Un vaccin pour le salut des âmes : la confession

Alain Pilote le samedi, 01 mai 2021. Dans Éditorial


Jésus confession Plus d'un an après le début de ce qu'on appelle la pandémie de la covid-19, on entend plus que jamais parler de vaccins : les médias d'information nous bombardent continuellement avec le même message : le vaccin est l'unique moyen de s'en sortir, et c'est un moyen sûr ! Pourtant, après avoir observé ce qui se passe depuis un an, on peut émettre des doutes et se poser des questions : à l'époque, on nous promettait le retour à la normale – et la fin du port des masques ou couvre-visages — une fois la majorité de la population vaccinée.

Aujourd'hui, on nous dit que même vaccinés, les gens devront continuer de porter le masque pendant des années, que de nouveaux virus (qu'on appelle « variants ») vont nécessiter de nouvelles vaccinations à chaque année ; on nous annonce aussi que plusieurs des nouveaux vaccins connaissent des ratés, et certains médecins vont même jusqu'à dire que les nouveaux vaccins affaiblissent le système immunitaire des gens, les rendant donc plus susceptibles d'attraper — et même de succomber — aux virus provenant des « nouvelles vagues ». Plusieurs experts disent qu'avec un taux de survie de 99,7% (seulement 0,03% de la population meurt des suites du covid-19, et la grande majorité d'entre eux sont des personnes âgées), il est absurde de vouloir confiner toute la population et d'imposer des mesures liberticides à tous.

Mais il semblerait qu'il n'est pas « politiquement correct » de se poser de telles questions, car cela pourrait décourager les gens de se faire vacciner, ce qui irait, dit-on, à l'encontre du bien commun et de la santé publique. Nous allons donc parler d'un vaccin tout à fait sécuritaire, dont l'efficacité est garantie à 100%, que nous vous encourageons tous à recevoir sans hésitation, un vaccin qui vous assure plus que la santé physique, qui vous assure la santé-même de votre âme, et la vie éternelle : ce vaccin, c'est la confession ! De plus, il ne coûte rien. (Voir Objections Courantes Sur La Confession et Quand t’es-tu confessé(e) pour la dernière fois?)

Car, il ne faut pas l'oublier, que nous soyons vaccinés ou non, nous allons tous mourir un jour… et c'est donc de la vie après la mort que nous devrions tous surtout nous soucier, car notre âme est éternelle : elle ira au ciel ou en enfer, selon nos œuvres et notre foi. Comme l'enseigne le Catéchisme de l'Église catholique, il y aura un jugement particulier pour chaque personne immédiatement après notre mort, et là il sera trop tard pour changer l'état de notre âme.

Plusieurs saints et âmes privilégiées ont prédit que Dieu, dans les derniers temps, accomplirait le plus grand acte de miséricorde de l'histoire de l'humanité : par ce qu'on appelle « l'avertissement » ou « illumination des consciences », tous les êtres humains sur terre, au même instant, verront l'état de leur âme telle que Dieu la voit, et verront aussi à quel endroit ils passeraient l'éternité s'ils étaient pour mourir dans l'état où ils se trouvent à cet instant-même (c'est-à-dire en état de grâce ou non). Tous sauront que Dieu existe, que le paradis et l'enfer existent. Plusieurs en profiteront pour se confesser et retourner à Dieu, mais d'autres, plus endurcis, ne se convertiront malheureusement pas.

Ce sera comme une nouvelle Pentecôte, une effusion de l'Esprit-Saint sur chaque personne, qui leur permettra aussi, nous l'espérons, de comprendre enfin toute l'astuce de l'escroquerie du système financier actuel, et la solution apportée par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas et Louis Even du journal Vers Demain, les propositions financières du crédit social, ou démocratie économique. (Voir L'argent, instrument de distribution et Crédit Social et commerce international, Rendre financièrement possible ce qui est possible physiquement; L'orfèvre devenu banquier; L'argent doit-il réclamer de l'intérêt ?; « L’usure est un péché qui crie devant Dieu »; L'intérêt sur l'argent créé est un vol.)

Nous préférons de plus en plus employer les mots « démocratie économique », car il existe maintenant un système appelé « crédit social » en Chine communiste, qui cherche à contrôler les gens et encourager la délation, et qui est tout le contraire du « crédit social » enseigné par Vers Demain, qui respecte la liberté de la personne humaine et la propriété privée.

Nous donnons aussi dans ce numéro l'exemple de deux grandes saintes, Gemma Galgani, unie au Christ par la souffrance et Marguerite d'Youville, mère de la charité universelle. Que leur exemple nous aide à persévérer dans l'amour de Dieu et du prochain, dans le service de la justice et de la vérité !

Alain Pilote

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