La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?L'article suivant a été publié dans la revue « Notre Espérance » de juillet-août-septembre 2002, Association Notre-Dame de l'Espérance, 65320-Tarasteix, France :
Le mot anglo-saxon » signifie veille de la Toussaint. Mais la chose est plus ancienne que la Toussaint. Quelle est l'origine de cette étrange célébration ?
Le soir du 31 octobre, les druides celtes honoraient la déesse de la mort : Samain. Ils pensaient que les mauvais esprits étaient particulièrement actifs en cette occasion. En conséquence, ils ordonnaient des sacrifices humains et encourageaient le peuple à aller de maison en maison réclamer des offrandes aux esprits. Si l'offrande était refusée, les quêteurs prononçaient une malédiction.
Cette coutume s'est maintenue en Irlande, dans des cercles satanistes, d'où elle a été exportée dans des nations anglo-saxonnes. Au XVIIe siècle, avec la renaissance de mouvements occultistes, s'établit une vraie liturgie satanique.
Dans la nuit du 31 octobre, une cérémonie en l'honneur des mauvais esprits célèbre tout ce qui peut s'opposer à Dieu, à sa bonté, à sa beauté et à la vie éternelle. Ces gestes se poursuivent avec la reprise de sacrifices humains et des profanations de cimetières.
Squelettes et têtes de morts : Ils sont le signe du culte d'adoration rendu à Samain, déesse de la mort, à laquelle la nuit du 31 Octobre est consacrée.
Fantômes : Ils sont sensés rappeler la présence active des mauvais esprits dans la nuit du 31 octobre. Sorcières : Halloween est aujourd'hui devenue le premier jour de l'année des satanistes. C'est en vertu de ce « jour de l'an qu'apparaissent toutes ères.»
"Trick or treat" : « offrande ou malédiction » ; est un chantage sordide, encouragé par les druides et pratiqué encore aujourd'hui dans la tradition d'Halloween.
Citrouilles : Les adorateurs de Samain, dans leurs courses nocturnes du « trick or treat », prenaient des navets évidés et taillés en forme de visages monstrueux, y faisant brûler des bougies de graisse humaine.
Un pacte avec le diable. Quant à l'histoire de Jack O'Lantern, il aurait fait un pacte avec le diable, lui assurant qu'il n'irait jamais en enfer. Cet homme débauché fut voué après sa mort à errer sur la terre, éclairé dans son chemin par une braise de l'enfer placée dans un navet évidé.
La citrouille a remplacé les navets lorsque la coutume est arrivée aux États-Unis. Que constatons-nous ?
Après avoir tenté de vider les fêtes religieuses de leur sens, en en faisant d'abord des occasions économiquement fructueuses, le monde des affaires, avec cette fête religieuse, dont l'origine est bien intéressante, essaie de nous inciter à une nouvelle occasion de consommation.
L'école, qui se veut neutre, devient un véritable relais publicitaire de grandes surfaces, et fait la part belle à cette nouvelle religion : concours des dessins les plus laids, défilés macabres... Nous assistons impuissants au viol des âmes de nos enfants.
Des mairies organisent maints événements autour d'Halloween : bals, dîners, expositions... Où est la « sacro-sainte » laïcité de la République ? La dérive est maintenant manifeste : des marques de bonbons et d'autres produits proposent très directement aux enfants un pacte écrit à signer avec le diable.
Notre âme a été créée pour connaître et aimer la bonté, la beauté, Dieu Lui-même. La Toussaint, fête de tous les saints, que nous célébrons le 1er novembre, nous invite à contempler la sainteté, la bonté, la beauté.
Le grand mystère de la Communion des saints, que nous fêtons aussi le 2 novembre en priant pour nos défunts, nous fait vivre dans l'union d'amour que les membres d'un même corps entretiennent entre eux, par delà les limites de cette vie.
Ces fêtes nous rappellent que Dieu nous aime et nous attire par sa bonté et sa beauté. Elles sont l'antidote à la morosité et à l'égoïsme ambiants, dont « Halloween » n'est qu'une manifestation.
« Qu'on le sache ! Halloween est la fête la plus importante pour les satanistes du monde entier. »
Monseigneur Bonfils, évêque de Nice