La micro-puce et la "Marque de la Bête"

le mardi, 01 octobre 1996. Dans Micropuces

par le Dr. Carl W. Sanders

Voici la traduction d'extraits d'un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue NEXUS (P.O. Box 30, Mapleton, Queensland, 4560, Australie). C'est le témoignage du Dr. Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micro-puce électronique. Le Dr. Sanders est un ingénieur électronique, inventeur, auteur et expert-conseil auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnies telles que IBM, General Eletric, Honeywell et Teledyn :

"J'ai consacré 32 années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micro-puces dans le domaine bio-médical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l'épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir possiblement relier les nerfs moteurs, etc.

"C'était un projet qui nous emballait tous. Il y avait 100 personnes d'impliquées, et j'étais le principal ingénieur en charge du projet. Le projet aboutit à la micro-puce dont nous parlons maintenant une micro-puce que je crois être "la Marque de la Bête" (mentionnée dans l'Apocalypse de saint Jean, chapitre 13, versets 13 à 16, dans lequel il est dit que personne sur terre ne pourra acheter ni vendre sans cette marque).

Cette micro-puce est rechargée par les changements de température du corps humain. Evidemment, vous ne pouvez pas aller à l'intérieur de votre corps et changer vos piles de temps en temps, alors la micro-puce a un circuit de rechargement qui fonctionne selon les changements de température du corps. Plus d'un million et demi de dollars furent dépensés pour trouver les deux endroits sur le corps humain où la température change le plus rapidement : le front (premier choix), tout juste en bas de la naissance des cheveux, et le revers de la main (position de rechange).

"Travaillant sur cette micro-puce, nous n'avions aucune idée qu'elle deviendrait un moyen d'identifier les gens. Nous considérions ce projet comme étant une chose très humanitaire... Notre équipe était composée de gens provenant de l'Université de San Jose, des compagnies Motorola, General Electric, du Centre Médical de Boston ; en fait, c'était tout un groupe de compétences. (...)

"Comme ce projet de micro-puce commençait à évoluer, vint un temps où on nous dit que les pontages à la colonne vertébrale étaient une chose qui ne rapportait pas assez financièrement pour qu'on s'en occupe, et qu'on devait donc considérer d'autres utilisations pour cette puce. Nous avions remarqué que la fréquence de la micro-puce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micro-puce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu'il résulta à installer une micro-puce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu'on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micro-puce.

"Un de ces projets sur le comportement fut appelé le'Projet Phœnix', concernant les vétérans de la guerre du Vietnam. Nous avions une micro-puce que nous appelions la "micro-puce Rambo". Cette micro-puce pouvait causer un flux supplémentaire d'adrénaline. (...)

"Il y a 250,000 pièces dans la micro-puce, y compris une petite pile au lithium. Je me suis battu contre l'usage de lithium en tant que source d'énergie pour ces piles dans le corps humain, mais la NASA se servait beaucoup du lithium en ce temps-là, c'était la chose en vogue. J'ai demandé à un docteur du Centre Médical de Boston quel effet cette concentration de lithium dans le corps humain pouvait avoir si la micro-puce se brisait. Il me répondit que cela produirait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus.

"J'étais présent à une réunion où la question suivante fut posée : 'Comment pouvez-vous contrôler un peuple si vous ne pouvez pas les identifier ?'Des gens comme Henry Kissinger et des personnes de la CIA assistaient à ces réunions.

"Comme nous développions la micro-puce, et que la question principale était de se servir de cette micro-puce comme'carte d'identité', ou moyen d'établir l'identité des gens, plusieurs choses nous furent demandées. On voulait que soit compris sur la micro-puce le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (incluant les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d'impôt, et son dossier criminel.

"J'ai assisté à 17 réunions à travers le monde, à Bruxelles, au Luxembourg, etc., où ces sujets furent discutés, dans l'esprit d'un gouvernement mondial, et d'une monnaie mondiale... Il existe présentement des projets de loi devant le Congrès américain qui permettront d'injecter la micro-puce à votre enfant dès sa naissance, pour des fins d'identification. Le Président des Etats-Unis, selon l'article 100 de la loi sur le contrôle de l'émigration de 1986, a le pouvoir de décider toute forme d'identification qu'il juge nécessaire que ce soit une marque invisible tatouée, où une micro-puce insérée sous la peau. Alors, je pense que vous devez regarder les faits en face, les amis : cette micro-puce et "Marque de la Bête" n'est pas quelque chose qui vient d'apparaître tout d'un coup. Ça fait des années que c'est en préparation !"

Dr. Carl W. Sanders

Poster un commentaire

Vous êtes indentifier en tant qu'invité.