La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Madame Jean Morneau, (Noëlla Bryar), de Châteauguay, est décédée le 10 février, à 54 ans.
Elle était la fille de M. Et Mme Alex Bryar, de Newcastle, N.B. Une belle famille acadienne de 14 enfants. M. et Mme Bryar recevaient tous les Pèlerins de saint Michel de passage et les accompagnaient au porte en porte. Suivant l'exemple de ses bons parents, après son mariage, madame Jean Morneau a fait de l'activité au sein de l'Œuvre, elle a fait du porte en porte. Elle assistait à nos réunions.
Elle s'est dévouée corps et âme pour donner une bonne éducation à ses enfants, Sylvain, Stéphane et Liliane. Elle leur a même fait l'école à la maison, pour les protéger du milieu corrupteur des écoles d'aujourd'hui, au Québec. On sait que toutes les lois, concernant les écoles, éliminent l'autorité des parents et les forcent à envoyer les enfants aux écoles sans-Dieu, sous peine d'être condamnés à la prison. Mme Morneau a eu à affronter ces persécutions.
Ces dernières années, elle souffrait d'une grave maladie des reins qui l'obligeait à filtrer son sang par la dialyse 5 fois par jour. Elle offrait ses souffrances et ses prières pour le succès de l'Œuvre et le salut de sa famille.
Elle portait son scapulaire. Les infirmières de l'hôpital auraient voulu le lui faire enlever. Elle leur a résisté jusqu'au bout. Elle récitait aussi son rosaire quotidiennement.
Aussi, Notre-Dame est venue la chercher la veille de la belle fête de son apparition à Lourdes.
Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous, qui avons recours à vous ! Recevez dans votre beau Ciel, cette Noëlla qui, sur terre, vous a beaucoup aimée.
Thérèse Tardif