s'est fait un grand effort pour augmenter l'aide fédérale aux garderies. Le Président Clinton, supporté par plusieurs démocrates, désirent donner davantage de l'aide aux femmes qui travaillent, spécialement celles qui ont un faible revenu. Ils ont proposé de prendre 21 milliards sur le budget de l'État pour rendre les garderies plus accessibles et plus sécurisantes, et ils souhaitent que cette mesure fasse partie du budget de 1999.
Immédiatement après que le Président Clinton eut révélé son plan, les chefs républicains ont attaqué ce projet en disant que c'était un projet qui allait contre les femmes qui choisissent de rester à la maison pour élever leurs enfants.
Les chefs républicains ont dit que la priorité du gouvernement devrait être plutôt d'aider les femmes ou les hommes qui demeurent à la maison pour élever leurs enfants.
Le 11 février, la Chambre des Députés a approuvé, par 409 votes contre 0, une ré- solution qui demande que soit incluse dans la proposition du Congrès sur toute aide aux garderies, une aide financière aux parents qui demeurent à la maison pour prendre soin de leurs enfants.
Les créditistes des États-Unis ont lancé dans la population une campagne et une pétition réclamant une allocation pour la mère au foyer. Tout le monde signe la pétition. Une allocation à la mère au foyer aiderait énormément à rétablir la famille, cellule de base d'une société saine.