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Crédit Social et commerce international

Le Grand Reset, réalité ou théorie du complot ?

Livres sur le Crédit Social

La démocratie économique

La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.

Sous le Signe de l'Abondance

Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.

Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.

Du régime de dettes à la prospérité

"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".

"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."

Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège

Une lumière sur mon chemin

«Une lumière sur mon chemin. Il faut que tout le monde connaisse cela!» c'est écrié Louis Even en 1934 lorsqu'il découvrit le Crédit Social. Ce livre est un recueil des conférences données à la radio et télévision de 1958 à 1964.  

Dernières circulaires

Témoignages Sessions d'Étude

Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.

Qui sont les vrais maîtres du monde ?

Le système bancaire actuel est pur banditisme, quiconque s’est donné la peine d’étudier la question, (la création de crédit-monnaie-dette par les banques et le contrôle absolu de l’intermédiaire d’échange par les banques), n’en peut douter. Mais c’est un banditisme légalisé c’est-à-dire qu’en conduisant ce racket au profit d’une petite clique d’individus sur le dos du public, les banques restent dans les limites de leur charte, c’est la «patente» accordée par le gouvernement souverain à une machine qui saigne et tue l’humanité.

Un nouveau système financier efficace

Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.

Le Dividende Social

Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?

Oui! Avec la technologie, avec le progrès, le travail humain est de moins en moins nécessaire pour la production. La pénurie actuelle de main-d’œuvre dans certaines régions est un problème temporaire, un problème démographique.

«Le crédit social est un projet vital pour l’humanité entière»

Mgr Mathieu Madega Lebouakehan le mercredi, 01 août 2012. Dans Témoignages

Réflexions de Mgr Mathieu Madega Lebouakhan du Gabon

Monseigneur Mathieu Madega LebouakhanParmi les quatre évêques qui ont assisté à notre semaine d’étude et congrès cette année, il y en a un qui a été particulièrement enthousiaste et nous a tous enflammés, c’est Mgr Mathieu Madega Lebouakhan, évêque de Port-Gentil, capitale économique du Gabon. Voici des extraits de ses deux interventions, l’une livrée à Rougemont le vendredi 31 août 2012, à la fin de la semaine d’étude (avec le béret blanc sur la tête, bien entendu!), et l’autre le dimanche 2 septembre:

Les amis, habituellement, je n’ai pas beaucoup d’émotions quand je parle. Mais permettez que je puisse en avoir pour la première fois! Et je suis très content d’intervenir après mes frères (évêques) parce qu’ils m’ont inspiré. Alors, excellences, révérends, directrice, directeurs, professeurs, condisciples! J’aimerais à mon tour essayer d’apporter un petit témoignage pour confirmer ce que les autres ont dit…

Avec quelle soif j’ai écouté tous les enseignements! Comment qualifier ce que nous avons reçu? Je me permets de dire à notre professeur (M. Alain Pilote) et à son assistant (M. François de Siebenthal), que l’objectivité de la pensée fondée sur l’historicité de la naissance du symbole argent, qui est une sorte de feu (l’orfèvre devenu banquier), conservé par les dieux banquiers d’une part, et d’autre part, la force du réalisme de cette pensée, la pertinence du sujet traité, sans omettre la gravité des faits accablants résultant de la «confiscation» du feu par une sorte de caste, avec une méthode savamment pensée et cyniquement orchestrée en vue d’une danse planétaire avec un maître de chœur unique, Mammon, aussi appelé Lucifer.

Oh, Lucifer… chers collègues de classe, ce nom ne nous évoque-t-il pas «fer», ce nom ne nous évoque-t-il pas «lux», feu, lumière, alors avec le feu et le fer, nous sommes arrivés à notre forgeron (orfèvre, qui transformait les métaux précieux), et donc un forgeron devenu banquier.

Donc, quelle méthode utilisée par notre forgeron, étant donnée qu’il y a une lumière, c’est une lumière éblouissante, oui, pour mieux tromper, mais en face de cette lumière éblouissante, il y a la fraîcheur, la limpidité, la suavité de la solution qui s’appelle «crédit social».

