La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Mon grand ami, Ovila Comeau, de Richmond, s'est envolé au Ciel le 4 décembre dernier. Un mois plus tard, il aurait eu 81 ans. Un cancer au poumon l'a emporté. Les deux derniers soirs avant de mourir, il a chanté l'« Ave Maris Stella ». Il acceptait sa grave maladie en grand chrétien. Il était imbu d'une foi ardente, il assistait à la sainte Messe tous les jours, il récitait son chapelet quotidiennement et il portait fièrement sa médaille miraculeuse.
Il était au-dessus de la classe moyenne, professeur en mécanique, garagiste, et sa parenté était de la classe cultivée.
Il était aussi un Créditiste convaincu, un Créditiste dans le fond de l'âme et personne ne pouvait le détourner de son idéal. Il défendait le Crédit Social avec conviction et avec une fermeté inébranlable. Monsieur Comeau était un ardent apôtre et propagandiste de son journal Vers Demain. Très généreux, il fut aussi un grand bienfaiteur de l'Œuvre. Sa digne épouse le secondait à merveille. Leur foyer était ouvert jour et nuit pour les apôtres de Vers Demain : repas, coucher, réparation de nos vieilles automobiles, etc.
Il en a fait du porte en porte pour son journal Vers Demain, il avait toujours quelques abonnements à nous remettre. Il ne manquait jamais une assemblée, il en organisait chez lui et ailleurs. C'était un Créditiste complet et exemplaire. Son chapelet, sa médaille miraculeuse, sa religion étaient son moteur. Et il était affiché, il portait continuellement son béret blanc. Son drapeau et des pancartes à slogans créditistes, installés sur son automobile,, témoignaient sans cesse de son appartenance au Mouvement des "Bérets Blancs". Et il en était fier !
Ovila va certainement continuer à nous aider de là-haut. C'était pour moi un grand ami. Je me suis fait un devoir d'assister à ses funérailles. Et la messe à la Maison de l'Immaculée, le 26 décembre, à l'occasion de notre assemblée du mois, a été célébrée par notre bon Père Maheux, pour le repos de l'âme de notre cher Ovila qui a certainement chanté les beaux chants de Noël avec nous et avec les anges. Cher Ovila, nous nous souviendrons de toi.
Gérard Mercier