La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Dans son discours à de nouveaux époux, du 22 avril 1942, Sa Sainteté Pie XII a souligné la dignité inviolable du mariage un et indivisible. Il répond à cette question : L'autorité religieuse peut-elle rompre le lien matrimonial ?
Mais si la volonté des époux ne peut dissoudre le lien matrimonial, dès l'instant qu'ils l'ont contracté, une autorité supérieure à celle des conjoints, établie par le Christ pour la vie religieuse des hommes, le pourra-t-elle ?
Le lien du mariage chrétien est tellement fort que, lorsqu'il a atteint sa pleine stabilité par l'usage des droits conjugaux, aucun pouvoir au monde, pas même le nôtre, c'est-à-dire celui du Vicaire du Christ, ne peut le rompre. Il est vrai que nous pouvons reconnaître et déclarer qu'un mariage, contracté comme valide, était en réalité nul, en raison de quelque empêchement dirimant ou par un vice essentiel du consentement, ou par défaut de forme substantielle. Nous pouvons aussi, dans des cas déterminés, dissoudre, pour de graves motifs, les mariages privés de caractère sacramentel. Nous pouvons enfin, s'il existe une cause juste et proportionnée, annuler le lien des époux chrétiens, le oui prononcé par eux devant l'autel, lorsqu'il est avéré qu'il n'a pas été suivi de l'acte conjugal. Mais, une fois le mariage consommé, le lien conjugal reste soustrait à toute ingérence humaine.