La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Violet Bailey, de Toronto, une grande dame avec son cœur de ch cœur de charité, nous a quittés soudainement le 12 janvier 1995, fête de sainte Marguerite Bourgeoys, une des premières fondatrices du Canada. Madame Bailey avait 96 ans.
Elle avait été abonnée par notre Plein-Temps, Melvin Sickler, le 8 décembre 1982, fête de l'Immaculée Conception. En juillet 1983, j'ai visité madame Bailey et elle m'a offert le 3e plancher de sa maison pour loger les Pèlerins. Quelle bénédiction pour les Pèlerins que cet oasis dans cette grande cité !
Madame Bailey s'informait toujours si quelqu'un parmi les Pèlerins n'avait pas mangé dans la journée. Si oui, elle s'empressait de leur préparer un repas. Elle était une mère pour nous. La veille de sa mort, elle avait justement préparé le souper pour Melvin Sickler, celui qui l'avait abonnée la première fois.
Madame Bailey aidait aussi à assembler des circulaires avec sa sœur jumelle, madame Pearl Patterson. Encore à 96 ans, les deux jumelles aimaient faire leur part.
Au revoir, chère madame Bailey, oui, ce n'est qu'un au revoir. Du haut du Ciel, continuez à nous aider à bâtir le Royaume de l'Immaculée dans notre bataille pour la justice.
Pierre Marchildon, Plein-Temps de Toronto