Le rock'n'roll déforme les consciences, conduit au satanisme

le vendredi, 01 octobre 2004. Dans Catéchèses et enseignements

Parents, vous vous demandez parfois pourquoi votre enfant ou votre adolescent a un comportement agressif ou relâché ? Écoute-t-il la musique rock'n'roll ? Voici des extraits de la brochure « Musique moderne, dangers et conséquences » par Benoît Lambinet, qui seront profitables pour tous :

Napoléon disait : "La musique a, de tous les arts, l'influence la plus profonde sur les âmes"

Jimi Hendricks (un des inventeurs du Hard Rock) précisait sa pensée :

"Des états d'âme vont être créés par la musique car la musique est une chose spirituelle. Vous pouvez hypnotiser des personnes par la musique et lorsque vous les conduisez à leur point le plus faible de résistance, vous pouvez prêcher directement dans leur subconscient tout ce que vous voulez leur dire".

La musique est un langage mystérieux qui peut nous influencer dans nos habitudes subconscientes, nos sentiments, et nous contrôler. On peut considérer que certaines musiques agissent délibérément comme un viol à l'égard des consciences.

Dans son ensemble, les musiques (nocives et destructives) sont utilisées dans l'intention d'exercer un certain nombre d'influences sur l'auditeur. Généralement, elles sont accompagnées d'un beat (rythme) soutenu.

Le rock'n'roll et ses évolutions

En 1951-52, un jeune chanteur nommé : Little Richard a commencé à modifier le beat du « rythm and blues » de la population noire. En 1954, le film Blackboard Jungle rend populaire le thème musical Rock around the clock du musicien Bill Haley. Toutefois, c'est un disc-jockey Alan Freed, qui inventa le terme Rock'n'roll pour identifier ce nouveau rythme musical.

Le premier chanteur qui a maîtrisé parfaitement cette technique de forme musicale sera Elvis Presley. Il prenait plaisir à soulever la jeunesse non seulement par sa musique et par ses paroles mais surtout par les gestes obscènes et provocateurs qui accompagnaient ses spectacles.

Le rock'n'roll va être un véritable instrument de révolution et de subversion culturelle. Cette nouvelle tendance musicale sera l'une des plus dévastatrices de toute l'histoire de la musique du XXe siècle. Elle sera le point de départ de l'ensemble des mauvaises musiques que nous connaissons aujourd'hui. Depuis sa naissance, le Rock s'est divisé en de multiples tendances : le Hard Rock, l'Acid Rock, le Rock progressif, le Punk, la Soul Music, la Variété Rock...

Le Hard Rock

Apparu en 1968, le Hard Rock est un perfectionnement du rythme, l'intensité du volume, les parties instrumentales sont poussées à l'extrême et les paroles sont violentes. On n'écoute pas du Hard Rock, on le subit. De par son origine et sa conception musicale, il a surtout deux objectifs : 1 - porter son public à la violence ; 2 - l'exciter sexuellement.

La dance

À la mode, la dance (une sorte de rythme à ne pas confondre avec la danse) expose, par son rythme, une atmosphère de fête. Elle répond à un certain besoin des jeunes, qui « s'éclatent », se défoulent à travers cette musique. Son rythme est très saccadé, répétitif, voire irritant. L'un des thèmes principaux que l'on retrouve dans ce genre musical est la perversion sexuelle.

Le Rap

Le rythme est fortement synchronisé avec les paroles qui peuvent être parfois de nature injurieuse. En général, elles sont dépourvues de sens et on s'interroge sur leurs significations. Cette musique a une certaine représentation d'une jeunesse « grunge » et désabusée où la provocation est permise. (Grunge : vague musicale devenue mode vestimentaire, avec des vêtements déchirés, pendouillants, mal assortis). La révolte contre l'ordre établi est aussi une dominante du rapt.

Les musiques électroniques : La techno, la trance, les musiques « new-Age ».

Comme le titre l'indique, elles sont élaborées à partir d'instruments musicaux électroniques (essentiellement l'ordinateur). Ces sons nouveaux sont travaillés de façon précise, avec méthode, afin de déconnecter l'auditeur de la réalité, de le faire « planer » sous prétexte d'un soi-disant bien-être.

On veut faire parvenir la personne dans un second état ; ensuite, sa vigilance étant détruite, elle va se livrer à des émotions de toute nature : drogue, sexe, délire... (surtout lors de soirées techno) afin d'être en harmonie complète avec la musique.

