La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?
On retrouve la liste des dix commandements (ou « Décalogue », qui signifie littéralement « dix paroles ») donnés par Dieu à Moïse sur le Mont Sinaï dans le livre de l’Exode (20, 2-17) et du Deutéronome (5, 6-21). On peut lire dans le Catéchisme de l’Église catholique (n. 2072) : « Puisqu’ils expriment les devoirs fondamentaux de l’homme envers Dieu et envers son prochain, les dix commandements révèlent, en leur contenu primordial, des obligations graves. Ils sont foncièrement immuables et leur obligation vaut toujours et partout. Nul ne pourrait en dispenser. Les dix commandements sont gravés par Dieu dans le cœur de l’être humain. » Au 15e siècle, on prit l’habitude d’exprimer les préceptes du Décalogue en formules rimées, faciles à mémoriser :
1. Un seul Dieu tu adoreras, Et aimeras parfaitement.
2. Dieu en vain tu ne jureras, Ni autre chose pareillement.
3. Les dimanches tu garderas, En servant Dieu dévotement.
4. Père et mère tu honoreras, Afin de vivre longuement.
5. Homicide point ne seras, De fait ni volontairement.
6. Impudique point ne seras, De corps ni de consentement.
7. Le bien d’autrui tu ne prendras, Ni retiendras sciemment.
8. Faux témoignages ne diras, Ni mentiras aucunement.
9. L’œuvre de chair ne désireras, Qu’en mariage seulement.
10. Biens d’autrui ne désireras, Pour les avoir injustement.