La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?(France, No 126 de la Revue « Chrétiens Magazine »
- La chronique de René Lejeune)
« Merci à l'évêque de Nice. Vous avez osé qualifier par le mot juste la fête païenne qui, le 31 octobre, envahit nos pays. Oui Halloween est d'inspiration sinon d'origine satanique. Que les masses se laissent subjuguer par une hideuse laideur est un mystère. Merci à un évêque qui a eu le courage d'aller à contre-courant....
Reste à comprendre comment les masses ont pu se laisser capter par tant d'évocations de la mort. On n'y découvre guère qu'un phénomène d'envoûtement collectif. C'est que "le Prince de ce monde" se sent monter en puissance ; il néglige de se masquer. Les masses se laissent prendre au jeu inconsciemment dans la plupart des cas. Et l'on achète avec délice des collants squelettes, des cravates avec têtes de mort, des miroirs hologrammes avec crânes lumineux, des masques de mort pour enfants, des chapeaux de sorcière, des papiers à bonbons têtes de mort, etc., les objets en vente rivalisent en laideur répugnante...
En effet, des commerçants prêts à vendre leur âme au diable pour augmenter le chiffre d'affaires se sont lancés à corps perdu dans la célébration satanique... ».