Et, les amis, le Crédit Social, c’est un projet VITAL pour l’humanité entière. Je dis bien «vital». Vital, pas seulement parce qu’il va satisfaire d’abord le primum vivere, deinde philosophari (d’abord vivre, et seulement après, philosopher) d’abord le ventre et ensuite la pensée, mais vital parce que son absence, nous l’avons encore écouté, est source de perdition de beaucoup d’âmes. (NDLR : Dans la Leçon 1 du cours d’Alain Pilote, l’absence du crédit social signifie l’absence du lien de confiance qui fait qu’on puisse vivre ensemble en société.)

Ainsi, face à notre enthousiasme commun, après nous être informés et nous être indignés, qu’il me plaise quand même de nous dire à nous tous: «Les fils de ce monde sont plus avisés envers leurs congénères que les fils de la lumière», dixit Jésus, Luc 16, 8.

Et donc, je puis me permettre de dire que le crédit social ne doit pas d’une manière sournoise susciter en nous une vocation différente de la vocation des Pèlerins, différente de notre vocation chrétienne, car nul serviteur ne peut servir deux maîtres: ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre, autrement dit, vous ne pouvez servir Dieu et l’argent. (cf. Matthieu 6, 24.)

Donc le crédit social n’a pas pour but, en mon sens, de nous demander de servir l’argent, mais le crédit social a pour but de nous demander de nous servir de l’argent, ce qui est toute la différence!

Le crédit social a été historiquement fondé, il a été anthropologiquement démontré, mais qu’il me soit permis de vous dire aussi qu’il est encore aussi bibliquement enraciné: Il ne s’agit point, dira l’Apôtre Paul, pour soulager les autres, de vous réduire à la gêne. Ce qu’il faut, c’est l’égalité. (cf. 2 Corinthiens 8, 13). Et saint Paul continue: «Ainsi se fera l’égalité, selon qu’il est écrit: Celui qui avait beaucoup recueilli n’eut rien de trop, et celui qui avait peu recueilli ne manqua de rien (versets 14-15.)… car nous avons à cœur ce qui est bien, non seulement devant le Seigneur, mais encore devant les hommes.» (verset 21.)

Nous visons certes le bien céleste, mais nous visons aussi le bien des hommes.

Vous allez, nous allons aller au travail. «Songez-y: qui sème chichement moissonnera aussi chichement; qui sème largement moissonnera aussi largement.» (2 Cor. 9, 6.) Voilà pourquoi, si Satan lui-même se déguise en ange de lumière, rien donc de surprenant si ses ministres se déguisent eux aussi en anges de justice, mais votre justice ne vient pas de l’ange de lumière (Lucifer), mais plutôt de Dieu.

Consolation : votre système, chers Pèlerins — ou plutôt notre système, puisque nous sommes à votre école — je puis vous l’affirmer, a une longévité garantie. Notre système s’impose de soi car il a ses racines dans le fondement même de la famille humaine voulue par Dieu, et donc, le système (du crédit social) est voulu et fondé par Dieu Lui-même, et qui peut quelque chose contre le vouloir divin? Personne, ni sur terre, ni au ciel, ni dans les abîmes.

Mais, attention! La force de la résurrection n’est pas synonyme ni parallèle à la force de la crucifixion. La force de la crucifixion est bruyante  — «croix, fouets, crucifie-Le» — mais la force de la résurrection: «Pax vobis» (la paix soit avec vous.) C’est sans trop de bruits, c’est celle-là la force de la résurrection.

Voilà pourquoi je vous invite, les amis, à regarder un peu l’histoire proche de nous, pour que vous compreniez ce que j’aimerais dire: force de résurrection! Allons au pays à côté (les États-Unis d’Amérique): Martin Luther King. Force de résurrection! Retournons en Afrique: Nelson Mandela. Force de résurrection! Allons même chez quelqu’un qui n’est pas chrétien: Gandhi. Force de résurrection! Mère Teresa de Calcutta… Et comment ne pourrions-nous pas dire: force de résurrection, Douglas; force de résurrection, Louis Even!

