Pèlerinage à Domrémy où est née sainte Jeanne d’Arc

Thérèse Tardif le jeudi, 01 mars 2012. Dans Témoignages

Les 15 Pèlerins de saint Michel du Canada et ceux de France ont été très contents de leur séjour à Domrémy, en France, pour y fêter le 600e anniversaire de la naissance de Sainte Jeanne d’Arc. Ils avaient accepté d’avance que ce soit un voyage de prières, de sacrifices et d’apostolat.

Ce qui nous a marqués le plus, évidemment, c’est de vivre quelques jours dans ces lieux où tout nous parle de Jeanne d’Arc, petite fille des champs qui a reçu de Dieu une vocation unique: celle de prendre le commandement des armées de France, cette France, fille aînée de l’Eglise catholique, sous le point de sombrer sous les coups de l’envahisseur. Totalement soumise à la Volonté de Dieu, Jeanne monta à cheval et se fit guerrière. Trahie, par les grands de son temps, comme Jésus, elle fut brûlée vive sur un bûcher, en prononçant le nom trois fois saint de Jésus. Son cœur brûlant si fort de l’amour divin a vaincu les flammes du bûcher. Il demeura intact.

Sainte-Jeanne-d'ArcAh, oui Jeanne, nous sommes allés te rendre hommage à l’occasion de ton 600e anniversaire de naissance, mais surtout pour te demander de nous donner ton ardeur et ton courage pour vaincre les forces du mal qui envahissent nos pays. Donne-nous de lever une armée d’apôtres consacrés à Marie, descendant dans les rues avec l’arme invincible du Saint Rosaire, afin que le monde soit purifié et reconnaisse le Christ, Roi de toutes les nations. C’est ainsi que la paix sera possible.Les 15 Pèlerins de saint Michel du Canada et ceux de France ont été très contents de leur séjour à Domrémy, en France, pour y fêter le 600e anniversaire de la naissance de Sainte Jeanne d’Arc. Ils avaient accepté d’avance que ce soit un voyage de prières, de sacrifices et d’apostolat.

Ce qui nous a marqués le plus, évidemment, c’est de vivre quelques jours dans ces lieux où tout nous parle de Jeanne d’Arc, petite fille des champs qui a reçu de Dieu une vocation unique: celle de prendre le commandement des armées de France, cette France, fille aînée de l’Eglise catholique, sous le point de sombrer sous les coups de l’envahisseur. Totalement soumise à la Volonté de Dieu, Jeanne monta à cheval et se fit guerrière. Trahie, par les grands de son temps, comme Jésus, elle fut brûlée vive sur un bûcher, en prononçant le nom trois fois saint de Jésus. Son cœur brûlant si fort de l’amour divin a vaincu les flammes du bûcher. Il demeura intact.

Ah, oui Jeanne, nous sommes allés te rendre hommage à l’occasion de ton 600e anniversaire de naissance, mais surtout pour te demander de nous donner ton ardeur et ton courage pour vaincre les forces du mal qui envahissent nos pays. Donne-nous de lever une armée d’apôtres consacrés à Marie, descendant dans les rues avec l’arme invincible du Saint Rosaire, afin que le monde soit purifié et reconnaisse le Christ, Roi de toutes les nations. C’est ainsi que la paix sera possible.

En fait de prières, nous avons été servis à souhait, nous avons bien prié. En ce qui concerne les sacrifices, ils n’ont pas été trop rigoureux: la marche sous la pluie, la montée du Chemin de Croix, le petit jeûne d’un repas du midi, etc. Ce n’était rien à comparer avec ce que Jeanne a fait pour nous, n’est-ce pas ?

Un signe de grande espérance, c’est l’intervention de l’intrépide Alberto de Caen, jeune homme de 22 ans qui a lancé un vibrant appel aux jeunes comme aux personnes âgées, à se donner dans l’apostolat. Il a fait un discours si enflammé, qu’il a réussi à allumer dans tous les cœurs un feu nouveau en faveur de l’évangélisation. Il nous a raconté sa conversion radicale pour Jésus. Un véritable saint Paul. Tous les assistants ont été ravis. Personnellement, je me suis dit: «La France est sauvée avec cet apôtre au cœur de feu.» Plusieurs jeunes et moins jeunes le suivent déjà.

