La démocratie économique expliquées en différentes leçons pour avoir une pleine connaissance de tout ce que le Crédit Social implique. Ce sont les propositions financières de l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas, connues tout d’abord sous le nom de démocratie économique (d’après le titre de son premier livre), et connues par la suite sous le nom de crédit social.
Sous le signe de l’abondance — exprime assez bien qu’il s’agit d’une économie d’abondance, de l’accès rendu facile aux immenses possibilités de la production moderne.
Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"Du régime de dettes à la prospérité" est à l’origine de la fondation de l’Œuvre des Pèlerins de saint Michel. C'est le livre qui fit s'écrier Louis Even; "Une lumière sur mon chemin!".
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Deux fois par année, nous invitons des évêques, prêtres et laïcs, surtout d’Afrique, à nos semaines d’étude sur le Crédit Social à notre maison-mère de Rougemont au Canada. Voici les commentaires de quelques-uns de ces évêques, prêtres et laïcs.
Le système financier efficace dont il va être question dans cette brochure, c’est le système financier connu généralement sous le nom de Crédit Social (ou Démocratie Économique), encore appliqué nulle part, mais dont les principes furent établis par l’ingénieur économiste écossais, Clifford Hugh Douglas, publiés par lui pour la première fois en 1918, propagés depuis par toute une école dans maints pays.
Qu’est-ce que vous dites-là? Que le Dividende Social respecterait la planète et que la société de consommation est destructrice de la planète?9 septembre 1997
Chère Mme Gilberte Côté-Mercier,
et chers Pèlerins de la Maison Saint-Michel et de la Maison de l'Immaculée,
...Je profite de l'occasion pour vous réitérer mes plus sincères condoléances, et aussi, pour vous exprimer les profonds sentiments que j'ai ressentis lors du service de notre si dévoué directeur, M. Gérard Mercier. C'était la première fois que j'assistais à des funérailles complètement dirigées par les Pèlerins de la Maison Saint-Michel et de la Maison de l'Immaculée.
À maintes reprises, j'ai déjà assisté à des funérailles, mais, veuillez me croire, de toute ma vie, jamais je n'ai assisté à des funérailles aussi religieuses et aussi profondes de respect.
Les chapelets qui se disaient continuellement, les beaux chants religieux, la belle procession de tous les Pèlerins jusqu'à l'église, avec en tête le beau drapeau (du Crédit Social) qui inspire la lumière de l'Évangile, les clairons, et surtout, les très belles Pèlerines avec leur chapelet en mains, comme signe de leur foi en Dieu, de leur amour pour le prochain, et surtout de leur conviction que sans Dieu, rien ne peut réussir.
Sincèrement, j'ai été profondément ému ; jamais, de toute ma vie, j'avais assisté à quelque chose d'aussi beau.
Comme M. Mercier devait être heureux du haut du Ciel, qu'il a su si bien mériter, de voir tous ses Pèlerins lui rendre un tel hommage ! Pour ma part, et je suis persuadé que cette pensée est aussi dans le cœur de tous les Pèlerins.
Je vais invoquer souvent M. Gérard Mercier dans mes prières, afin qu'il m'aide à persévérer à répandre cette belle lumière de l'Évangile et de la justice sociale lesquelles sont si présentes dans la belle philosophie du Crédit Social.
Mes plus cordiales salutations,
Philippe Langlois