Alors les amis, si certains ont pu, avec un système pipé, rouler un grande partie de l’humanité dans la farine, ne serait-il pas plus juste de dire qu’avec un système tel que le crédit social, nous pourrons davantage... Il y a un dénominateur commun à toute l’humanité, avons-nous appris ici, et d’autres l’ont dit avant moi. Que l’on soit du premier monde, du second monde, du tiers-monde ou du quart-monde. Donnez-moi un seul pays où il n’y a pas de pauvres; nous croupissons tous sous ce dénominateur commun appelé PAUVRETÉ.

Mais, de quoi sommes-nous pauvres? «Mon peuple meurt faute de connaissance» (Osée 4, 6.) Le dénominateur commun de notre pauvreté, c’est la connaissance, tant au nord qu’au sud, qu’à l’est ou à l’ouest. Tout le monde.

Voilà pourquoi je vous donne, je nous donne, toute la richesse du monde... Alors je vous souhaite — dites seulement la première lettre:

Donner — D; l’information — I; ensemble — E; en restant unis — U.  Ça fait: DIEU! Donner l’information ensemble en restant unis, non pas dispersés. Je vous remercie.

Messe de Mgr Mathieu à Villemarie
Mgr Mathieu (au centre) concélébrant avec les autres évêques et prêtres participant à notre semaine d’étude, à l’église de Marieville. (A l’extrême-gauche, le curé de la paroisse, le chanoine Gérald Ouellette.)

Le dimanche du congrès, 2 septembre, Mgr Mathieu nous a aussi adressé la parole:

Face au «dés-héritage» qui engendre la pauvreté, face à la déchéance humaine qui conduit à la misère en passant par le dénuement, lorsque la faim tord les viscères, la maladie cabosse la santé, et l’ignorance est enfermée dans des consciences ténébreuses entretenues au moyen d’informations erronées, permettez, frères et sœurs dans la foi, que la raison déraisonne et s’affole, que la foi se paganise, que l’espérance fasse place au désespoir, et l’amour se déshumanise. L’instinct de survie devient le critère de jugement, coefficient d’immédiateté, ainsi le regard et la contemplation de l’horizon sont offusqués par l’épaisseur de nuages du matérialisme éblouissant qui largue, par les mirages de la rapidité, à une vitesse quasi supersonique, des solutions qui n’en sont pas.

L’ouïe est alors abasourdie en même temps que piégée par des langages subliminaux qui véhiculent l’évangile de l’ennemi, des ennemis que vous connaissez. L’odorat est caressé par le parfum, non pas du saint-chrême, mais par celui du papier-monnaie, arrivant quelquefois caché sous les vestes d’un christianisme opposé à l’Église catholique.

Les amis, le goût ou le goûter, avec une suavité qui rapidement ou lentement, c’est-à-dire un goût plaisant qui tôt ou tard se change en amertume, voire en pleurs et en grincements de dents. Vous avez donc compris : c’est la suavité du péché qui flatte l’orgueil, et par conséquent excite la volonté de puissance, le désir de conquête et de domination.

Mgr Mathieu reçoit une bannière de saint Michel
Mgr Mathieu reçoit une bannière de saint Michel de la part de notre directrice-générale, Mlle Thérèse Tardif, et de l’un des directeurs-adjoints, Marcel Lefebvre.
 

Eureka! Ah oui, j’ai compris! Ce n’est pas à vous qu’ils s’en prennent, c’est au Christ qu’ils s’en prennent. C’est à Dieu qu’ils s’en prennent. Comprenons donc que c’est à la vie divine qui est en nous, c’est à notre dignité d’enfants de Dieu qu’ils s’en prennent.