Nous avons eu le grand privilège de présenter l’Oeuvre des Pèlerins de saint Michel à tous ces groupes venus à Domrémy pour honorer Jeanne d’Arc. Comme introduction, nous avons commencé par un chant en l’honneur de la sainte Pucelle qui a ému profondément l’assistance. Puis j’ai fait un peu l’historique de notre Mouvement en racontant comment notre fondateur Louis Even, né en France, à Montfort-sur-Meu, a fondé, au Canada, l’Oeuvre des Pèlerins de saint Michel qui a pour but de christianiser l’économique et la politique, et de mettre fin au fléau de la pauvreté intensifiée par la présente crise économique.

Ensuite, M. Marcel Lefebvre a expliqué que l’immense pauvreté, vécue par des millions de personnes, au sein d’une abondance de produits qui pourraient nourrir deux fois la population du globe, est causée par le système d’argent-dette des banquiers internationaux. Il a démontré aussi qu’il y a un excellent moyen de le corriger. Ce message si important semble avoir été bien compris. Plusieurs se sont abonnés à Vers Demain, se sont procurés le livre des dix leçons sur la Démocratie économique. Ils ont pris des circulaires et des CD des conférences de Louis Even et de Gilberte Côté-Mercier.

Nous avons hautement apprécié «d’avoir été hébergés chez l’habitant», comme on le dit en France. Cela nous a permis de faire connaissance avec le bon peuple français, dont la culture est enracinée dans la charité du christianisme depuis 2000 ans. Ma compagne Diane Guillemette et moi-même avons été accueillies très chaleureusement comme des soeurs par Bernadette et Claude Thomas. Nous les avons aimés et nous les remercions de tout notre cœur. Nos autres compagnes et compagnons ont été reçus de la même manière, avec autant de charité, par d’autres bonnes familles et bons couples français. Cela a été fort agréable. Nous n’oublions pas non plus les excellents repas chez les Travailleuses Missionnaires, servis avec bonté et simplicité dans une atmosphère familiale.

Notre vive reconnaissance à notre incomparable organisatrice, Odile Chevasson qui s’est dévouée sans compter et qui a dirigé le tout à la perfection. Après ces jours inoubliables passés au milieu des souvenirs des durs combats de la sainte Pucelle de Domrémy, nous nous sommes séparés pour aller effectuer notre apostolat dans différentes parties de la France. D’autres charitables Français et Françaises nous ont pris en charge deux par deux et nous ont amenés dans leur région, pour nous présenter à leurs amis et afin de nous permettre de leur faire connaître l’Oeuvre des Pèlerins de saint Michel du Canada et de France.

Pour ma part, j’ai été amenée avec ma compagne Diane Guillemette, par Maurice et Françoise François de St-Maur, dans la banlieue de Paris. Encore là, nous nous sommes fait de grands amis, nous avons été reçues avec chaleur et bonté comme savent le faire les Français. Nos hôtes étaient toujours au devant de nous pour nous rendre tous les services. Habitués à la fréquentation de la Messe quotidienne, ils nous y amenaient tous les matins. Ils ont mis leur salon à notre disposition. Ils y ont invité des dames et messieurs à venir entendre le message des Pèlerins de saint Michel sur les mesures à prendre pour vaincre la crise économique (voir notre site web www.versdemain.org).

Plusieurs se sont abonnés à notre revue Vers Demain et ont pris le livre: «La Démocratie économique en dix leçons». M. et Mme St-Maur nous ont amenées à leur réunion de prière mensuelle où nous avons été invitées à prendre la parole. Et le 13 janvier, matin de notre retour au Canada, ils se sont levés à 4.30 heures pour venir nous conduire à l’aéroport. Comment remercier tout ce bon monde ? Seul Dieu peut récompenser leurs charités. A genoux, nous le lui demandons. Du Canada, nous vous saluons tous, nous nous unissons à vos prières. Nous prions spécialement sainte Jeanne d’Arc, de revenir de nouveau sauver la France et de sauver tous les pays.

Un grand merci des Canadiens: Thérèse Tardif, Diane Guillemette, Marcelle Caya, Mme Monique Simard, Diane Roy, Mme Anne Murphy, Mme Adrienne O’Donnell, Lucie Parenteau, Fatima Cervantes, Henri Bussières, Pascal Richard, Yves Jacques, Anne-Marie Jacques, Aimie Jacques, Marcel Lefebvre. Et des Français, Christian Burgaud et Renaud Laillier, de France, qui les accompagnaient.

 

Thérèse Tardif

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