La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Le 20 février, le ministre des Finances du Canada, J.-L.Ilsley, déposait les "crédits ordinaires" à la Chambre des Communes d'Ottawa.
Le ministre demande au pays $307,058,000 pour le service de la dette pour l'année 1944-45. C'est $75,344,000 de plus que l'année dernière. Augmentation de 32 pour cent.
Donc, pendant une année de guerre pour la défense de la liberté, nos chaînes financières, sous le titre de la dette publique, augmentent de 32 pour cent.
Avant la guerre le service de la dette publique fédérale coûtait 128 millions par année. C'était déjà beaucoup. Le voilà rendu à 307 millions. Augmentation de 140 pour cent.
Une autre année de défense de la liberté à ce régime, et nos chaînes seront triplées.
Comme quoi la guerre ne se fait certainement pas contre la dictature financière. Cette dictature-là est pourtant plus vieille que Hitler et elle a fait plus de victimes dans les foyers canadiens que les deux guerres mondiales ensemble.