Le beat, dans ce genre de musique, a une vitesse très élevée. Par exemple, certaines musiques techno ont un B.P.M. (battements par minute) d'environ 135 pulsations à la minute. Ce rythme sera très « destructurant » car il imposera à l'auditeur une pulsation extérieure fortement contraignante. En comparaison, le battement du cœur en repos est d'environ 70 pulsations par minute.

La trop grande différence de pulsation émise par la musique aura pour retentissement l'augmentation de la fréquence cardiaque. Les musiques du Nouvel Age vont en quelque sorte anesthésier, « destructurer la conscience ». Elles visent, également, à induire des états modifiés de la conscience.

Le message subliminal « Viol de la conscience »

(NDLR : Étymologie latine de subliminal : sub — sous, limen — seuil. Il s'agit d'un message qui atteint l'auditeur « juste en-dessous du seuil de la conscience »)

Avec l'aide de certaines techniques, on parvient à agresser la conscience et le subconscient ; ceci, afin d'exercer un contrôle capable de toutes les subversions. Le message subliminal permet à travers une musique, de véhiculer un message inaudible à l'oreille humaine. La partie inconsciente de l'homme, le subconscient, capte le message, le décode, le reconstruit pour le transmettre à la mémoire au « moi » conscient. C'est véritablement une attaque sournoise que l'on dirige contre l'esprit de l'auditeur, qui ne se rend pas compte de cette forme d'agression.

On agit sur « l'être » mais pas sur la conscience. Suivant la réceptivité de chacun, c'est-à-dire en fonction de son environnement (bonne entente, familiale, vie saine et équilibrée :..), sa personnalité, sa prédisposition..., le message subliminal aura plus ou moins d'influence, d'impact sur l'auditeur.

Par exemple : il se peut qu'un message subliminal incitant à consommer de la drogue, n'influencera pas, voire jamais une personne quelconque. Par contre, un autre message destiné à la perversion sexuelle sera « capté » tout de suite par cette même personne. Sans savoir pourquoi, elle se sentira « poussée » à agir dans ce sens.

La technique du message subliminal

Pour qu'il ne soit pas détecté, le message subliminal est « imprimé à rebours » sur le support de l'audition (disque, cassette, compact disque). Les phrases deviennent audibles quand on écoute l'enregistrement à l'envers, comme des mots écrits en sens inverse peuvent se lire dans un miroir.

Le message subliminal est imprimé sur des fréquences particulières. Celui-ci n'a pas besoin d'être dans la langue de l'auditeur, les mots ayant une réalité dans un monde spirituel et une action au-delà de notre propre langue sur notre subconscient.

Certains exemples de musiques passés à l'envers (par hasard rencontrent de vifs succès auprès des jeunes). Ils montrent que la construction subliminale n'est pas accidentelle. Elle est voulue, intentionnelle, travaillée avec méthode, ceci dans le but de déclencher chez les auditeurs des réactions aussi diverses que pernicieuses.

Six thèmes sont abordés dans les messages subliminaux : - la perversion sexuelle sous toutes ses formes ; — l'incitation à la violence, à la révolte contre l'ordre établi et au meurtre ; — le suicide ; — la consécration à Satan, attirance aux pratiques ésotériques ; — l'incitation à la consommation de drogue ou d'alcool ; — l'atteinte contre la religion chrétienne, contre le clergé.

Par exemple, pour attirer une personne à la violence, la construction d'un message subliminal va être réalisée de telle sorte qu'elle va contenir des sons (cris), des mots, un rythme appropriés à déclencher l'agressivité en elle.

L'effet d'une drogue

On peut introduire dans une musique, un signal à fréquence très haute (ultrasons). Lorsque le cerveau est stimulé de façon prolongée par ce signal, il peut en résulter une réaction biochimique spécifique dans le cerveau. Par exemple, la sécrétion d'une substance, l'endomorphine, qui produit à peu près le même effet qu'une drogue (morphine) mais elle est naturelle car elle est sécrétée par le cerveau. La réaction va procurer une sensation de bien-être étrange. La drogue sera le prolongement naturel de cet état.

Agressivité causée par la musique

Aujourd'hui pour corrompre leur public, certains auteurs et certains groupes n'ont même plus besoin d'introduire des messages subliminaux dans leurs chansons. En effet les messages qu'ils veulent faire parvenir à l'auditeur sont tout simplement en paroles parfaitement audibles, sur la face normale. À force d'écouter ces musiques, qui sont sans cesse répétées à notre conscient et subconscient, elles vont nous attirer à agir dans l'intention de leurs auteurs...

