Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Le Canada commémore cette année 40 années de tuerie de ses bébés. Aucune guerre n’a tué autant de personnes humaines. On en voit les néfastes conséquences. Plus d’enfants, plus d’avenir pour un pays, il est voué à la ruine. Il n’y a plus de relève dans tous les domaines. On est obligé d’ouvrir grandes les portes à l’immigration. Surtout la province de Québec, plus que n’importe où ailleurs, a à souffrir du massacre de ses enfants, du jamais vu dans l’histoire du monde. Quand donc nos hommes d’État ouvriront-ils les yeux sur les ruines qu’ils ont causées en dépénalisant l’avortement et quand se convertiront-ils?
Nous apprenons par zenit.org que le congrès national de la République Dominicaine a approuvé mardi un article en faveur de la vie qui modifie la constitution.
L’article 30 qui établit le caractère inviolable de la vie depuis sa conception jusqu’à la mort, a été approuvé par l’Assemblée de Révision dans le projet de réforme constitutionnelle.
La proposition, est passée par 167 voix contre 32 par le congrès national constitué en assemblée de révision.
La meute des média a protesté et même gueulé, mais considérant l’appui de l’Église catholique et compte tenu des efforts déployés par le gouvernement, la proposition a été adoptée par une très forte majorité.
L’approbation de l’article, qui sera le numéro 11 de la future constitution, élimine la possibilité de dépénaliser l’avortement. ...
L’article stipule que «le droit à la vie est inviolable depuis la conception jusqu’à la mort. La peine de mort ne peut pas être établie, prononcée ou appliquée, dans quelque cas que ce soit».
Avant le vote, l’archevêque de Saint-Domingue, le cardinal Nicolás de Jesús López Rodríguez, avait souhaité que les législateurs de la République Dominicaine n’approuvent pas le projet qui cherchait à dépénaliser l’avortement dans le pays, et que le respect de la vie dès sa conception soit maintenu.
«Nous avons confiance et croyons en la grande majorité de nos législateurs, qui sont des personnes respectables et s’opposent à la dépénalisation de l’avortement, étant donné que beaucoup d’entre eux ont déclaré en toute conscience qu’il s’agit pour eux d’un crime», avait affirmé le cardinal aux 2000 fidèles rassemblés pour la messe du Dimanche de la Divine Miséricorde.
L’archevêque a ajouté: «Les législateurs savent ce que veut tout le pays, ce que veulent l’Église catholique et les autres chrétiens». C’est pourquoi, avait-il conclu «nous avons confiance. Ils ne dépénaliseront pas l’avortement».
Quand donc pourrons-nous, nous aussi avoir confiance en nos Ministres et députés? Il faut qu’ils se convertissent. Notre Premier Ministre canadien, même s’il voulait changer la loi morbide de l’avortement, son gouvernement étant minoritaire, il se ferait bloquer par les Bloquistes de la province de Québec et même par ses conservateurs du Québec. Voilà ce que la franc-maçonnerie a réussi à faire de nos législateurs. Nous demandons à nos Ministres et députés de se mettre en face de Dieu et de bien peser leurs graves responsbilités.
Le mouvement Québec-Vie crie: «Trop, c’est trop, 40 ans de massacres, il faut en finir». Canadiens, sortons notre chapelet, implorons notre puissante Reine du Canada, Notre-Dame du Cap, d’intervenir et d’écraser la tête du serpent infernal responsable de la mort de tant de nos enfants.