Ainsi, comme prêtre, en tant que baptisé — et le prêtre, c’est celui qui sacrifie à Dieu — ils veulent que nous sacrifions au monde. Comme prophète, celui qui dit la volonté de Dieu, on voudrait que l’on dise la volonté de l’homme. Et le christianisme n’a même plus droit de parole, parce que ce qui est chrétien est méprisé, décrié, sinon combattu; c’est ce qui n’est pas chrétien qu’il faut proclamer: la liberté aux autres, oui, mais aux chrétiens, non! Comme roi, c’est-à-dire comme celui qui règne en vue du Royaume, mais en cultivant réellement la terre, on demande de régner pour Mammon.

Voilà pourquoi, à cause de notre dignité d’enfants de Dieu, on veut nous vicier, et nous sommes enviés parce que nous avons tout: et le Ciel, et la terre. On nous combat parce que nous sommes forts, de la force de Dieu et de la force de ce que Dieu nous donne. Nous sommes décriés parce que nous avons le secret pour aller au Ciel. Et pour terminer, nous sommes endettés, donc braqués (volés), parce que venir prendre des choses en faisant miroiter autre chose, c’est un braquage (vol) organisé.

Dans ce contexte, les pauvres, qui ont besoin de puiser aux eaux vives du salut, sont contraints de s’abreuver, malgré eux, et pas toujours de bon gré, aux sources de la finance internationale… avec ses dérivés, qui s’appelleront dette, redressement structurel ou économique, course à l’armement, suppression de la vie, promotion de la mode et de modes de vie radicalement opposés à l’Évangile.

Alors, les amis, ouvrons nos oreilles et devenons créditistes.

Ouvrons nos oreilles au Christ et devenons créditistes.

Ouvrons nos oreilles au magistère de l’Église une, sainte, catholique et apostolique, et devenons créditistes.

Ouvrons nos oreilles à l’intuition de Clifford Hugh Douglas et devenons créditistes.

Ouvrons nos oreilles au message de Louis Even et devenons créditistes.

Ouvrons nos oreilles à la misère de nos frères et sœurs — tous, attention, sans exclusive, c’est-à-dire même ceux qui nous haïssent et nous méprisent, et devenons créditistes.

Informés ici, imitons les bons exemples — je dis bien les bons, parce qu’eux aussi, ils vont bien se confesser, bon — donc, imitons les bons exemples des Pèlerins de saint Michel et devenons créditistes.

Copions — ici, Africains, ouvrez bien les oreilles — copions le courage de ces pèlerins qui sont proches du feu, car avant de nous brûler, ce feu les a déjà brûlés et continue à les brûler — et devenons créditistes.

Ouvrons nos oreilles aux suggestions de l’Esprit Saint pour assumer notre part d’implication, d’engagement, bref, de témoignage, et devenons créditistes.  

Ouvrons nos yeux, regardons bien, évaluons, projetons, produisons et partageons: devenons créditistes.

Attention! Importance à la prière! Jésus, Fils de Dieu, bien souvent se retira pour prier, et Il choisit ses disciples après une nuit de prières. Et comme vous êtes devenus créditistes, attention! Notre directeur spirituel nous parlait d’un prêtre, à l’avènement d’une idéologie que je ne veux pas citer pour en faire sa publicité, qui disait: «Mes frères, pourquoi la prière le matin alors que les pauvres nous attendent!» Les confrères lui disaient: «Mon ami, prions d’abord, et puis on part.» «Mais non!» répondait l’autre, etc. Et le directeur spirituel de commenter: «Il était tellement mangé par les pauvres que la foi fut mangée et il quitta le sacerdoce, alors que les autres priaient et continuaient à servir les pauvres». C’est pour vous dire: prière, prière, prière, et engageons-nous.