Déséquilibre physique et psychologique

Le beat est un autre terme utilisé pour désigner le rythme. Celui-ci est très exploité dans les chansons : la dance, la techno. Manipulé dans une intention pernicieuse, le beat peut s'avérer un danger pour l'équilibre physique et psychologique.

D'après les rockeurs, le but du beat est de pénétrer dans toutes les « fibres du corps » pour y faire surgir les passions refoulées. Par l'intermédiaire de certaines fréquences rythmiques, on peut entraîner les auditeurs à un mouvement de corps, à une attitude d'agressivité, à un état d'esprit (trance).

Répercussions néfastes

Les Beatles déclaraient : "Notre musique est capable de causer une instabilité émotionnelle, un comportement pathologique, voire même la révolte et la révolution."

...L'enregistrement du pouls, la fréquence respiratoire montre, déjà, que l'écoute musicale fait apparaître des transformations des fonctions biologiques qui sont en relation avec le « vécu de la musique ». Vous allez donc découvrir, que l'audition musicale néfaste peut provoquer divers changements physiologiques et provoquer des troubles psychologiques...

Au niveau du système nerveux : une agressivité d'origine inconnue, une violence incontrôlable, une fatigue anormale, des frissons, des maux de tête, une neutralisation de la maîtrise de soi.

Dans certains concerts, les discothèques, l'intensité et le rythme ébranlent le système nerveux. Le nombre de décibels dans les discothèques est aux environs de 110, sinon plus, alors que le seuil de tolérance est à 80-90 décibels. C'est en quelque sorte un son suractivité qui va irriter, agresser le système nerveux. Les effets d'éclairages violents et saccadés vont modifier le fonctionnement normal du cerveau.

En atteignant volontairement le système nerveux, on va déconnecter, neutraliser la conscience et la volonté des auditeurs. Ceci afin de laisser le champ libre au jeu des sensations, et à ce moment-là, par les messages subliminaux, les paroles, le rythme, on peut atteindre les profondeurs de la personne puisque le contrôle qu'elle exerce sur elle-même a été court-circuité.

(Voici d'autres effets néfastes de cette musique infernale) :

— Au niveau de l'appareil circulaire : hypertension artérielle : augmentation de la pulsation cardiaque ; modification de la glycémie : épuisement physique (Hypoglycémie).

— Au niveau de l'appareil respiratoire : respiration accélérée.

— Au niveau de l'appareil hormonal (glandes endocrines) : sécrétion accrue de l'hypophyse, qui contrôle la production des nombreuses glandes ; modification du taux d'insuline ; sécrétion accrue des hormones médulo-surrénales (hypertension)...

Effets psychologiques destructeurs

Modification inconsciente de sa personnalité. On change sa façon de penser, dans ses sentiments et ses idées. Exemples : on devient moins agréable qu'auparavant ; on se révolte contre ses parents, on a envie de fuguer et de s'isoler ; on est bloqué dans le travail scolaire ; on modifie sa tenue vestimentaire ; il s'ensuit forcément un délabrement psychologique, un affaissement moral, spirituel et finalement physique.

(Autres effets) :

Dépression, mélancolie, tendance au suicide, au meurtre, indépendance, renfermement sur soi, état hypnotique, rendue à l'état de zombie ; vidée de sa « substance », troubles de sommeil, auto-mutilation, le « percing » (anneaux aux paupières, aux lèvres, à la langue, au nez...), déséquilibre psychique, influence dépersonnalisante.

Déchéance morale

Cinq thèmes majeurs : — la manipulation des esprits, véritable guerre psychologique ; — (déchéance des moeurs) : viol, phénomène des groupies, orgies collectives dites partouses, (fréquentations précoces et perverses), partenaires multiples (polygamie), perversion de l'amour, homosexualité... l'amour est rabaissé au niveau de l'animal ; — la drogue, incitation à la consommation ; — atteinte contre la religion chrétienne catholique : perte de la foi, dégoût de la prière et des sacrements, critique et rejet du clergé, du Christ... ; — attirance à l'occultisme, au satanisme, à l'ésotérisme : spiritisme, magie, sorcellerie.

(Benoît Lambinet, un jeune, s'est donné trois objectifs en donnant ces informations sur la musique moderne) :

1 — Faire prendre conscience aux jeunes du phénomène perfide et pervers de certaines musiques et de certains groupes.

2 — les éclairer sur les risques qui en découlent.

3 — les prémunir contre les discothèques et les mauvais concerts, lieux de corruption de la jeunesse. Fréquentant régulièrement ces lieux, les jeunes s'enfoncent « s'auto-détruisent » petit à petit. Ils sont trahis !"

Benoît Lambinet

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