La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Au Mexique, l’avortement est au centre d’une dure bataille entre ses partisans et ceux qui s’y opposent. La capitale mexicaine, menée par le Parti de la révolution démocratique (PRD), a récemment autorisé le mariage entre homosexuels, le 21 décembre 2009, et a légalisé l’avortement “sans restriction jusqu’à la fin de la 12e semaine”, depuis mai 2007. Les cliniques municipales de Mexico “acceptent les résidentes d’autres états de la République” où l’avortement est illégal.
Un important courant contre-offensif s’est manifesté depuis 2007, menée notamment par le PAN (formation de l’actuel président Felipe Calderon), et par l’Eglise catholique, “dont se réclament plus de 85% de Mexicains”. Sur les 32 états mexicains, 18 “ont adopté une Constitution qui protège la vie ‘dès la conception’”. Les membres du PRI (parti membre de l’Internationale socialiste) ont voté dans le même sens que les élus du PAN, contre l’avortement. Six autres états s’apprêtent à adopter des législations protégeant la vie. Ce mouvement de défense de la vie humaine impose une déconvenue aux féministes qui s’étaient félicitées d’une “victoire définitive en août 2008, lorsque la Cour suprême a refusé de casser la loi sur l’IVG. adoptée en 2007 à Mexico”.
Notre-Dame de Guadeloupe, Impératrice des Amériques, veillez sur les enfants à naître. Obtenez-nous des lois pour le respect de la vie, dès la conception jusqu’à la mort naturelle.