La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?
Lucien Parenteau, de Digby, en Nouvelle-Écosse, et autrefois de Peace River, en Alberta, est décédé le 28 octobre 2020, à l’âge de 93 ans. Natif du Manitoba, il a suivi sa famille en Alberta ; ses parents étaient créditistes depuis les débuts du mouvement de Louis Even, et lui-même est resté un fervent et fidèle apôtre de Vers Demain jusqu’à sa mort, n’hésitant pas à répéter à qui voulait l’entendre : « Vers Demain nous a sorti de notre ignorance » (du système bancaire). Il parlait de Vers Demain autour de lui en toutes occasions pour susciter des abonnements, abordant les gens de façon si aimable, avec finesse et humour, que personne ne pouvait lui dire non. Il ne manquait pas l’occasion de parler du Crédit social à temps et à contretemps, comme il disait. Même dans les restaurants, il allait d’une table à l’autre pour donner une circulaire. Il en avait toujours une dans sa poche de son veston. Il avait la « rage » des circulaires, comme disait monsieur Mercier.
Lucien Parenteau a reçu les pèlerins à plein temps très souvent, pour de grandes tournées de plusieurs semaines, il connaissait tous les villages de l’Ouest canadien. Notre plein-temps Réjean Lefebvre avait même volé dans son avion noir pour aller visiter les abonnés. Malgré les grandes distances à parcourir, il assistait à tous les Congrès à Rougemont jusqu’à tout récemment, et c’est comme ça qu’il a rencontré au début des années 80 sa future épouse, Carmel Boudreault-Laforest, veuve avec 4 enfants, qui partageait les mêmes convictions créditistes (et feu de l’apostolat) de son futur époux, puisqu’elle provenait elle aussi d’une famille créditiste de 16 enfants. Cette heureuse union a donné deux enfants, Philippe et Lucie, qui elle-même a donné 13 ans de sa vie à Rougemont comme Plein-temps pour Vers Demain.
M. Parenteau était un conférencier hors-pair : monsieur Gérard Mercier ainsi que tous les créditistes aimaient l’entendre, car il faisait rire les auditeurs avec ses anecdotes, et les tenaient suspendus à ses lèvres par sa sagesse et sa logique, toujours pour faire ressortir l’importance du message de Vers Demain. M. et Mme Parenteau avaient déménagé depuis quelques années de Peace River à Digby, en Nouvelle-Écosse, où ils distribuaient beaucoup de circulaires (madame conduisait l’auto et Lucien mettait la circulaire dans la boîte postale au bord du chemin). Son épouse Carmel est décédée en juillet 2019, à l’âge de 77 ans. Nous prions Dieu d’accueillir M. Parenteau au paradis, et lui demandons de nous envoyer des apôtres de feu comme le fut Lucien Parenteau. Nos plus sincères sympathies à toute la famille.