La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?Tiré d'un article paru dans le journal "Windsor Star" du 10 mai 1999.
Par Stephan Bevan "The London Times" Londres, Angleterre
Les hommes d'affaires pourront bientôt surveiller leurs employés, de l'intérieur. Plusieurs compagnies de l'Angleterre consultent des experts sur la manière de développer une micropuce pour implanter sur leurs travailleurs afin de mesurer le temps qu'ils tiennent au travail et de savoir où ils se trouvent.
Cette technologie qui a fait ses preuves sur les animaux et sur des humains qui l'ont acceptée volontairement, rendrait les entreprises capables de retracer leurs employés.
Ce procédé pourrait les rendre capables de faire des estimés sur l'efficacité des travailleurs et de la productivité.
Les entreprises, comprenant les banques britanniques et les compagnies de technologie, ont approché le professeur Kevin Warwick de l'université Reading, un chef expert en cybernétique. Ils ont aussi consulté Blackbaud inc., le géant américain en logiciels.
Warwick a fait les manchettes des journaux l'été dernier quand il s'est fait implanter en chirurgie une micropuce dans l'avant-bras.
"Pour une entreprise, le potentiel est clair, dit-il, vous pourrez dire à quelle heure les employés arrivent au travail et quand ils quittent l'édifice. Vous pourrez savoir exactement en tout temps où ils sont et avec qui ils sont.
Warwick admet que les gens seront blessés par l'idée que les compagnies pourront exiger de leurs employés de se faire implanter une micropuce. C'est pousser à la limite ce que la société pourra accepter, mais « dans un sens, dit-il, ce n'est pas tellement une si grosse affaire. Plusieurs employés portent déjà des cartes à puce... (...) »
Cette invention de la micropuce nous porte à réfléchir sur cette prédiction, dans l'Apocalypse de saint Jean, révélée il y a 2000 ans : "Personne ne pourra acheter ni vendre s'il n'est marqué du signe de la Bête..."
Personne ne pourra pas non plus travailler dans les entreprises s'il n'accepte pas qu'on lui implante une micropuce dans ses membres. Quelle horreur !
Quel dangereux instrument de domination totale sur le genre humain, entre les mains des financiers, que cette micropuce ! Et quelle grave atteinte à notre intimité et à notre liberté personnelles !
Th. T.