On vous a dit ici: «N’ayez pas peur!» Alors pour que vous n’ayez pas peur, vous connaissez tous un son, on va leur faire ensemble: COCORICO! COCORICO! Retenez bien la leçon: moi, en bon villageois, j’ai assisté à la décapitation des coqs. Et bien sûr, quand on décapite un coq, si on le jette, la tête vous l’avez entre les mains, mais le coq (sans tête) continue à s’agiter dans tous les sens. Donc au moment où le coq s’agite, on pourrait le croire en vie, et je vous assure, comme il y a aussi un peu de sang qui sort, les gens qui voient que la tête du coq est dans la main de celui qui a coupé, ils fuient le coq qui gesticule encore…

Mgr Mathieu chante durant le congrès
Mgr Mathieu chante: «Qu’as-tu appris à Rougemont, Mathieu...»

Satan a été vaincu au Golgotha, mais il s’agite encore pour nous embêter… de quoi avez-vous peur? La tête a déjà été coupée! C’est ce qu’on appelle un spasme: le corps continue à bouger quand bien même il n’y a plus rien. Je suis de Port-Gentil, où il y a du poisson. Un poisson à peine sorti de l’eau, si vous lui couper la tête rapidement, il va continuer à bouger alors même qu’il n’a plus de tête. De même l’ennemi vaincu par la Croix, il croit encore s’agiter pour faire peur à qui? À Jésus? Écoutez, vous comprenez…

Mes amis, nul n’est besoin de revenir sur tout ce que les Excellences vous ont dit, je vais simplement vous dire qu’il me plait d’être ici, et nous serions tentés de dire, comme Pierre: «Élevons trois tentes ici, une pour toi Jésus, et une pour Moïse et une pour Élie» , mais Jésus dit: «Non, il faut descendre.»
Donc, nous devons nécessairement retourner chez nous. Et il y a une chanson que j’avais apprise quand j’étais petit, qui s’intitule «Qu’as-tu appris à l’école mon fils?» La voici, adaptée pour l’occasion (voir encadré plus bas):

Alors les amis, le crédit, c’est la confiance renouvelée en Dieu immortel toujours. Dieu ne mourra plus! Donc vous avez le crédit: Dieu est IMMORTEL! Et renouveler la confiance en Dieu immortel toujours, ça s’appelle CRÉDIT! Je vous remercie!

Diligere Deum ut Diligatur. Aimer Dieu pour qu‘Il soit aimé.

«Qu’as-tu appris à Rougemont, Mathieu?»

Qu’as-tu appris à Rougemont, Mathieu?
Qu’as-tu appris à Rougemont?
Qu’as-tu appris à Rougemont, Mathieu?
Qu’as-tu appris à Rougemont?
Que le forgeron devint banquier,
Et de banquier il se fit usurier;
Ainsi la dette il institua,
Et la confiance il destitua.
C’est çà que j’appris à Rougemont, Gabon
C’est çà que j’appris à Rougemont.
Qu’as-tu appris à Rougemont, Mathieu?
Qu’as-tu appris à Rougemont? (bis)
Qu’il y a des séminaristes et des congressistes
Qui ne sont plus du tout pessimistes;
Tous ne veulent plus être défaitistes
Car ils sont devenus créditistes.
C’est çà que j’appris à Rougemont, Gabon
C’est çà que j’appris à Rougemont.
Qu’as-tu appris à Rougemont, Mathieu?
Qu’as-tu appris à Rougemont? (bis)
Que les laïcs seront créditistes,
dans le conseil paroissial;
Consacrés et prêtres seront créditistes
du conseil épiscopal;
Et les évêques le deviendront tous,
pour le conseil régional;
Les conseils régionaux des créditistes
seront un conseil papal.
C’est çà que j’appris à Rougemont, Gabon
C’est çà que j’appris à Rougemont.
Qu’as-tu appris à Rougemont, Mathieu?
Qu’as-tu appris à Rougemont? (bis)
Que tout le Gabon sera créditiste;
L’Afrique entière sera créditiste;
L’Occident comme l’Orient sera créditiste;
L’humanité entière sera créditiste.
Ce n’est qu’une question de temps;
Dieu seul est le maître du temps;
Et toutes les personnes seront créditistes.
C’est çà que j’appris à Rougemont, Gabon
C’est çà que j’appris à Rougemont.

Mgr Mathieu Madega Lebouakehan

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