La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?
Le Cours d’Éthique et de culture religieuse, mis en vigueur en septembre 2008, dans les écoles du Ministère de l’Éducation, du primaire au secondaire, jettent les enfants dans un foisonnement d’hérésies et d’erreurs découlant du paganisme. Un enfant de sept ans d’une famille catholique de la Beauce a dit à sa mère en revenant de l’école: “Maman, ce n’est pas vrai qu’il y a un seul Dieu, il y a plusieurs Dieu” A Montréal, un enfant a dit à ses parents: “Je veux pratiquer la religion hébraïque». Les enfants de l’école fréquentée par cet écolier avaient été conduits dans une synagogue ce jour-là. À Montréal, dans un quartier envahi par les Musulmans, une jeune Libanaise, de moins de six ans, s’est mise à prier Allah à la manière musulmane chez elle, en présence de ses parents catholiques. “Qu’est-ce que tu fais là ?”, lui dit la mère. “J’ai appris à prier Allah à l’école”, lui répondit-elle. Dans ce même quartier, une fillette de sept ans est arrivée à l’école avec un chapelet autour du cou. L’institutrice lui a fait enlever ce chapelet, l’a réprimandée et lui a dit: “Tu n’as pas le droit de porter un insigne catholique”. Les parents ont eu des reproches.
Le Ministère de l’Éducation viole les droits des parents en matière d’éducation en imposant ce Cours obligatoire d’Éthique et de Culture religieuse qui a pour but de déraciner les derniers vestiges du catholicisme dans le cœur des enfants et des adolescents et de les initier aux religions païennes. L’enseignement du catholicisme dont le fondateur est Notre-Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est interdit officiellement dans les écoles privées et publiques du Québec. Quand on parle du catholicisme c’est pour le démolir.
Voilà où nous en sommes rendus dans la province de Québec encore majoritairement catholique malgré la diminution de la pratique religieuse.