Ladite «Protection de la Jeunesse» brise les familles

Pierre Roy le samedi, 01 août 2009. Dans Protection de la Jeunesse

Lors de la fondation de la Protection de la Jeunesse, il y a de cela plus de trente ans, il y avait dans le groupe des fondateurs, des gens qui avaient une «idée bien précise» sur la manière de changer notre peuple. Vous ne pouvez pas vous imaginer l’implication de leurs décisions, alors permettez-moi de vous l’expliquer. «Le paraître» qu’ils ont laissé croire à notre peuple pour «le bien des jeunes» était une manière cachée de détourner le vrai problème en laissant supposer que la «Protection de la Jeunesse» avait la situation en main. En fait, en se prenant à la source d’un peuple qui nourrit notre société, c’est comme la source d’une rivière qui nourrit les lacs.

Les francs-maçons se sont infiltrés dans la «Protection de la Jeunesse» au tout début, ils y sont encore aujourd’hui … dans l’anonymat. Ils ont voulu s’en prendre à notre société, à nos jeunes d’aujourd’hui, «à la source»… La Protection de la Jeunesse a brimé «les droits des parents chrétiens» et (elle a tout fait) pour sortir par tous les moyens le christianisme des écoles ainsi que du (cœur du) peuple. Voilà quel était leur mandat (infernal).

Par ces manières cavalières de s’en prendre à la base de la société, ils ont brimé et brisé des individus innocents. Voilà le mandat de la Protection de la Jeunesse. Tous les moyens sont bons pour arriver à leurs fins. Ils ont mêlé les dossiers, falsifié certains documents, utilisé de faux noms, etc. Tout cela pour mettre la situation à leur avantage. Quel mal ils ont fait subir aux familles en séparant les parents de leurs enfants, parfois même en créant des conflits dans les nids familiaux afin de pouvoir placer les jeunes dans des centres. De ce fait, une influence néfaste s’installe dans notre société d’aujourd’hui puisque des gens ne peuvent pas voir leur famille.

Ces jeunes se retrouvent sans valeur morale et religieuse, sans valeur de base (la source). Ces centres n’offrent pas de valeurs, ils n’offrent pas vraiment d’encadrement adéquat pour faire un jeune responsable et honnête. A l’âge de 18 ans, on le sort de ces centres. C’est pour cette raison que nous retrouvons des jeunes dans notre société sans foi, sans famille, avec les yeux gris et tristes, sans vie ni espoir. Voilà des «délinquants» sur le coin des rues qui font leur possible ou bien des mendiants sans ressources. Il s’agit là d’une belle manière de détruire notre société.

Pierre Roy

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