Pas au goût de Satan

le vendredi, 15 mars 1946. Dans Franco

Du document des Rédemptoristes espagnols :

"Nos gouvernants respectent profondément l'autorité de l'Église. Aucun État moderne n'a correspondu aussi fidèlement et avec autant d'en­thousiasme aux directives de l'Encyclique Divini illius Magistri. Jamais ils ne solutionnent sans l'avis de l'Église les problèmes plus épineux.

"En outre, de plein droit, l'archevêque de To­lède, Primat d'Espagne, et d'autres évêques, au choix du Chef, siègent au Conseil d'État. Avant d'entrer en fonction, le ministre des Affaires exté­rieures était président d'Action Catholique. Quant aux anciennes lois impies, toutes sont abolies.

"Dans les universités et les collèges de l'État l'enseignement de la religion est de rigueur. Les fêtes religieuses sont assimilées au dimanche. Si, par nécessité, certains travaux se poursuivent ces jours-là, les patrons doivent concéder aux em­ployés une heure entière pour assister à leurs obli­gations religieuses, et de plus, compenser, au cours de la semaine, le jour de congé.

"Un organisme national s'occupe de réparer les ravages semés par la révolution communiste. De­puis 1940, 480 églises ont été rebâties et 3,083 au­tres restaurées. En outre, on a construit 14 nou­veaux séminaires ; et douze sièges épiscopaux, ren­dus vacants par les crimes des Rouges, possèdent maintenant leurs titulaires."

*    *

Voilà ce qui fait la rage des communistes et de la judéo-maçonnerie. Voilà ce que les vicaires de Satan sur terre ne pardonnent pas à l'Espagne de Franco.

Et n'est-ce pas une pitié de voir des chrétiens, même des catholiques, prendre part au concert in­fernal contre Franco ? 

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